Protectionnisme Monétaire

des effets positifs sur la croissance Au niveau de la théorie économique, la théorie des avantages absolus de Smith et surtout la théorie des avantages comparatifs de Ricardo légitiment le développement des échanges. Si certains pensent que le protectionnisme est nécessaire dans un premier temps pour permettre aux industries nationales de se développer (List en Allemagne au 19ème s, ou encore la théorie japonaise du « développement en vol d’oies sauvages »), ce n’est que pour mieux s’insérer par la

catastrophique du protectionnisme. Ces politiques prédatrices du "chacun pour soi" ont produit des conséquences désastreuses, en propageant et en aggravant la crise, en cloisonnant les marchés du commerce international. Pour éviter le retour aux incertitudes de cette période chaotique qui devait déboucher sur la deuxième guerre mondiale, les gouvernements alliés s’entendent, avant même la fin des hostilités, sur les principes d’une coopération devant régir les relations commerciales et monétaires lorsque

des nations entre elles. Ainsi dans les années 80 et 90, le taux d’interdépendance est de 20% en France et en Grande Bretagne. Le niveau d’exportations nettes augmente le revenu national par le biais de l’augmentation des contreparties de la masse monétaires (devises). On peut en conclure dès lors qu’il existe une corrélation positive entre commerce international et croissance. Pendant la période 1946 1974, le taux de croissance du PIB français est en moyenne de 4%. L’origine de ce phénomène se constate

il y a alors non seulement unification des marchés de biens et de services mais aussi des marchés de facteurs de production; l'union économique prévoit de surcroît la mise en place de politiques économiques communes ; l'union économique et monétaire est la forme maximale de l'intégration puisqu'elle implique un abandon de souveraineté des pays la composant au profit d'une monnaie unique donc de politiques économiques régionales. 2. L'intégration européenne La régionalisation est une intégration

de régulation, le marché ne peux pas être régulés seul (avec la crise de 2008-2009, la pensé keynésienne redevient populaire) Pour Keynes l’état doit intervenir quand l'économie présente des faiblesses par le biais de politiques : Monétaire, budgétaire, fiscale, conjoncturelles ou structurelles. Avec une politique conjoncturelle l'Etat agit a court terme en cherchant à réguler soit par une politique de relance : dynamiser l'économie en produisant plus, soit par une politique de rigueur

une « bonne affaire » économique ? Commentaire de texte : Napoléon III et le libre échange (recueil de documents) SEANCE N° 11 : LA GUERRE DE 31 ANS ET LA FERMETURE DES ECONOMIES Exposé tableau : Du libre échange au protectionnisme, la politique commerciale, douanière et monétaire de l’Angleterre au cours de l’entre-deux-guerres. Exposé débat : La Seconde Guerre mondiale a-t-elle eu des causes économiques ? III. Politiques économiques et internationalisation. 27, rue Saint-Guillaume 75007 Paris

parce que le pays n’a pas réussi à s’industrialiser et à se différencier efficacement.2 L’instabilité macroéconomique engendre une perte de crédibilité au niveau international et une hausse de l’inflation.1 L’Etat s’ingère aussi dans la politique monétaire, offrant de faibles taux d’intérêt, et réduisant les investissements, ce qui entraîne un vieillissement de l’appareil de production.1 Dans les années ’70 et ’80, l’Argentine subit une crise profonde causée par toutes ces mauvaises politiques,

stimulation des acteurs, obligés d'être toujours plus compétitifs pour se maintenir dans la course avec une exigence toujours accrue de productivité , néanmoins il existe un revers à la médaille . Un pays se trouve devant un dilemme : libre-échange ou protectionnisme ? 1- Ouverture des frontières : La mondialisation n’est pas un phénomène nouveau. Celle qui caractérise les vingt dernières années constitue en réalité l’accélération d’un processus plus ancien de globalisation de la production et des échanges

États-Unis ont un taux de capital par tête parmi les plus élevés, ils exportent des produits relativement intensifs en travail (paradoxe de Leontief); o L'égalisation des prix relatifs n'est que rarement observée, même au sein d'une union monétaire comme la zone euro. Cette observation amène à étudier les conséquences de différences de demande entre les pays. * Dans ce modèle, la mobilité du capital conduit à une situation dégénérée : après un équilibrage des dotations relatives, les pays

union monétaire comme la zone euro. Cette observation amène à étudier les conséquences de différences de demande entre les pays. • Dans ce modèle, la mobilité du capital conduit à une situation dégénérée : après un équilibrage des dotations relatives, les pays se retrouvent en autarcie. Les théories protectionnistes Protectionnisme ou libre-échange ? Si la dynamique du commerce international tend à favoriser la constitution des monopoles, alors il semble que le protectionnisme soit