Prussiens

'' couard '', '' fanfaron '' et '' hâbleur ''. Au départ il se vante devant son personnel de '' manger une armée '' puisqu'il se sent en sécurité au fin fond de sa Normandie jusqu'au moment où le maire lui amène un Prussien qu'il doit héberger et nourrir. A la place de tuer le Prussien comme le penser tout son monde , il se contente de serrer la main au maire. La courte description faite par l'auteur à son sujet, reflète exactement le caractère de Saint Antoine. Cependant la barrière de la langue

allant aux frontières nouvelles, traversant avec lenteur les campagnes et les villages. Les premiers voyageurs regardaient par les portières les plaines ruinées et les hameaux incendiés. Devant les portes des maisons restées debout, des soldats prussiens, coiffés du casque noir à la pointe de cuivre, fumaient leur pipe, à cheval sur des chaises. D'autres travaillaient ou causaient comme s'ils eussent fait partie des familles. Quand on passait les villes, on voyait des régiments entiers manoeuvrant

qu'ils ont pour elles. Maupassant insiste sur les repas en diligence pour nous montrer la ≠ entre le 1er et 2éme repas => voyageurs ne partagent pas avec B.S · A l'auberge : pendant le repas, manipulat° de B.S = elle céde aux avances du prussien. >> B.S comparé à de la nourriture : -portrait physique = champ lexical de la nourriture : " elle est

guerre est omniprésente car les personnages principaux fuient leurs habitations occupées par les Prussiens. La cruauté humaine est représentée ici par la manière dont les voyageurs traitent le personnage de Boule de Suif. Boule de Suif est petite et ronde, mais avec une réelle beauté. Elle paraît un peu naïve, bien qu’ayant un fort caractère. Elle fuit Rouen car elle a tenté d’étrangler un prussien qui était venu occuper son logement. Cornudet est un révolutionnaire démocrate, d’où son surnom

de ses parents. Il sera renvoyé de son lycée catholique considéré comme trop rationnel et intégrera le lycée de Rouen où il fera la rencontre avec Gustave Flaubert. Il obtiendra son bac de lettre en 1869. En 1870 il partira pour la guerre Franco-Prussienne qui lui laissera de nombreux souvenir qu’il relatera par la suite dans ses ouvrages notamment, ici, dans boule suif  en 1880. A son retour de la guerre il se remettra à écrire avec l’aide de Gustave Flaubert. Il intégrera l’école naturaliste où

surnom au titre de l'œuvre. Contexte : -Fin de la guerre Franco-Prussienne remporté par la Prusse. -Occupation prussienne en France, ce qui entraine une collaboration. -Les privilégiés fuient. Résumé : Un groupe de 9 personnes fuient les prussiens. Parmi ces 9 personnes, seule une personne nommé Boule de Suif a de la nourriture qu'elle partagea avec les autres membres du groupe. Pour continuer leur chemin, un Prussien exige que Boule de Suif lui offrit son corps ce qu'elle refusa. Mais

française pendant les guerres de la Révolution ayant suivi le renversement de la monarchie des Bourbons. Elle eut lieu le 20 septembre 1792 lorsqu'une armée prussienne commandée par le duc de Brunswick essaya de marcher sur Paris. Les généraux François-Christophe Kellermann et Charles-François Dumouriez réussirent à stopper l'avance prussienne près du village de Valmy situé à l'est de Paris, en Champagne-Ardenne. En ces premiers mois des guerres de la Révolution — plus tard appelée guerre de la

envahit, dévastée et conquise par les prussiens qui dominent La Garde nationale. Le devoir commençait pour les vaincus de se montrer gracieux envers les vainqueurs. Les prussiens mangeait à table dans beaucoup de famille et demeuraient plus longtemps, chaque soir, à se chauffer au bon feu bien chaud. Ils ont donc littéralement colonisé la ville de Rouen en s’emparant de toutes les activités commerciales et des activités agricoles de la ville. Les soldats prussiens grouillaient désormais dans les rues

style bien particulier dont l'originalité séduit. Par ailleurs il situe l'ouvrage durant la guerre de 1870, à laquelle il participa et la haine de l'envahisseur ne le quitta jamais : la veille de sa mort, il dira à son valet de chambre : "Les Prussiens arrivent ! partons pour la frontière !" Dix années ne sont rien us égard à la mémoire collective : les Français restent profondément marqués par la défaite et l'occupation humiliantes et les reprochent encore à Napoléon III ; les "revanchards" ne

Allemands qui étaient dirigés par la Prusse. Après la défaite de l’armée française, la ville de Rouen fut envahie par les Prussiens. 2. C’est un groupe homogène parce qu’il représente la société de l’époque. Ces voyageurs sont mis ensemble dans un contexte où chacun part de la ville pour une raison différente. 3. Elle part de la ville parce qu’elle a presque tué un soldat prussien. Sa vie était en danger. 4. Le suif est une graisse animale ou végétale qui sert à fabriquer certains produits