Protection Et Gestion Des Milieux Naturels

de la disparition d’espèces | | | |A. Les facteurs naturels | |B. Les facteurs humain | |

à évaluer, en fonction des réactions diverses des milieux locaux ».[2] La montagne d’ailleurs est tout aussi difficile à définir. Raoul BLANCHARD ne disait-il pas dans la préface de l’ouvrage de Jules BLACHE « L’homme et la montagne » (1933) « Une définition même de la montagne, qui soit claire et compréhensible est à elle seule à peu près impossible à fournir ». Nous pouvons nous demander si la montagne souvent identifiée comme un « milieu spécifique » fait appel à un aménagement particulier

besoins »[1], ou encore comme « l'ensemble des conditions naturelles (physiques, chimiques, biologiques) et culturelles (sociologiques) susceptibles d’agir sur les organismes vivants et les activités humaines »[2]. La notion d'environnement naturel, souvent désignée par le seul mot environnement, a beaucoup évolué au cours des derniers siècles et des dernières décennies. On peut aujourd'hui définir l'environnement comme l'ensemble des composants naturels de la planète Terre, comme l'air, l'eau, l'atmosphère

Consultation publique s u r l a g e s t i o n d e l ’e a u a u Q u é b e c L’ approche écosystémique et la gestion par bassin versant Document de soutien à l’ atelier de travail de la Commission du 4 juin 1999 à Québec Monique Lajoie 27 mai 1999 BUREAU D’ AUDIENCES PUBLIQUES SUR L’ ENVIRONNEMENT Table des matières Avant-propos ..................................................................................................................................1 1. Pourquoi une approche

Option : Gestion des ressources naturelles Année universitaire: 2012-2013 EXPOSE N° II Sous la direction du Professeur Emmanuel BANDRE PLAN INTRODUCTION I-Définition de quelques concepts Ressource naturelle Gestion traditionnelle des ressources naturelles II-Systèmes et techniques de gestion traditionnelle des ressources naturelles 1- Gestion de l'eau

l’emploi...... 19 II.3 La maîtrise de la croissance urbaine....................................... 19 II.4 La sauvegarde des ressources hydriques................................. 20 II.5 Les défis écologiques : la lutte contre la dégradation desmilieux naturels ........................................................................................................... 21 II.6 Le défi de l’ouverture et de l’insertion dans le processus de la mondialisation .................................................

Dossier de l’environnement de l’INRA, n°21 139 Protection de la forêt méditerranéenne contre les incendies et biodiversité Michel Étienne INRA - Unité d’Écodéveloppement Site Agroparc, 84914 Avignon cedex 9 etienne@avignon.inra.fr À partir des années 1970, des aménagements de défense de la forêt contre les incendies (DFCI) ont été mis en place en forêt méditerranéenne. Leur principal objectif était de créer des discontinuités au sein des massifs forestiers au moyen de bandes régulièrement

 Introduction Ensemble des éléments artificiels et naturels, tout ce qi constitue le cadre de vie de l’homme est « Environnement ». Mais depuis quelques années, elle se dégrade peu à peu et sa protection est devenue un enjeu majeur au XXIème siècle. Donc durant cet exposé nous allons parler un peu plus de l’environnement car l’Environnement englobe aujourd’hui l’étude des milieux naturels, les impacts de l’homme sur lui et les actions engagées pour les réduire.

RELATIVE A LA GESTION DE L’ENVIRONNEMENT L’ASSEMBLEE NATIONALE A DELIBERE ET ADOPTE LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE PROMULGUE LA LOI DONT LA TENEUR SUIT : TITRE I DES DISPOSITIONS GENERALES ARTICLE 1er.- La présente loi fixe le cadre juridique général de la gestion de l’environnement au Cameroun. ARTICLE 2.- (1) L’environnement constitue en République du Cameroun un patrimoine commun de la nation. Il est une partie intégrante du patrimoine universel. (2) Sa protection et la gestion rationnelle

avec de très faibles pentes. Son altitude atteint 184 m au niveau de son point le plus bas. Notons enfin la présence de très nombreuses failles, d’éperons calcaires, de falaises et d’éboulis ainsi que de nombreuses cavités souterraines (grottes naturelles, conduits karstiques). Ces marqueurs topographiques ont favorisé la culture viticole dans la partie ouest et, à l’inverse, l’implantation humaine dans la vallée de la Saône. Figure 4 : Point de vue depuis la roche de Solutré en direction de