Président De La République Arbitre Ou Gouvernant

conformer aux exigences de la morale ? Existe-il un droit ou un devoir de vérité en politique ? Aujourd’hui, peut-on gouverner sans dissimuler ? 0.2. Intérêt et choix du Sujet La théorie du « noble mensonge » dans la République (354 av. J. C.) de Platon, la République (54 av. J. C.) de Cicéron, le Léviathan (1651) de Hobbes et De l’esprit des lois (1758) de Montesquieu ne sont nullement critiqués de la manière que l’a été, l’est, et peut-être le sera la pensée politique de celui que Gilbert

garantit aux citoyens ordinaires la protection contre l’arbitraire. Dans les états démocratiques le Droit réglemente l’activité (au sens générique = de tout type  code du travail, code de la route …) de tous les citoyens, des représentants (gouvernants comme Parlement etc…). Droit administratif/ public dont relève le droit constitutionnel Droit privé Analyser la constitution n’est pas suffisant : il faut regarder les institutions pour voir si le texte est appliqué ou non. Le Droit constitutionnel

Les décrets : règles posées par le Président de la République ou par le 1er Ministre. Définissent les décrets d’application, doivent être conformes à la loi et à la Constitution. - Les arrêtés des ministres. - Les arrêtés des préfets. - Les arrêtés des maires. - La jurisprudence : décisions des tribunaux qui s’imposent, elles viennent combler les lacunes des règles. - La coutume : peut être une source de droit mais secondaire (ex : le Président de la République ne peut pénétrer dans le Palais Bourbon

Les décrets : règles posées par le Président de la République ou par le 1er Ministre. Définissent les décrets d’application, doivent être conformes à la loi et à la Constitution. Les arrêtés des ministres. Les arrêtés des préfets. Les arrêtés des maires. La jurisprudence : décisions des tribunaux qui s’imposent, elles viennent combler les lacunes des règles. La coutume : peut être une source de droit mais secondaire (ex : le Président de la République ne peut pénétrer dans le Palais Bourbon

de la constitution de 1958, elle comporte un titre qui s’intitule de l’autorité judiciaire. Article 64 qui prévoit que c’est le président de la république qui est le garant de l’indépendance de la magistrature. Sous la 5 ème république l’indépendance de l’un des pouvoirs dépend de l’autre, le pouvoir exécutif. Cela se traduit du fait que c’est le président de la république qui préside le conseil national de la magistrature. Certain considère que la justice est un cran en dessous. Ce n’est qu’une manière

légale tend à dépersonnaliser l’exercice de la domination. On n’obéit pas à des individus mais à des règles et des fonctions. Les rôles politiques sont étroitement codifiés et réglés. Une constitution précise qui a le droit de faire quoi au sein des gouvernants. La forme typique de la domination rationnelle est l’état de droit dont la légitimité repose sur le fait qu’il se soumet lui-même aux règles de droit qu’il produit. Et même dans sa forme la plus récente, un état dans la légitimité vient du fait

16 mai 1877 sous la troisième République. Il y avait des tensions quant à la place de la religion et la chambre des députés s’est autorisée à tenir des propos contre l’Eglise. Le premier ministre (jules Simon) était présent et n’a rien dit. Cette mollesse du premier ministre de ne rien dire face à ces propos inacceptables provoque la colère du Président. Le premier ministre démissionne. La Président nomme un Premier ministre. Le Sénat donne l’autorisation au Président de dissoudre la chambre des députés

l'ensemble du territoire. C’est ce qu’on appelle le principe de territorialités des lois Art 1er alinéa 1 du code civil: Les lois sont exécutoires dans tout le territoire français en vertu de la promulgation qui en est fait par le président de la république. Exemple: Atténuation: La loi autorise le maintien sur certaines portions de l’État de manifestation traditionnel pourtant prohibé sur les autres portions de l’État. Exemple Course de taureau ou combat de coqs. Article 521-1 du code

Aristote Platon,(427-348 av. J.C.), philosophe grec, fondateur d’une école appelée l’Académie, auteur d’une trentaine de dialogues - où intervient souvent Socrate : parmi la trentaine d’oeuvres qui lui sont attribués, citons deux ouvrages : La république et Les lois. Il a vainement conseillé le tyran (entendez le dictateur) Denis de Syracuse. Il a préconisé surtout une organisation de la Cité – à entendre comme Etat, selon les dimensions du moment, ce qui pouvait être en Grèce antique, ce qui

aussi sa faiblesse. En effet, qui pourrait se vanter d'avoir toujours agi par pur respect pour la loi morale ? D'autant plus que la morale ne dispose d'aucun pouvoir de contrainte physique : son application est tout entière suspendue à notre libre-arbitre. Il serait illusoire ou naïf d'imaginer que la morale seule suffise à réguler la vie sociale, sauf à imaginer un monde de bisounours ! En comparaison, le droit repose peut-être sur des bases plus solides : le commandement impératif de règles s'appliquant