Prurit

provoquées par des vers intestinaux (ascaris, oxyures, tænia) qui entraînent des affections plus ou moins graves. Les signes cliniques peuvent être une altération de l'état général, un amaigrissement, des manifestations allergiques (démangeaisons, prurit anal), des troubles digestifs et une possible expulsion d'anneaux de vers par l'anus (taenia). En prophylaxie individuelle, on recommandera de se laver les mains avant les repas et après le passage à la selle, de se couper et brosser les ongles, laver

le contenant : pour la néomycine et la streptomycine, seules les réactions anaphylactiques immédiates sont des contre-indications, les autres réactions retardées n’en sont pas. L’intérêt du vaccin surpasse l’inconvénient mineur lié à l’allergie : prurit mineur entre la 48e et la 96e heure. Aucun vaccin ne contient de pénicilline. TABLEAU I Vaccination des personnes allergiques : constituants des vaccins pouvant être responsables d’allergies Vaccins Amaril (fièvre jaune) Grippe Polio inactivé injectable

gastrite, hyperplasie gingivale Affections hépatobiliaires Très rare Hépatite, ictère, élévation de l'enzyme hépatique* Affections de la peau et du tissu sous-cutané Peu fréquent Alopécie, purpura, changement de coloration cutanée, hyperhidrose, prurit, éruption cutanée, exanthème, urticaire Très rare Angio-oedème, érythème polymorphe, dermite exfoliante, syndrome de Stevens-Johnson, oedème de Quincke, photosensibilité Affections musculo-squelettiques, du tissu conjonctif et osseuses Fréquent OEdèmes

L’histamine se fixe Sur les récepteurs vasculaires augmentation de la perméabilité capillaire sortie de liquide en dehors des vaisseaux œdème : excitation des terminaisons nerveuses chute des résistances périphériques VASODILATATION ROUGEUR ŒDEME PRURIT COLLAPSUS Sur les récepteurs bronchiques bronchospasme laryngospasme toux, éternuements BRONCHOCONSTRICTION 66 Responsable médical France/BF/février 2008/PF 0811 Réactions d’hypersensibilité non spécifique : prémédication ? Pas de

 d’une autre personne que vrai jumeau hétér(o)-, xénodifférent xénogreffe ou hétérogreffe  d’un animal phagocytose (-ose: état, action de) processus par lequel les macrophages englobent et digèrent les corps étrangers érythèmes purpura psoriasis prurit blennorragie rougeurs (rougeole, scarlatine…) hémorragie cutanée desquamation anormale (croûtes s’enlevant facilement) (psychosomatique) démangeaisons écoulement muco-purulent des voies génitales -thérapie emploi thérapeutique, pour soigner vaccination

bilatérale 2003 : 3 crises de goutte 2008 : angioplastie artère rénale 56 2) Diagnostic Le diagnostic de l’insuffisance rénale chronique préterminale s’est établi par une créatininémie à 73,5mg/l, une asthénie, une dyspnée au moindre effort, un prurit, une artériopathie sévère des membres inférieurs et une tension artérielle de 17/10. 3) Bilan biologique Le bilan biologique révèle une anémie par un taux de globules rouges et d’hémoglobine bas. Il faut donner les résultats La créatinine plasmatique

bilatérale 2003 : 3 crises de goutte 2008 : angioplastie artère rénale 57 2) Diagnostic Le diagnostic de l’insuffisance rénale chronique préterminale s’est établi par une créatininémie à 73,5mg/l, une asthénie, une dyspnée au moindre effort, un prurit, une artériopathie sévère des membres inférieurs et une tension artérielle de 17/10. 3) Bilan biologique Le bilan biologique révèle une anémie par un taux de globules rouges et d’hémoglobine bas. Il faut donner les résultats La créatinine plasmatique

classables dans les catégories citées précédemment ; par exemple certains prurits (démangeaisons), hoquets, difficulté ou impossibilité à fixer ou à concentrer l'attention, hypertension artérielle, acouphènes, syndrome de fatigue chronique, celui du pied agité et bien d'autres. Des centaines d'indications possibles ont été décrites par différents auteurs. Par exemple, 2,5 à 5 mg de THC étaient actifs chez trois patients souffrant de prurit dû à des maladies du Foie. Un autre bon exemple est le succès du traitement

du patient allergique :  *Les pathologies respiratoires : - La rhinite allergique La rhinite allergique est une affection saisonnière caractérisée essentiellement par l'association d'une obstruction nasale, d'éternuements en salve et d'un prurit nasal et/ou naso-palatin (démangeaison au niveau du nez et du palais). Ces symptômes sont l'expression de l'inflammation initiée par l'interaction entre un ou des allergènes et les IgE spécifiques (Anticorps d’Immunoglobulines de type E) déclenchant

Des études sur le venin d'Euproctis chrysorrhoea (un Lépidoptère) ont permis de mettre en évidence la présence d'histamine et d'enzymes : estérases, protéases, et phospholipases (PL A2). L’histamine provoque d'importantes actions dans la genèse du prurit et éventuellement de douleurs. Les enzymes sont responsables de l'inflammation cutanée. La phospholipase provoque la destruction des membranes cellulaires. La kallicréine, une kininogénase, contribue à la formation de kinines à partir d'un substrat