Prosopopée De La Nature

• L'antithèse Opposition faite, dans la même phrase, entre deux expressions ou deux mots exprimant des idées contraires. • L'énumération Figure de style dans laquelle on trouve une suite de mots ou de propositions qui sont de même nature (noms, verbes, etc.) et de même fonction (sujets, compléments, etc.). Les éléments de l'énumération sont parfois séparés par d'autres mots. • La gradation ou la progression ou l’énumération progressive Énumération dans laquelle il y a un ordre

Plan dialectique : I) Accord avec la définition Humilité, simplicité de la définition. Poète = homme qui parle dans le monde. Rapport du poète avec le monde = intériorité. Exemple : de l’inanimé aux abstractions, la nature, etc. (Rapport que Lamartine entretient avec paysage, eaux, etc.) La Maison du Berger Silence de tout ce qui est inanimé, non humain, disparu = silence contraint, forcé, tous ces éléments ne demandent qu’à être pris en charge par le poète qui leur donne parole. L’être se définit

de l’auteur Prise de position envers le loup. Nous connaissons les pensées du loup, pensées internes. L’utilisation du mot « Sire loup » favorise le loup. La parole du chien est privilégiée mais le loup aura le dernier mot. Personnification, prosopopée (faire parler des animaux) ; il éprouve les sentiments des animaux, qui débattent sur le sujet de la liberté. III- la morale. 1. La servitude - Le chien est attaché et dépendant du maître pour sa nourriture et son affection. Il appartient

parole * L’orateur a une forte volonté de s’exprimer : V3 « art tyrannique » et V15 « harangueur » ou « parla fortement » « figures violentes » chercher à convaincre * Cherche à persuader : figures rhétoriques « fit parler les morts » prosopopée Aucuns effets « personne ne daignait l’écouter » * V15 « il prit un autre tour » Passage au discours direct qui est plus percutant. Effet immédiat « l ‘assemblée a l’instant cria tout d’une voix » tandis qu’avant elle était dispersée « l’animal

l’alternance des rimes masculines et féminines. * la qualité de la rime : la rime riche se compose de trois sons communs. La rime suffisante comporte deux sons en commun. Enfin, la rime pauvre est celle où il n’y a qu’un son en commun. * la nature de la rime : * les rimes plates ou suivies sont celles qui sont couplées deux à deux (AABB). * Les rimes embrassées, quant à elles, sont enchâssées l’une dans l’autre (ABBA). * Enfin, les rimes croisées sont celles qui sont alternées

1511 et écrit par Érasme. Il est humaniste et dénonce que la religion se sert des faiblesses humaines. « Le divertissement », issu du livre Pensées rédigé en 1669, fragment 126 de Pascal. Cet écrivain fait parti du classicisme. Il étudie les mœurs la nature humaine et ses défauts tout comme Jean de La fontaine qui publie La besace en 1668. Enfin « Petite digression » du recueil Le philosophe ignorant publié par Voltaire en 1766. Auteur du 18ème siècle, il fait parti des philosophes des Lumières. Il dénonce

est la description de paysage à la manière de peintures flamandes. Ils nous montrent un tableau très sinistre avec beaucoup de tristesse notamment avec les couleurs sombres : “un pâle étang“, “glisse une lueur“ et un décor sinistre “horizon mort“, “nature éteinte“. Je vais vous présenter dans ma troisième partie les trois poèmes et leurs points communs. Dans “le miroir brisé“ de Prévert il évoque la mort de la jeunesse et le regret du passé. Dans “Elsa au miroir“ Aragon parle de la femme et la

le nombre de vers égal au mètre utilisé et se termine par un même vers appelé refrain qui ajoute encore de la musicalité au texte. Signalons également la dimension surnaturelle de l’épitaphe dans laquelle Villon donne la parole aux pendus via une prosopopée. Ce procédé stylistique consiste à faire parler une personne morte ou absente, un animal ou un élément personnifié ou abstrait. Il s’agit dans le cas présent des suppliciés. Abordons maintenant la situation d’énonciation. Nous constatons d’emblée

8), «tonna » (v.9), dont le registre à la fois tragique et polémique semble être en accord avec la gravité de la situation. Cette manière de s’exprimer, sévère, grave et menaçante, sans doute pompeuse du fait des figures employées (hyperboles, prosopopées, exagérations diverses), est présentée par le narrateur comme totalement inefficace. L’inefficacité est exprimée par de brefs constats frappants, négatifs et imagés : « On ne l’écoutait pas » (v.6), « le vent emporta tout ; personne ne m’émut »

l’Etat qui appartient au Prince, c’est le Prince qui appartient à l’Etat. » (Diderot)  L’ACCUMULATION : consiste à ajouter des termes de même nature et de même fonction (afin de produire un effet de quantité ou de variété) : « ils ont des pointes, des épines, des lames, des griffes, des ongles »  LA GRADATION : consiste à accumuler des termes de même nature, dont l’intensité est croissante ou décroissante : « Je me meurs, je suis mort, je suis enterré ! « (Molière) : gradation ascendante ; « Mme