Préface Des Orientales

est en effet celui qui élève ce genre essentiellement scolaire et gnomique à la qualité littéraire (refaisant, pour la France, et plus nettement encore, ce que Phèdre avait fait pour Rome). Avec le 2ème recueil, il ajoutera des sources nouvelles, orientales cette fois (seize fables relèvent de cette tradition) : Pilpay (ou Bidpaï), un sage indien légendaire, auquel fut attribuée la composition des fables du Pancha Tantra, et le Persan Lokman (ou Logman, ou Luqman), fictif lui aussi, publié en 1615

rédacteurs de La Muse Française partageassent ses idées ; les uns et les autres n'osaient arborer bien ouvertement la bannière romantique. V. Hugo lui-même parait avoir joué à ce moment plutôt le rôle de conciliateur entre les deux écoles. Dans la préface de son second volume d'Odes (1824), il écrit « Il y a maintenant des partis dans la littérature comme dans l'État ... Les deux camps semblent plus impatients de combattre que de traiter ... Quelques voix importantes, néanmoins, se sont élevées, depuis

Albert Memmi est un écrivain et essayiste franco-tunisien. Il est l’auteur du roman La statue de sel contenant une préface du célèbre philosophe Albert Camus qui a été publié en 1953 . C’est le premier roman de Memmi . On dit généralement de ce roman qu’il peut être considérée comme autobiographique bien qu’il soit quelque peut romancer on peut tout de même retrouvé quelques étapes de la vie de l’auteur .Aujourd’hui nous nous intéresserons plus particulièrement au chapitre 2 de la deuxième partie

[modifier] Gabriel Angoulvant est né à Longjumeau dans l'Essonne le 8 février 1872. Major de la promotion 1891 à École coloniale, titulaire d'un brevet de la section administrative, il étudie aussi le chinois et l'annamite à l'École des langues orientales, avant d'embrasser une carrière dans l'administration coloniale[1]. Il est tout d'abord chancelier de résidence au Tonkin, vice-consul en Chine, secrétaire général à Djibouti. Il publie alors Djibouti, Mer Rouge, Abyssinie (1902). La suite de son

théâtre et inventé une nouvelle langue poétique, et qu’à cinquante ans il eut le courage d’abandonner sans hésiter une existence confortable et une situation acquise pour l’exil, au nom de la résistance à la dictature de Napoléon III. Dès la préface de son drame Cromwell (1827), il prend nettement position en faveur du romantisme contre le classicisme. Il devient le chef de file de l'école romantique et triomphe avec son drame Hernani (1830). Lors de la première représentation devant le public

elle » (1870). Il a d’ailleurs énoncé la doctrine de « l’Art pour l’Art » notion sur laquelle nous reviendrons. Leconte de Lisle (1818-1894) en est lui le chef de file, autant par l’autorité que lui a conférée son œuvre poétique propre que par des préfaces dans lesquelles il a exprimé un certain nombre de principes auxquels se sont ralliés les poètes d’une génération. Son œuvre est dominée par trois recueils de poésie : Poèmes antique en 1852, Poème barbare  en 1862, ainsi que Poèmes tragique en 1884

ADAM SANTAMARIA 22 FDL SUR LES ORIENTALES, VICTOR HUGO : FICHE DE L’ ŒUVRE : Identité du livre lu : Auteur : Victor Hugo Titre : Les Orientales Date de publication : 1829 Genre : Poésie Contexte : • L’ œuvre se déroule dans une « Belle vieille ville d’ Espagne ». Préface : « livre inutile de pure poésie ». • Ouvrage fortement marqué par l’engouement pour la Grèce à l’époque (philhéllenisme). Nombreuses descriptions qualifiant majoritairement les paysages de l’Orient méditerranéen. •

France, introduit par Chateaubriand, au début du XIXème siècle. Ce mouvement a pour caractéristiques le lyrisme, la mélancolie, le retour au Moyen-âge, et parfois le fantastique. Le chef de file de ce mouvement est Victor Hugo et son manifeste est la préface de la tragédie de Victor Hugo : Cromwell. Le romantisme en Allemagne L'origine du romantisme en Allemagne commence dans la ville d’Iéna, où vivent entre autre Novalis, Tieck et Schlegel. Le romantisme en Allemagne s'étend des années 1770 à

théorie Genèse La première analyse rigoureuse du libre-échange3 est due à Henry Martyn dans Considérations sur le commerce avec les Indes orientales (1701) ; dès la préface, il prévient : « la plupart des idées dans ces travaux sont directement opposées aux opinions reçues. » Martyn s'oppose à la fois au monopole de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales et aux restrictions sur les importations de biens manufacturés en provenance de l'Inde. Il explique que la liberté de commerce va diminuer

du Dernier Jour d’un condamné qu’il achève très rapidement1. Le livre est édité en février 1829 par l’éditeur Charles Gosselin mais sans nom d’auteur. Ce n’est que 3 ans plus tard (15 mars 1832) que Victor Hugo complète sa nouvelle par une longue préface qu’il signe de son nom. Résumé Le roman se présente comme le journal qu'un condamné à mort écrit durant les vingt-quatre dernières heures de son existence dans lequel il relate ce qu'il a vécu depuis le début de son procès jusqu'au moment de son