Prologue de l'évangile selon Jean

L’Apocalypse est le dernier livre de la Bible chrétienne. Une tradition, discutée depuis le IIe siècle, attribue sa composition à Jean l'Évangéliste. Étymologiquement, le mot « apocalypse » est la transcription d’un terme grec (ἀποκάλυψις / apokalupsis) qui lui-même traduit l’hébreu nigla, lequel signifie mise à nu, enlèvement du voile ou révélation. Le livre commence en effet par les mots « Révélation de Jésus-Christ » (Ap 1,1). C'est en ce sens que le texte présentera la personne de Jésus-Christ

un arrogant et un pédant usant d'un droit uniquement parce qu'il l'a reçu.Et cette question qui revient sans cesse: Tu as la parole mon Frère; oui mais pour en faire quoi ?Attardons nous sur le Volume de la Loi Sacrée. Il est ouvert au Prologue de l’Evangile de Jean.« Au Commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement auprès de Dieu. C’est par lui que tout est venu à l’existence, et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans lui. En

Le Coran et La Bible à la lumière de l'histoire et de la science Extraits du livre de W. Campbell Table des matières Avant propos Préface Première section : Prologue I. Quelques présupposés en matière linguistique II. Présupposés fondamentaux particuliers au livre du Dr. Bucaille Deuxième section: La Bible vue à travers le Coran et la tradition musulmane I. Témoignage rendu à la Bible par le Coran II. Le Hadith et la Sunna Troisième section: La Bible et le Coran : deux collections de révélations

Première épître de Jean par Alain Kitt Introduction Les trois documents intitulés Lettres de Jean qui sont situés vers la fin du Nouveau Testament nous rappellent en bien des points l'évangile du même nom, et il n'a jamais fait de doute que ces documents, lettres et évangile, proviennent de la même personne, l'apôtre Jean, surnommé avec son frère « fils du tonnerre » (Mc 3.17), mais devenu par la grâce du Seigneur « l'apôtre de l'amour ». ne lecture comparée de l'introduction de cette lettre

incongru.Mais j’ai compris qu’il symbolise, en fait,  l’existence d’un Principe Universel, nommé Le Grand Architecte de l’Univers, que le franc-maçon doit reconnaître et faire l’effort de comprendre. En tenue, la Bible est ouverte au Prologue de l’Évangile selon Saint-Jean, dont le début présente un caractère clairement symbolique :« Au commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu. »Que l’initié doit traduire par :« Lors de la création de toute chose, il n’y avait

UNE ETUDE DETAILLEE SUR L'APOCALYPSE DE JEAN Par Enock SAINTIL (DMin), Pasteur Netherlands Antilles INTRODUCTION GENERALE Amis lecteurs Concevoir le projet de présenter un ouvrage sur l’apocalypse expliquée texte par texte et entreprendre le travail fait penser à une tâche vraiment colossale. L’histoire parait bien longue et très amusante. Au fil des années, la vie nous la dira. • En effet, pour avoir pris naissance et vécu dans une famille chrétienne, adventiste du 7eme jour, grandi

Chez eux, Satan est maître. » Le manichéisme est-il donc une doctrine satanique ? Il se pose au contraire résolument du côté de la Lumière divine, en dénonçant, face à elle, l'existence antagoniste d'un règne des Ténèbres, groupé autour de Satan. Selon l'enseignement de Mani, qui se considère comme prophète, la création du monde est le résultat d'une catastrophe cosmique, l'invasion brutale de la Lumière par les Ténèbres, qui l'ont engloutie dans la matière. Ici bas, le Bien se trouve en quelque

celui de l'Esprit et de la Lumière. Les ténèbres sont un concept philosophique, ésotérique et religieux profondément inscrit dans la culture occidentale et judéo-chrétienne. On trouve en effet aussi bien dans le prologue de l'Ancien Testament que dans celui de l'Évangile selon Jean, deux allégories similaires qui exploitent un symbole fort : celui de l'opposition entre la lumière et les ténèbres Les 5 premiers versets de la Genèse que l'on nomme le béréshit, racontent le premier jour de la création

L’ARGUMENTATION 4. Dans le prologue du Pantagruel, Alcofribas prétend que ce roman est « un peu plus objectif et digne de foi » que la Chronique gargantuine (célèbre livret de colportage) : où se situe le vrai et le faux ? Il ajoute qu’« il ne [lui] advint jamais de mentir ou d’assurer une chose qui ne fût véritable » alors qu’il a annoncé les « horribles faits et prouesses épouvantables » d’un personnage folklorique, « roi » d’une peuplade imaginaire. Ce prologue est donc construit sur un jeu

aussi que « Rabelais qui est le grand maître français en grotesque garde au milieu de ses plus énormes fantaisies quelque chose d'utile et de raisonnable. Il est directement symbolique, son comique a presque toujours la transparence d'un apologue. » Selon Baudelaire, malgré que Rabelais soit « le maître français en grotesque »,celui-ci veut tout de même faire passage message ou une morale. La fin de cette citation ajoute aussi l'argument que le comique de Rabelais est toujours facile à comprendre en