Propos Sur Le Bonheur

l'idéal secret des jeunes d'aujourd'hui" J. Binde Introduction: Ah les jeunes d'aujourd'hui, ils ne savent jamais ce qu'ils veulent. Il s changent d'avis constamment et ne sont jamais satisfait. Ils sont toujours à la quête du bonheur. Selon J.Binde le summum du bonheur des adolescents est de trouver l'amour, avoir un toit pour y habiter et procéder de l'agent. La question est maintenant de savoir si cette situation serait-elle l'idéal pour tous les jeunes ? Paragraphe opposition: "Cœur, chaumière

autobiographique et du registre lyrique. Ensuite, ce passage est caractérisé par l’expression des sentiments du narrateur dans une sorte de prose lyrique. Enfin, René s’adresse au lecteur dans ce texte, ce qui permet de l’inclure et de lui faire croire au propos du narrateur. Un récit mené par un « je » typique du genre autobiographique et du registre lyrique La première personne du singulier Pour commencer, cet extrait de René

Résumé Commentaire composé de la partie centrale de l'Avant-propos des « Mémoires d'outre-tombe » qui propose une réflexion sur la composition autobiographique : « Ces mémoires ont été composées à différentes dates et en différents pays [... la mort m'ira peut-être mieux] ». Cet avant-propos rédigé deux ans avant la disparition de l'auteur et la publication à titre posthume de ses mémoires, est l'occasion pour Chateaubriand d'une réflexion rétrospective sur les différents fils qui forment le

l'humanité. LA PESTE, UNE CHRONIQUE Il ne faut pas pour autant négliger l'aspect "chronique": sur un plan tout à fait littéral, il s'agit bien de la description d'une épidémie qui frappe la ville d'Oran. Voici ce que Roger Quilliot écrit à ce propos: "A s'en tenir au résumé le plus littéral, la ville d'Oran est livrée à une épidémie de peste qui apparaît, se développe, atteint son apogée et s'efface. Cela nous vaut une chronique médicale, une étude clinique; le narrateur suit les événements

Le Mondain, VOLTAIRE 1736 Lecture analytique 1 I. LE BLAME DU BONHEUR. A. La dénonciation du mythe de l'Age d'Or. -Temps d'innocense, d'abondance de justice et de bonheur (moyen âge promesse d'un futur paridisiaque). -Astrée (V.2) personnage féminin personnification de la justice. Fille de Zeus, dernière immortelle à vivre sur terre, Zeus la placera au ciel à l'age de bronze. -Saturne (V.3) dans le ciel pendant la création des hommes «beau jours de Saturne » = Age d'Or. -Rhée (V.3) fille

Dissertation : Mon bonheur est-il compatible avec celui du plus grand nombre ? Le bonheur, n’est-il pas ce que chacun désire ? Pour quoi, en vue de quoi ? Pour luimême, car il vaut par soi seul. Une fois atteint, (mais qui l’atteint ?) il ne sert pas à autre chose. N’est-il pas ce que la quasi-totalité des philosophes ont tenté d’analyser, décortiquer et définir ? La quête du bonheur est ce que la majorité d’entre eux assigne comme fin de l’homme. Le paradoxe est que, malgré des siècles de recherches

sur antony acte II scène 5 question : comment antony parvient à faire avouer à adèle ses sentiments ? Plan : I en lui montrant sa révolte contre les lois et les normes .. II en l'attendrissant par ses souffrances : III en lui rappelant le bonheur qu'il a connu auprès d'elle introduction : En 1831, Alexandre Dumas écrit Antony, illustration d'un passage de sa vie sentimentale, et qui sera considérée par les critiques littéraires comme le plus grand événement littéraire de son temps .

Être heureux, est-ce satisfaire tout ses désirs ? Être heureux signifie, personne qui jouit du bonheur, qui respire le bonheur. On a tendance à dire que le bonheur est dû à la réalisation de tout nos désirs. Un enfant qui a eu le jouet qui l'a tant convoité à noël ou le lycéen qui obtient l'amour de sa dulciné. le bonheur est propre à chacun, utopique et idéalisé il semble donc passer par l'obtention de nos désirs: Aristote à dit "tout désir est désir de son propre bien" dans le cas contraire

est un sentiment terrible, car il comprend une part d’inquiétude, à propos de l’autre. On se demande si l’autre est attirée par nous, si oui à quel niveau ou bien est-ce qu’on se faisait des idées, que chaque instant où on était heureux d’être près de lui, lui était lourd, à cause de notre présence justement ? C’est encore pire que si il ne nous aimait pas, car on l’empêchait d’être heureux. Mais d’où cette préoccupation du bonheur vient-elle ? L’amour ne se limite donc pas à aimer une personne

d’être satisfait), ne renvoie-t-il pas à un espoir d’être plus heureux demain ? Le désir apparaît alors comme une promesse de bonheur, comme le rêve compensateur de l’humain : le bonheur réside justement dans le fait d’imaginer, et donc de désirer. Si désirer signifie toujours souffrir alors l’absence de désir pourrait apparaître comme un moyen d’accéder au bonheur. Mais le bonheur n’est-il pas en vérité qu’un idéal de l’imagination, ne prend il pas son essence dans les désirs eux-mêmes ? S’il paraît