Protectionnisme Ou Libre échange Quel Choix Pour Un Pays En Développement

Principes de l’économie politique de Ricardo, et sur leurs répercussions sur la politique de change de l’Angleterre du XIXème siècle. Il envisage ensuite l’histoire de la mondialisation suivant les périodes de succès du libre-échange et les déboires engendrés par le protectionnisme. Le second courant exploite, à côté de la vision ricardienne, d’autres théories telles que celle de Fréderic List, qui a motivé la politique protectionniste menée par Bismarck à la fin du XIXème siècle en Allemagne. Ce

et avantages du protectionnisme ........................................................................... 3 B. Les dumpings et les distorsions que subissent l’agriculture sont les exemples parfaits de politiques protectionnistes ....................................................................................................... 4 II. Les limites du protectionnisme, compensées par une politique de libre échange .................... 6 A. Les inconvénients du protectionnisme ...............

beralisme Dissertation sur le protectionisme et liberalisme Achraf MAHINE L'histoire du protectionnisme Dans l'histoire de la pensée économique, le libre-échange a longtemps été la règle, et le protectionnisme était perçu comme étant une anomalie nuisible au bon développement de l'économie. Mais à partir du XVIe siècle, les pensées économiques vont justifier la légitimité du protectionnisme. Histoire du libéralisme Le terme « libéralisme » pour désigner ce courant de pensée est apparu

phénomène d’intensification des échanges économiques et culturels entre les pays. Elle renforce l’interdépendance des économies et des sociétés. L’interdépendance est un terme important, dire qu’il y a une interdépendance renvoie à l’idée que se qui se produit à un endroit de la planète a des répercutions sur la planète, dans de nombreux endroits. Il y avait déjà une première mondialisation à la fin du 19ème siècle. Elle était beaucoup plus limité aux échanges financiers. La mondialisation

travers de tarifs et réglementations. Par extension, l’utilisation de tarifs ou réglementations dans l’accès à un marché national est perçue comme une politique protectionniste. Dans un premier point, nous allons montrer que si le retour du protectionnisme n’a pas été un grand succès par le passé, il risque de poser des problèmes aujourd’hui. Dans un second point, nous nous attacherons à montrer que l’on peut toutefois considérer que la mondialisation est allée trop loin et que, pour maintenir

d’insertion internationale d’un pays Cette insertion se déroule dans un contexte particulier : la mondialisation économique On parlera de la dimension réelle de la mondialisation La mondialisation économique : On l’aborde sous l’ordre des tendances et des flux économiques 4 processus constituent la mondialisation : - l’ouverture économique et commerciale. Taux d’ouverture moyen mondial qui est passé de 2% dans les années 60 a à peur près 22% en 2008 ¼ de l’activité d’un pays (PIB) dépend de ses rapports

« si un pays étranger peut nous fournir une marchandise à meilleur cout que nous sommes en mesure de la produire , il vaut mieux acheter la marchandise dans ce pays et se concentrer sur la production et la vente des marchandise que nous produisons plus efficacement. ». Ce précepte général débouche sur une conclusion opérationnelle : instaurer des obstacles aux échanges internationaux serait peu "avisé". Adam Smith conforte cette conclusion par des arguments complémentaires. Les échanges entre deux

fondements du commerce international et de l’internationalisation de la production. Intro :Pouvons-nous vivre sans échanger ? En effet, il est très difficile de vivre en autarcie, c’est donc pour cela que les échanges sont nécessaires. Le commerce international ce sont les échanges entre un pays et le reste du monde. C’est-à dire que nous exportons ce qu’on a de trop mais aussi nous importons de ce que nous manquons. Nous allons étudier le commerce internationale en France, après la seconde guerre mondiale

concerne donc le domaine économique. Cette notion insiste sur l’interrelation, sur les échanges entre les entités nationales. C’est une logique classique, néo-classique, celle du commerce international. Cette logique fait correspondre les frontières politiques aux frontières économiques. L’entité de base de cette théorie reste la nation. Dès le 19e siècle, il existe adeptes et opposants du libre échange. Les opposants ont une logique protectionniste, ils avancent l’argument de l’intérêt national

pour les exportations des pays pauvres. L’ONU rappelle sans cesse que « le libre-échange peut profiter à tous ; et pas seulement aux plus riches ». Reste qu’au-delà des beaux discours la libéralisation du commerce reste à faire puisque les pays riches ferment systématiquement l’accès de leur marché textile et agricole aux pays en développement… Le pire des protectionnistes est de loin l’Union Européenne ; il ne faut pas s’y tromper. Elle parle beaucoup de libre-échange mais préfère ne pas le pratiquer