Préface Des Fable De La Fontaine

un ensemble organisé (chez le philosophe Blaise Pascale par exemple) Préface : La préface est un écrit placé en tète d’un ouvrage. L’auteur, ou un critique, présente et défend l’œuvre littéraire qui suit. L’éditorial est son équivalent dans la presse : cet article rédigé par le rédacteur en chef ou par le directeur de la rédaction, commente un sujet d’actualité et expose les valeurs défendues par la publication. Fable : La fable, du latin fabula, signifiant « propos et récit », est un petit récit

Sujet : La Fontaine disait « Il faut plaire pour instruire ». Dans quelles mesures cette affirmation peut-elle s’appliquer aux écrits des Lumières ? Introduction Le XVIIè siècle est le siècle qui voit se développer le classicisme, courant littéraire, nommé à posteriori, qui se développe en France. Il se définit par un ensemble de valeurs et de principes qui dessinent un idéal s’incarnant dans l’ « honnête homme » et il développe une esthétique fondée sur une recherche de la perfection. L’un

noble. Don pas de lyrisme individuel , mais de la pudeur Mais il y a du lyrisme dans les personnages des pièces ( Racine, Pascal, Bossuet) b) On s'occupe peu de la NATURE EXTERIEURE LA NATURE EXTERIEURE ne les intéresse pas. Mis à part La Fontaine et Mme de Sévigné, les écrivains classiques n'ont guère de regard pour le CADRE EXTERIEUR dans lequel nous nous mouvons, non point par mépris ni par faiblesse mais parce qu'ils jugent plus important d'atteindre l'ESSENTIEL… "Ce n'est pas la

plus tard " Un sommaire : Le narrateur résume, ne détaille pas un moment. (Répétitif.) Une anticipation/Une prolepse : Un bond dans le temps Une analepse : Un bond en arrière ou flashback. Auteurs du réalisme : Champfleury (1821-1889) – Préface au Réalisme en 1857 Duranty (1833-1880) – Fondation de la revue Réalisme (1856-57) Flaubert (1821-1880) – Madame Bovary en 1857 Balzac (1799-1850) – La comédie humaine en 1842 Auteurs du naturalisme : Les frères Goncourt – Germinie Lacerteux

politique; ainsi La Bruyère dit n’avoir pas pratiqué la Maxime, au sens de prescription, dans sa préface. Ils sont de deux sortes: Les uns sont "moralistes" dans la mesure où il faut s'être fait une idée de l'homme pour composer une Tragédie ou une Comédie , un Sermon ou une Fable; aussi y a t'il un moraliste et une morale chez presque tout écrivain du XVIIème siècle, chez Racine comme chez Bossuet, chez La Fontaine comme chez Molière. Les autres sont uniquement "Moralistes", et la seule forme littéraire

Pour traiter les thèmes de la culpabilité et de la justice qui concernent l'être humain de tous les temps et qui sont incompatibles avec le monde animal, La Fontaine, s’il conserve encore cette apparence, a en fait, comme Molière et La Bruyère, observé la société de son temps qui était fortement organisée selon une hiérarchie. La fable illustre le fonctionnement de cette société en faisant intervenir des animaux qui ont une signification symbolique très nette. Le lion, le roi des animaux, représente

qui puisse avoir n’est au dessus d ‘elle. Donc on ne conteste guerre la souveraineté de règle, l’artiste et le prisonnier d’un code innuiable dise la critique mais quelle ait sur ce sujet l’attitude de classiques ? Par exemple, du Corneille, de la Fontaine, du Molière, de la Racine et du Boileau. Corneille ne rejette le juge (pouvoir) des règles, il essaie de se plier à leur commandement. Il professe qu’il faut plaire au publique non seulement étudier Aristote. Il faut plaire, selon les règles parce

ANTHOLOGIE DE FRANCAIS 1°S4 RIEU HUGO 5/12/13 Préface nous allons traiter d'une anthologie poétique axée sur huit poèmes reposants sur une thématique commune : l’animal métaphore du poète. J'ai choisi ce thème pour montrer comment les poètes ont longtemps su tirer de cette autre forme de vie pour parvenir à nous faire passer soit une critique de l'Homme, soit un portrait humain, un sentiment, ou bien une peine. Il est vrai que sur plusieurs points les animaux sont les reflets parfaits

texte. De la même façon, Rousseau reproche, dans son Emile ou l’éducation, à La Fontaine, les tournures des vers, les approximations avec la réalité : un renard ou un corbeau parlent donc ? Et qui plus est, ils emploient le même langage ? La critique est ici plus grave parce qu’elle porte sur la manière dont La Fontaine manipule la réalité pour faire passer ses morales. Même si dans sa préface aux Fables, La Fontaine justifiait le choix des animaux pour faciliter la transmission du savoir, Rousseau

Ainsi Fénelon dans la dent d’or dénonce la superstition en donnant à ses lecteurs un exemple concret et clair juste après une introduction abstraite qui relève de l’essai. A vous de trouver votre exemple personnel. Dans la fable « Les animaux malades de la Peste », La Fontaine nous donne une vision simplifiée de la justice sous la Monarchie absolue. Le Roi demande à ses sujets de s’accuser et de sacrifier pour empêcher la Peste qui sévit dans le royaume : lui feint de s’accuser en montrant les crocs