Protagoras L Homme Est La Mesure De Toute Chose

connaissance vraie. C’est la raison qui nous permet de saisir avec certitude le visible et l’invisible (les phénomènes physiques et les entités métaphysiques. Pour qu’une connaissance soit vraie, il faut qu’elle se règle sur l’Etre, c’est-à-dire la chose en soi (celle qui transcende le réel concret). On comprend donc pourquoi Platon pensait qu’on pouvait atteindre la vérité certaine. Mais à une seule condition : la raison humaine doit transcender le sensible pour l’intelligible, ceci par le moyen de

conféré à chaque homme ; est heureux celui chez qui, par nature, existe un équilibre entre les désirs et les facultés. En effet, le bonheur ne se goûte qu’à condition que les désirs n’aillent pas au-delà des possibilités de leur satisfaction. Selon cette optique, sera le plus heureux celui qui aura les désirs les plus grands et le plus de moyens de les assouvir (un tyran par exemple). Le bonheur est donc inséparable du plaisir (c’est ce qu’on appelle l’hédonisme) et, plus encore, se mesure à l’intensité

et la technique Introduction 1 Etymologie et sens du mot « travail » 1 Travail et technique : des rapports dialectiques 2 L’ambivalence fondamentale du travail et de la technique 2 La technique, c’est le feu : le mythe de Protagoras 3 I. Esclavage ou libération ? 4 A. Le travail est une contrainte pénible 4 L’origine du concept de travail 4 Etymologie et sens 4 L’origine du travail selon la Bible 5 L’origine du travail selon Rousseau 5

Le travail et la technique Introduction 1 Etymologie et sens du mot « travail » 1 Travail et technique : des rapports dialectiques 2 L’ambivalence fondamentale du travail et de la technique 2 La technique, c’est le feu : le mythe de Protagoras 3 I. Esclavage ou libération ? 4 A. Le travail est une contrainte pénible 4 L’origine du concept de travail 4 Etymologie et sens 4 L’origine du travail selon la Bible 5 L’origine du travail selon Rousseau 5 Le mépris grec du travail 5 Le travail est nécessaire

de la sagesse, il se distingue des physiologues pas son intérêt des questions éthiques. Anticonformiste, il déclenche des réactions d’hostilité. Tous les dialogues de Socrate nous sont connus à travers Xénophon et Platon. Ils le présente comme un homme vertueux, soucieux d’améliorer ses interlocuteurs. D’après les dialogues de Platon, Socrate n’a aucune doctrine mais revendique seulement la conscience de son ignorance. Il présente son art comme un art d’accoucher les idées ; la maïeutique. Le locuteur

humanistes modernes voient dans l'humanisme de la Renaissance la prise de conscience d'un courant qui a des racines profondes non seulement dans le monde antique de l'Occident mais également en Asie. Dans l'Antiquité grecque, Protagoras, affirmant que « L'Homme est la mesure de toute chose ». Humanisme et moralité :- L’humanisme est porteur de valeurs universelles. Il s’oppose, en particulier, au relativisme moral. Pour un humaniste, il existe des principes moraux qui aident l’humanité à survivre et à

chacun peut légitimement avoir ses opinions propres. Si l'on considère que seul un sujet peut se faire une représentation de quoique ce soit, il vient qu'une représentation est nécessairement d'abord subjective et particulière. Donc aucun homme n'est fondé à prétendre que la représentation d'un autre serait "fausse", d'une part parce qu' aucun n'est exactement dans la même position qu'un autre, et n'a donc le même point de vue, d'autre part parce que cela comporterait l'illusion, non exempte

existent. On doit se conformer aux propriétés de la réalité. Valeur objective et universelle. "dépend" : elle n'existe pas sans nous : - c'est nous qui l'inventons, qui en décidons, qui la choisissons - elle n'advient que par la recherche d'un homme qui pense. Il y a incompatibilité entre la définition de la vérité et le premier tiret de "dépend". "nous" : - tous les hommes = universel - un groupe d'hommes = particulier (donc contradiction) - un seule personne = particulier (donc

la nature a conféré à chaque homme ; est heureux celui chez qui, par nature, existe un équilibre entre les désirs et les facultés. Le plus heureux sera celui qui aura les désirs les plus grands et le plus de moyens de les assouvir (un tyran par exemple). Le bonheur est donc inséparable du plaisir (c’est ce qu’on appelle l’hédonisme) et, plus encore, se mesure à l’intensité de ce plaisir. Socrate cherche à faire entendre à Calliclès que les désirs ont quelque chose d’incontrôlable et qu’ils tiennent

________________________________________ Travail et technique : des rapports dialectiques _________________________________ L’ambivalence fondamentale du travail et de la technique __________________________ La technique, c’est le feu : le mythe de Protagoras _______________________________ 1 2 2 3 I. Esclavage ou libération ? ________________________________ 4 A. Le travail est une contrainte pénible ___________________________ 4 L’origine du concept de travail_____________________________________________