Prologue Electre

rappellent le thème du tombeau. Opposition : le vent ramène le souvenir des proscrits contrairement au bâteau qui les emmène. "Grèce" rappelle le pays d'Harmodius, et renvoie à son histoire. Invocation à la déesse de la vengeance (cf. la tragédie Electre de Sophocle : les dieux doivent armer les vivants). "Voix dans l'air" : Ce sont des anonymes qui parlent. "C'est l'heure" : répétition du premier vers. "Profitons" : insiste sur l'urgence d'agir, après, on ne pourra plus. Parrallélisme soulignant

Tout d'abord, Pylade est le confident d'Oreste, il est son "ami si fidèle". LE HÉROS DÉVOILE CE QU'IL CACHE AUX AUTRES! Dès le début nous comprenons qu'Oreste aura un destin tragique "L'amour me fait ici chercher une inhumaine.". En effet son nom rime avec Funeste. Oreste se fait passer pour un personnage malheureux. La tirade d'Oreste a un rôle pour le spectateur, qui a de nombreuses infos pour comprendre la pièce. C'est le rôle d'une scène d'exposition. De plus il s'agit d'une véritable scène

préoccupations de leur siècle. Les problèmes: - C’est un mythe de plus de 2000 ans donc déjà connu du public : les personnages sont déjà connus (Agamemnon, le roi lâchement assassiné, le couple Clytemnestre/Egisthe qui accède ensuite au pouvoir, Electre et Oreste appelé à la vengeance et qui perpétuent donc la malédiction des Atrides) et l’intrigue ancienne est déjà connue comme le souligne le mendiant dès le début de la pièce de Giraudoux, puisqu’il raconte la mort d’Egisthe et Clytemnestre avant

27/01/14 Commentaire Composé Iphigénie est une pièce de théâtre écrite par Racine à Versailles en 1674, un an après son entrée à l’Académie Française. L’extrait à analyser, la tirade d’Iphigénie (Acte IV, Scène 4), se situe après que Clytemnestre et Iphigénie ont découvert qu’Agamemnon s’apprête à sacrifier son ainée pour satisfaire les dieux. Ce passage montre que, derrière la façade soumise et respectueuse d’Iphigénie, se cache une jeune héroïne persuasive. Nous allons donc voir, dans une

Electres. Le personnage que nous présenterons est Electres qui est la fille de Clytemnestre et Agamemnon et la sœur d'Oreste. Nous l'avons choisi ca c'est le personnage "principale" de tous les livres étudié. Les livres étudier et leurs lecteurs: - Electre, de Giraudaux, Lu par Marin Luizet. -Electre, de Euripide, Lu par Alice Rigaut. -Electre, de Sophocle, Lu par César Montagne. -Les mouches, de Sartre, Lu par Nina Vermesse. -Les Choéphores, de Eschyle, Lu par Pierre Manucci. Electre est

Le corpus à analyser à pour thème commun la mort d’un personnage dans une pièce de théâtre. Il est constitué de trois extraits de pièces de théâtre : Dom Juan (V,5-6) de Molière (1665), Électre (II, 9) de Giraudoux (1937), et Le roi se meurt de Ionesco (1963). Ces trois extraits sont des tragédies et semblent présenter différemment la mort des personnages authéâtre. Nous avons aussi une interview de Jorge Lavelli sur l’importance de la mise en scène au théâtre. Nous allons étudié dans un premier

_________________________________________________________________ Ce corpus est composé de trois textes. Les textes proposés sont ceux de Pierre Corneille, Médée écrit en 1635, de Victor Hugo, Lucrèce Borgia en 1833 et de Jean Giraudoux, Electre écrit en 1937. Ils ont été écrits à trois siècles différentes : au XVIIe siècle, au XIXe et au XXe siècle. Nous pouvons constater que le texte de Médée est écrit en vers et en alexandrins, alors que les deux autres sont écrits seulement en vers

derrière lui sa fille, Electre et sa femme Clytemnestre qui évoquait un accident. « Il revenait, après 10 ans, de la guerre de Troie, pressé de nous retrouver son frère Egisthe et moi. Nous nous trouvions vers la piscine. Les servantes avaient dû nettoyer le dallage pour son arrivée et malencontreusement, de précipitation, il a glissé et est tombé sur son épée. » Or après toutes années, la princesse d’Argos a fait éclater la vérité. Après la mort d’Agamemnon, Electre développa un sentiment

où l'on va célébrer les noces de sa soeur, Electre, avec un jardinier. Considérant que cette union risque d'être une source d'ennuis, le président du tribunal et sa jeune femme, Agathe, s'opposent à ce projet formé par le régent Egisthe et la reine Clytemnestre. Un mystérieux mendiant, qui est peut-être un dieu, laisse entendre qu'Egisthe, aussi bien qu'Electre, vont se "déclarer", c'est à dire obéir au destin qui est le leur. Apparaissent alors Electre et Clytemnestre. La jeune fille pressent la

Dans quelle mesure Electre, la pièce de Giraudoux, est une tragédie ? Introduction : La pièce de Jean Giraudoux est interprétée pour la première fois en 1937. Elle reprend le mythe tragique d’Electre autrefois mis en scène par les dramaturges grecs Eschyle, Sophocle et Euripide au Ve siècle avant notre ère. Cependant, Giraudoux revisite ce mythe avec force, en le modernisant considérablement par rapport aux œuvres antiques. La tragédie antique née à Athènes met en scène un ou des héros