Protagoras La Vertu S Enseigne

propres à maximiser les plaisirs de l’individu. Mais selon platon le but du droit n’est pas de satisfaire les appétits individuels au nombre desquels platon compte l’ordre et la sécurité mais de poursuivre le bien, c.-à-d. la justice. La justice est la vertu consistant à attribuer à chacun sa part. La justice s’exerce autant l’intérieur de l’homme que de la cité. Lien entre d’un côté réflexion morale individuelle et la science politique.< En effet deux dimension indissociables car la cité est faite

de la loi positive Réflexion sur la loi positive due au courant des sophistes : ensemble de penseurs et d’enseignants, au 5° av et début 4°, ils ne constituent pas une école philosophique unifiée : professeur de rhétorique, installé à Athènes : enseigner aux jeunes citoyens fortunés d’Athènes la sagesse (Sophia : sagesse dans le sens de savoir technique). Spécialiste de savoir technique, connaissance dans certains domaines très pratique. Forment des gens aptes à prendre des décisions et donc argumenter :

réalité comme interprétation, reposant sur une thèse sensualiste, tout ceci supposant que toute interprétation n'existe qu'en tant que perspective. À partir de cette thèse perspectiviste, la question qui se pose à Nietzsche (comme elle s'était posée à Protagoras, cf. le dialogue de Platon) est de savoir si toutes les perspectives (ou interprétations) se valent. La généalogie vient répondre à cette question. Deux usages[modifier] Si la Volonté de puissance est appliquée par Nietzsche à l'ensemble de la

réalité comme interprétation, reposant sur une thèse sensualiste, tout ceci supposant que toute interprétation n'existe qu'en tant que perspective. À partir de cette thèse perspectiviste, la question qui se pose à Nietzsche (comme elle s'était posée à Protagoras, cf. le dialogue de Platon) est de savoir si toutes les perspectives (ou interprétations) se valent. La généalogie vient répondre à cette question. Deux usages[modifier] Si la Volonté de puissance est appliquée par Nietzsche à l'ensemble de

où règnent l’intérêt et les passions, serait la proie de tous les autres et mettrait par là même en danger le peuple qu’il est chargé de représenter. Le réalisme conduit donc à juger des hommes sur leurs actes et non sur leurs intentions ou leurs vertus. Mais s’il en est ainsi on comprendra que l’idée d’action pose un certains nombre de problèmes. Si en effet l’action politique ou économique se caractérisent par la recherche de l’efficacité, on peut se demander si la réussite de l’action ne conduit

preuve d’équilibre entre le corps et l’âme, dans ma sensation. De même, il n’y a pas de vertu sans plaisir : « Je prêche des plaisirs durables et non des vertus creuses et vaines » dit Epicure . Par exemple, la frugalité est bonne, puisqu’elle me tient en bonne santé, mais pas jusqu’à l’usage de produits médiocres ou en quantité mesquine. En somme cette tempérance du sage, qui réalise le bonheur, est vertu. La vertu n’est pas dans un devoir énoncé comme principe a priori, comme chez Kant, mais dans un

réflexion du droit dans un ensemble bcp plus vaste, par ex la réflexion de la place de l’hoe dans la cité. Parmi les premiers a réfléchir sur le droit on a les sophistes qui réfléchissent sur la sagesse, l’un des sophistes les plus importants est Protagoras 5es avt J.C celui-ci pense que chaque cité est maitresse de sn code de valeur c’est elle qui dit le juste et l’injuste. A partir du moment où il vit dans la cité il doit se plier aux lois fixées par la cité même si il n’est pas d’accord, autre philosophe

Et chacun, depuis des siècles, a pris le parti de croire avant de savoir. Or, ce croire fanatique est la source de tous les maux humains ; car on ne mesure point le croire, on s'y jette, on s'y enferme, et jusqu'à ce point extrême de folie où l'on enseigne qu'il est bon de croire aveuglément. C'est toujours religion ; et religion, par le poids même, descend à superstition. Suivez les démarches d'un partisan ; même des cris, même une bousculade heureuse lui font effet de preuves. La puissance revient

un moyen de savoir et de dominer, c’est une valeur extrinsèque. L’idéologie hédoniste du savoir qu’il considère avec mépris sauf avec compréhension du moyen au savoir illimité. La contention du savoir exige le savoir, l’humilité (peut devenir une vertu, une qualité pour apprendre le savoir) ne sont acceptés que provisoirement s’il y a éclatement de jouissance. L’idéologie psychotique c’est une rupture avec le réel dans la mesure où la fragmentation des savoirs est accompagnée voire aggravée par

libérale (…) La science politique devrait pouvoir séparer les éléments objectifs de ceux qui ne le sont pas. » Elle doit connaître et présenter les conceptions. Comportements politiques qui soient alimentés par plusieurs sources, points de vue. Platon Protagoras dans ses dialogues, met en parallèle la démocratie où il y a de l’amateurisme car tous ne sont pas compétents. Il n’y a pas de choix fait que par des gens compétents. Sur les votants, combien se prononcent en connaissance de cause ? Quels sont les