Prosopopée De La Nature

d'un personnage en proie à des passions qui font de lui l'incarnation monstrueuse du mal le plus absolu. Développement :=> Vers 1 : Au début de son monologue délibératif, Médée s'adresse à « [s]a vengeance » personnifiée (allégorie). La prosopopée rend « vraisemblable » le fait que l'héroïne parle seule (cf. la règle classique de vraisemblance), mais elle rend aussi manifeste le trouble du personnage aux prises avec ses passions (haine, jalousie, désespoir, désir de vengeance...). L'anaphore

nuit "  Cette inquiétude ne se marque pas seulement dans le vocabulaire mais aussi dans la syntaxe, par des balancements (parallèles) " Tantôt... tantôt " 3) L’inquiétude allégorisée par la nature  Comme dans les rêveries de Rousseau, c’est d’abord la métaphore musicale qui souligne l’harmonie avec la nature : " Les sons que rendent les passions dans le vide d’un cœur solitaireressemblent au murmure que les vents et les eaux font entendre dans le silence d’un désert ", et " J’écoutais ses chants

mémorialiste est entouré par la nature et dit ce qu’il perçoit dans un mouvement d’exaltation lyrique : « je dirige ma promenade…me submerge… je me sens… m’envahit ». Il évoque son quotidien dans « le petit parc » lié à l’intimité familiale à laquelle il fait une allusion dans une scène champêtre dont la simplicité surprend avec la teneur grave des pages précédant le départ. La méditation de l’homme face au temps qui file, au cycle de la vie, aux leçons de la nature sont celle d’un homme face à son

endroits d'un même énoncé pour mettre en valeur leur correspondance ou leur rapport étroit. -Le chiasme est un parallélisme qui dispose ses termes de manière croisée selon le schéma AB/BA. L'accumulation consiste à ajouter des termes de même nature et même fonction. Elle semble pouvoir se poursuivre indéfiniment. -La gradation est une accumulation de termes d'intensité croissante (ou décroissante). L'hyperbole désigne l'ensemble des procédés d'exagération. L'expression en dit plus que

même construction rythmique ou syntaxique deux groupes de mots pour mettre en valeur leur lien étroit (AB/AB). Un chiasme est un parallélisme croisé (AB/BA ; exemple : adjectif/mot puis mot/adjectif) ⁃ L'accumulation : ajouter des termes de même nature et de même fonction. Une graduation est une accumulation de termes d'intensité croissante. ⁃ L'hyperbole : ensemble des procédés d'exagération. Contribue au registre épique et a l'emploi ironique ou comique. 2. Les figures d'opposition Elles

toujours une métaphore du poète ; il en constitue au contraire, et même très souvent, l’autre, le contrepoint. L’intériorité et la subjectivité animales échappent alors à l’homme, qui ne peut s’en saisir qu’avec difficulté. Autrement dit, si la Nature est un livre, on ne peut pas lire à livre ouvert dans l’animal. Mots clés : écopoétique ; parole animale ; Romantisme ; Hugo ; Lamartine Référence : Aude Jeannerod, « Parole poétique et parole animale : Lamartine et Hugo », in « Créatures parlantes

Hugo, célèbre poète du 19eme siècle, chef de file du mouvement romantique. L’écriture de Victor Hugo est une écriture lyrique qui relève du mouvement romantique et qui correspond à l’expression personnelle de sentiments (joie, amour, sentiment de la nature, mélancolie…).Le poème appartient au recueil les Contemplations, les « Mémoires d’une âme », une sorte d’autobiographie poétique organisée en deux parties, « Autrefois » et « Aujourd’hui ». Le poème est composé de 9 quatrains d’heptasyllabes, eux

mort de ses proches. Tout au long de son poème, Lamartine affiche clairement le thème du cycle de la vie qui selon lui passe trop vite. Lamartine utilise une métaphore filé qui est parti intégrante du poème du début à la fin. Les composantes de la nature sont en fait reliées à la vie humaine. Lorsqu’il fait référence aux fruits que Dieu ne laisse pas murir, il essaie simplement de démontrer que la vie n’est qu’un cycle qui a un début et une fin tragique tout comme les fruits qui mûrissent et tombe

Turin.   Quand il quitte Turin, Jean-Jacques cherche à gagner sa vie ; mais après plusieurs mésaventures, il retourne chez Mme de Warens qui lui donne l’hospitalité à Chambéry, puis à sa maison de campagne des Charmettes. Là, il lit, il regarde la nature, il rêve.   En 1740 (il avait vingt-huit an), il accepte une place de précepteur chez M. de Mably, à Lyon. Mais il ne réussit pas. Et enfin, il arrive à Paris, avec quelques louis que lui a donnés Mme de Warens, et un nouveau système de notation

réalités sensibles pour apercevoir l’unité et la permanence de l’Idée. Pour Socrate, ce qui est vrai de la connaissance l’est aussi de l’action. Nous ne pouvons fonder la morale sur un principe unique et permanent que si nous pouvons connaître la nature de ce principe, si nous pouvons connaître l’essence du Juste et du Bien. Diriger son action selon le Juste et le Bien, cela relève d’une connaissance, d’un savoir, la connaissance des Idées, la dialectique[3]. On atteindra d’autant plus facilement