Protocole de Montréal

l'UE (Document 2). Dans ces conditions, une prise de conscience internationale s'avère nécessaire. L'opinion publique internationale se montre de plus en plus sensible aux préoccupations écologiques et presse les gouvernements d'agir. Les accords de Montréal et de Kyoto sont des premières tentatives de coordonner les actions préconisant de nouvelles régulations économiques et sociales susceptibles d'économiser les ressources et/ou de changer les pratiques productives (développement durable*). Le document

Sainte-Justine, Montréal, Québec, et Interne en pharmacie, Faculté de Pharmacie, Université de Lyon Denis Lebel, B.Pharm, M.Sc, FCSHP, Adjoint aux soins pharmaceutiques, Département de Pharmacie, CHU Sainte-Justine, Montréal, Québec, Suzanne Atkinson, B Pharm, M.Sc, Adjointe, Département de Pharmacie, CHU Sainte-Justine, Montréal, Québec Jean-François Bussières, B.Pharm, M.Sc, FCSHP, Département de Pharmacie et unité de recherche en pratique pharmaceutique, CHU Sainte-Justine, Montréal, Québec et

moyens techniques ont été développés pour adapter les méthodes industrielles aux impacts de l'activité humaine sur l'environnement. Ces moyens peuvent être techniques, mais aussi législatifs et normatifs. Au niveau international, des accords comme le protocole de Kyoto imposent des quotas maximum d'émission en termes de gaz à effet de serre[81]. D'autres accords règlent des points plus précis, comme la protection d'un lieu[Note 8], d'une espèce menacée, ou l'interdiction d'une substance[Note 9]. Traitement

production non viables, nous sommes en train de dilapider le patrimoine de nos enfants. Les pays riches comme les pays pauvres doivent modifier leurs pratiques. Les bases de l’action ont été jetées en 1992, lors de la Conférence de Rio, et le Protocole de Montréal sur l’élimination des substances qui appauvrissent la couche d’ozone marque une étape importante. Mais, les mesures que nous prenons dans d’autres domaines sont insuffisantes, de trop faible envergure ou arrivent trop tard. Nous devons, avant

l’océan, menaçant potentiellement jusqu’à 60 % de la population mondiale d’ici la fin du siècle. • Evénements météorologiques extrêmes tels tempêtes, canicules ou cyclones. • Arrêt du Gulf-Stream faisant connaître à Paris le climat de Montréal. • Phénomène de dégagement de CO2 par l’océan au lieu du phénomène actuel d’absorption. • Libération du méthane contenu dans le permafrost, ces sols perpétuellement gelés des zones arctiques. Nous risquons donc des effets de seuil

relocaliser l’économie, repenser les démocraties, revoir la société. Autre monde, autre mondialisation. III – « Think global, act local », l’environnement préservé ? 3-1 Action résolue des Etats et des pouvoirs publics -Protocoles d’accords nombreux depuis 90’s. *Montréal (couche d’ozone) *Kyoto (CO2) *Carthagène (biodiversité) en Colombie -Efficacité, déplétion couche d’ozone stoppée. -Majorité de pays signataires (sauf EU-Kyoto) même si les engagements pas chiffrés (Chine). -Certains

contiennent des dispositions liées à l'environnement. 1987 : Protocole de Montréal : interdiction du commerce des gaz responsables du trou dans la couche d'ozone et des produits en contenant. 1998 : convention de Rotterdam sur les substances chimiques industrielle : procédure de consentement préalable en connaissance de cause : interdiction d'importer autorisée si le danger ne peut être effectivement écarté. 2000 : protocole de Carthagène sur la biodiversité : l'importation d'organismes vivants

des années 1990, à être appliquée concrètement dans certains pays et communautés supranationales comme l'Union Européenne. Elle contient un rappel d'utilisation des termes et introduit le principe de précaution. Elle a été complétée en 2000 par le Protocole de Carthagène sur la biosécurité qui traite des développements biotechnologiques et en particulier des OGM (Organismes Génétiquement Modifiés). 1994 ? La conférence des pays signataires, en 2004 à Kuala-Lumpur, a insisté sur le besoin de protéger

environnementaux dans cette région du monde et centre ses et du développement dans les politiques de l’aide bilatérale. efforts sur la participation des entreprises, des gouvernements www.oecd.org/dac et de la société civile. www.rec.org | Le Protocole de Montréal relatif aux substances | La pêche à la morue sur la côte Est du Canada qui appauvrissent la couche d’ozone est adopté. s’effondre lorsque seulement 2 700 tonnes de biomasse de frai http://ozone.unep.org sont laissés après une récolte de

- la protection de la couche d’ozone : le protocole de Montréal en 1992, la convention de Vienne et les amendements de Londres et Copenhague en 1995 ; - la convention sur les changements climatiques en 1995 et ensuite l’adhésion au protocole de Kyoto en 2002 ; - la convention sur la diversité biologique en 1995 ; - le contrôle des mouvements transfrontières des déchets dangereux et leur élimination : la convention de Bâle en 1995 ainsi que le protocole relatif à la prévention de la pollution de