Pronom possessif

la langue. La situation d'énonciation est définie par quatre éléments: l'énonciateur, le destinataire, un moment et un lieu particulier. Cette situation peut laisser des traces dans l'énoncé, traces d'embrailleurs: -les pronoms personnels 1er ou 2è pers ou on, les possessifs de ces personnes. -2è type d'embrailleur: les déictiques spatiaux (adverbe: ici, là; préposition: près ou loin, devant ou derrière; à gauche ou à droite). Si à l'intérieur du complément circonstancielle il y a un renvoi à

familier habituel dans une lettre à un intime. Il nomme la destinataire (« Ô Lou », v. 2, v. 11), qu’il tutoie (« À toi… », v. 9) et réduit la demande qui lui tient tant à cœur à sa plus simple expression : une phrase nominale (« Lettres », v. 4). Au pronom « nous », il préfère l’indéfini « on » (v. 5), moins soutenu, et il conclut la strophe par une formule d’insistance rejetée à la fin de la phrase, qui a toute la vivacité d’une vraie conversation (« je t’en prie », v. 6). 2. Mais la lettre d’un poète

concitoyens […] » (l4-5) L’usage du possessif « ses » indique que le narrateur s’adresse a un vaste public. De pus, l’utilisation récurrente du mot « concitoyens » évoque qu’il s’adresse aux citoyens du monde. Il ne met pas au premier plan ses propres souffrances mais celles de tout un peuple : « […] il n’y avait pas une de ses souffrances qui ne fût en même temps celle des autres […] » (l.20-21) « Décidément, il devait parler pour tous. » (l.22-23) Le pronom « tous » appuie sur la modestie et

qui se dessine : même si ils sont tous les deux croyants du même Dieu , retrouve chez David un aspect plus calme que l'on ne trouve pas chez Joseph. - "ces paroles" =/= "ses paroles", utilisation d'un adjectif demonstratif au lieu d'un adjectif possessif = parôle de Joseph mises en valeur, ce ne sont pas les siennes mais des parôle en générale, comme si ce qu'il dit est général, comme s'il avait cité un passage de la Bible, donc ça donne de l'importance à ce qu'il dit, au fond il dit un peu tout

lettre. * On a une mise en valeur et une insistance sur l’objet (la lettre) qui va déclencher la révélation finale : en effet ‘ Sa lettre ‘ au vers 2444 désigne la lettre de Christian : on a l’utilisation d’un pronom possessif, et ‘ cette lettre ‘ au vers 2448 qui est un pronom démonstratif. Roxane commence à comprendre que Christian n’est pas le réel auteur de la lettre. * Au vers 2448, nous avons la didascalie : ‘ La nuit vient insensiblement ‘ On a cette nuit qui cache et qui révèle

adjectifs qui indiquent une qualité ou propriété essentielle ou accidentelle de l’objet désigné par le nom (ou le pronom) sur lequel ils portent. On réserve l’appellation d’adjectif à la seule catégorie de mots variables en genre et en nombre ; on oppose ainsi cette classe à l’ensemble des déterminants du nom : il faut étudier séparément les adjectifs « non-qualificatifs » (possessifs, indéfinis, démonstratifs, interrogatifs, numéraux) qui fonctionnent en réalité comme déterminants du nom. Adjectifs

leurs actes et la grandeur de leur empereur. De façon générale, cette première partie est basée sur l’autorité et la volonté d’Auguste, affirmée par les nombreuses occurrences de la première personne du singulier, ainsi que le pronom personne « moi » et l’adjectif possessif « ma ». Ainsi on remarque dans cette première partie que l’image d’Auguste est mise en avant, d’abord par le fait qu’il soit la victime tragique, puis par son extrême clémence vis-à-vis de ses traitres et à la grandeur qui l’accompagne

m’as jamais connue », « épigraphe », LI  p107, « c’est à toi seul que je veux m’adresser LI p.108).-Personnes de l’interlocution (personnes de rang 1 et 2, ici échange intime marqué par les marques de personne 1 et personne 2 (pronoms personnels je/tu, mais aussi pronom possessifs mon/ton…).-Indications métatextuelles (c’est-à-dire qui portent sur le texte lui-même) : « ouvre un cahier « (LL) ; « table à laquelle je t’écris » (p.108).Pourtant, si le terme de « lettre » apparaît dans les deux titres,

sentiments de rancœur et de dégoût. Les sentiments du poète Il ne s’agit pas seulement de relever les pertes mais bien de s’engager pour l’auteur, et cet engagement il l’exprime à travers l’utilisation du pronom « je » dont on note 6 occurrences entre les vers 11 à 26 ainsi que l’utilisation du pronom complément « me » (vers 25). Il décrit en premier lieu sa peur et son angoisse. Le champ lexical de la peur : « j’ai peur » vers 11 ; « je n’ose pas » vers 12 ; « je n’ose plus » vers 26 ; «  je ne peux

texte étiqueté: Étiquette Mot morphosyntaxiq Signification ue Nous Pp1mpn- pronom personnel 1-ère personne masculin pluriel nominatif avons Vaip1p- verbe auxiliaire indicatif présent 1-ère personne pluriel tout pronom indéfini masculin singulier Pi-ms— rétréc Vmps-sm i verbe principal participe passé singulier masculin de Sp préposition nos Ds1mpp- déterminant possessif 1-ère (possesseur) pluriel (possédé) jours Ncmp masculin pluriel nom