Prosopagnosie

portant cette fois sur des humains ont permis de découvrir la présence de détecteurs de caractéristiques dans les lobes temporaux et occipitaux, lesquels réagissent principalement aux visages. Des lésions dans ces régions peuvent entrainer la prosopagnosie, un trouble caractérisé par l’incapacité du sujet de reconnaitre les visages. La privation visuelle Des études ont montré qu’une certaine quantité de stimulations soit nécessaire au développement normal des détecteurs de caractéristiques. Ainsi

négligence sensorielle et une inattention controlatérale sur les stimuli visuels, auditifs et tactiles. Exemple d'effet d'une négligence sensorielle : dessinez une horloge Girus fusiforme S’il y a liaison du girus fusiforme cela entraine une prosopagnosie, cad l’amnésie des visages. Mais le girus n’est pas spécialisé dans la reconnaissance des visages, il est impliqué dans la reconnaissance des visages et des corps, reconnaissance des mots, reconnaissances des nombres et il serait également impliqué

anomie des couleurs (impossibilité de donner la couleur d'un objet ni de l'identifier dans la liste qui lui est présentée), une atteinte du champ visuel (hémianospie latérale homonyme droite), une désorientation temporo-spatiale, rarement une prosopagnosie (non-reconnaissance des visages). - alexie avec agraphie : dans ce cas l'alexie est totale et le patient ne peut pas lire, quelle que soit la façon dont le matériel écrit lui est présenté : lettres écrites, tracées sur la peau ou palpées, épellation

conservation d’une position caractéristique d’une pause ou d’une immobilité. Posture « téléma » : un pied juste devant l’autre. Praxie : organisation gestuelle coordonnée en fonction d’un résultat ou d’une intention. Prodrome : signes avant-coureurs. Prosopagnosie : trouble de la reconnaissance des physionomies avec impossibilité de connaître immédiatement au vu du visage à quelle personne on a affaire. Psittacisme : écholalie généralisée. Ptosis : chute de paupière. 178 Glossaire Le métier de psychomotricien

représente un véritable handicap dans la vie quotidienne, créant des situations difficiles à gérer. La voix ou certains détails, comme une moustache, une démarche, une calvitie, par exemple peuvent aider à mieux identifier la ou les personnes. La prosopagnosie peut se déclarer dès la naissance ou secondaire à une pathologie cérébrale, comme par exemple la maladie d'Alzheimer, la démence fronto-temporale, un traumatisme crânien ou un infarctus cérébral. Des tests de reconnaissance des visages permettent

ce soit mais qui parvient néanmoins à réussir des tâches visuelles, au delà de la simple chance ou du hasard. D’autres déficits, impliquant également des aires visuelles, sont la prosopagnosie ou incapacité de reconnaître un visage familier (Verstichel, 2001), voire de reconnaître un visage tout court (prosopagnosie apperceptive), ce qui la rapproche de la simultagnosie qui désigne l’incapacité de globaliser un percept, c’est-à-dire de voir de manière unifiée les différents traits ou formes d’un