Pronom possessif

lexical du malheur et de la faiblesse (v.22 oxymore « tremblant comme une étoile » …) II. Confiance du poète en Paris a) Le tutoiement affectueux * Tutoie Paris et engage un dialogue : v.16 « Paris ma belle ville ». Adjectif possessif à valeur hypocoristique et adjectif mélioratif « belle » témoignent de son attachement pour la ville. b) L’éloge de Paris * Regard admiratif, lexique valorisant : « fine, forte, belle, savant » * S’adresse à Paris comme à une femme

l'éloge hyperbolique de l'un et la critique féroce de l'autre ? C'est ce que nous verrons en étudiant le poème strophe par strophe pour respecter la structure logique de la composition. 1ère Strophe : - Dès le premier vers, adjectif possessif valorisant. Le pronom personnel «Sa» indique une figure dominant tel que l'on peut dire par exemple « Ce Dieu» (l.3). - Il précède la victoire et l'Europe est vaste.- « Traîner » suffit qu'il passe pour qu'il y est la victoire, «Se débattre» cela signifie

qui va l’emmener à solliciter la nature conservatrice. Il s’adresse à elle tout au long du poème. On peut le remarquer grâce à l’apostrophe qui met en évidence l’interpellation à celui-ci, soit par exemple : «Ô lac!».(v.5) Ensuite, le déterminant possessif à la 2e personne vient refléter que le locuteur, avant tout, s’adresse au lac, puis ensuite l’environnement devient plus intime pour lui («tes ondes», «tes flots», «tes orages»). Cela résume que le poète est obsédé par ce thème. Parallèlement,

Représentation de la mort sur scène : défi de la règle de bienséance. II- 2 portraits différents a) Dom Juan, figure du défi absolu * Scène témoigne de son hétérodoxie. * Personnage déterminé (récurrence pronom personnel « je » l.4-6-11-15, « me » l.16, adjectif possessif « mon » l.14, occurrence du verbe de volonté « vouloir », adverbe de négation « non, non » -> exemple de réduplication, phrase négative (l.13-18). * Fierté irréductible : subordonnée circonstancielle d’opposition

les personnages, et terminer enfin sur la mise en abyme. Dans cet extrait, le metteur en scène détient le rôle le plus important, c'est lui le meneur de jeu. Par exemple, à la ligne 6, « dans le plan de ma pièce » il y a la le déterminant possessif « ma », qui prouve qu'il est le seul à prendre les décisions, il s'approprie la pièce. De plus, il a déjà tout prévu. Il sait ce qu'il veut, ses idées sont claires, puisqu'il a « un plan » en tête. pourtant il n'a pas l'air sur de la tournure que

articles soulève des problèmes. Est-ce qu'on considère comme relevant d'un même lexème un et une? Si oui, faut-il les mettre ensemble avec des, qui serait leur forme plurielle? Faut-il combiner dans un seul lexème les différentes formes de l'adjectif possessif mon, ton, son, ma, ta, sa, mes, tes, ses? Et à un niveau plus général, faudrait-il mettre ensemble toutes les formes du déterminant dans un seul lexème? En (3), je lis le livre que tu lisais hier, on voit la présence de deux formes distinctes d'un

  60            65  troisième trait de caractère : Lantier est égoïste. Il ne s’intéresse ni à ses enfants  ni  à  son  épouse,  sinon  lorsque  Gervaise  s’approche  de  la  « malle »  (22)  du  couple ou de « son linge » (57). Le pronom possessif qui apparaît alors montre  clairement au lecteur que rien ne déclenche de réaction chez lui que ce qui le  concerne directement, voire ce qui lui appartient. C’est sans doute un regard de  propriétaire qu’il porte sur Gervaise à la ligne 15

signifiant distinct) / différend (nom commun synonyme de litige, conflit). – « préjudiciel » (qui précède le jugement. Par exemple : « question préjudicielle ») / « préjudiciable » (qui cause un préjudice). – « notre » (déterminant possessif) / « nôtre » (pronom possessif). Exemple : « Notre ouvrage » ; « Ce livre, c’est le nôtre ». La règle est identique pour votre/vôtre. – « quoique » (conjonction signifiant bien que ; par exemple : « Quoique la doctrine soit partagée, la majorité des annota-

/manger ? "J’ai prendre" est incorrect, donc on doit écrire : "J’ai mangé". -Après, s’il s’agit d’un participe passé, on se pose la question de l’accord du participe passé (voir le point IV). ou/où -ou est une conjonction de coordination. où est un pronom relatif ou un adverbe interrogatif qui désigne généralement un lieu. -Pour les distinguer : ou peut être remplacé par ou bien. ce/se -ce fait partie du GN. C’est un déterminant démonstratif masculin singulier (il désigne, montre quelque chose

"des divans profonds comme des tombeaux", l’association des termes, divans et profonds, figurant le côté charnel, voluptueux de l'amour est en opposition avec tombeaux, image de la mort et de la rigidité du cercueil. L'emploi du pronom "nous" (v.1-4-10) et du pronom possessif "nos" (v.6-8) démontre que la mort n'implique pas la séparation des amants, mais plutôt leur union. Le champs lexical du nombre 2 confirme cette union, "deux coeurs" (v.6), "deux vastes flambeaux" (v.6), "doubles lumières"