Prévert Feuilles Mortes

(1966) | | | |Il était une fois dans l’Ouest (1968) | |Alfred Hitchcock |Bernard Herrmann |La mort aux trousses (1959) | | | |Psychose (1960) | | |

| | |et ses saumons fumés (...) | | |Jacques Prévert, Histoires, Editions Gallimard | | A partir d’un poème de Jacques Charpentreau |Oui, j'ai découpé la cravate

du surréalisme, le seul artiste à avoir appartenu au mouvement depuis son origine et jusqu'à sa mort. En 1924, c'est lui qui pour la première fois décrit le surréalisme dans le premier Manifeste, puis, la même année, il contribue à la création du Bureau de la recherche surréaliste. Louis Aragon, Robert Desnos, Paul Éluard, René Magritte, Philippe Soupault, Marcel Duchamp, Salvador Dali et Jacques Prévert sont quelques-uns des plus connus de ses camarades écrivains, poètes, peintres, artistes en somme

contraintes qu’avant. La poésie, contrairement au roman ou au théâtre, nous pose des questions et essaye de nous sensibiliser sur des faits d’une grande gravité. Les poètes ne veulent pas nous faire lire leurs poèmes comme de vulgaires mots sur une feuille de papier, ils vont plus loin, jusqu’à nous faire entrer dans une profonde méditation qui peut nous éclairer et faire changer nos mentalités. Les différents genres de poésie montrent que cette dernière est très polyvalente et peut exprimer une multitude

« jours » ; « éternels » ; « si lasse » ; « s’en va » ; « lente » : lenteur et mouvement ; « nuit » « heure » ; « semaines ; « temps passé » Adv. de tps : « toujours » « après » Le thème du tps symbolise tte la dualité du poème : Vie/mort ; Amour/ Séparation ; fixité/mvt. • Mvt / lenteur voire fixité du pont et du Poète : « je demeure » ; structures antithétiques : « joie »/ « peine » ; « s’en vont je demeure » ; « restons » / « passe » ; « éternels regards » / « onde lasse » ;

J’ai enfin porté mon choix sur trois autres poèmes s’inscrivant dans des thèmes différents de la poésie engagée, comme Nelly Sachs qui nous fais ressentir la douleur des orphelins ou René Guy Cadou qui s’attarde sur la douleur des fusillés ou Prévert qui fait une prière a la beauté du monde. Il ne nous reste plus qu’à nous laisser porter par la magie de ces textes. Arthur RIMBAUD, Le mal Tandis que les crachats rouges de la mitraille Sifflent tout le jour par l'infini

Anthologie -La poésie Romantique : Français ; Poètes , Rimbaud , Hugo, Baudelaire, Aragon, Rîmes, Apollinaire, Prévert, SOMMAIRE : Préface…………………………………………………………….. Pages 2 Première partie : Poésies choisies dans les séquences du manuel : Victor Hugo, « Soleils couchants »…………………………………… Page 3 Charles Baudelaire, « L’albatros » …………………………………… Page 5 Charles Baudelaire, « Hymne à la beauté »………………………… Page 7 Arthur Rimbaud, « Voyelles »………………………………………

émotions, nos envies, nos fantasmes.. On a pour seuls outils : nous, les hommes, le monde, crayons et feuille. La poésie est donc le reflet de l'âme, des hommes et du monde qui nous autour. Elle aide a comprendre des états d'âmes, des réactions, des sentiments ... Tous les thèmes sont abordables en poésie, on passe de l'amour à la tristesse, du temps qui passe à la beauté de la nature, de la mort à la joie ... Pour ma part, j'ai choisi dans cette anthologie d'aborder le thème de la solitude. Cette

oppositions auprès de Breton. Le groupe André Masson, Joan Miró, Michel Leiris, Antonin Artaud rejoignit Georges Bataille et la revue Documents confronte et blâme le travail de Breton comme « matérialisme vulgaire ». En égal revanche, le groupe Jacques Prévert, Marcel Duhamel, Yves Tanguy, s’éloignent radicalement du mouvement. En 1929, Roger Gilbert-Lecomte, René Daumal, Roger Vailland et le peintre tchèque Joseph Sima s’opposèrent également à Breton. En 1933, les surréalistes de tous côtés se rassemblent

du papier pour crayonner image par image, feuille par feuille, décor compris, leurs premiers films. En 1915 est inventé le cellulo (mince feuille de triacétate transparent, utilisé également pour la fabrication des pellicules) sur lequel on dessine le personnage, contours tracés à l’encre recto, couleurs à l’intérieur de ces mêmes contours au verso. Cela permet au décor et au personnage d’être libérés de leur cohabitation obligatoire sur la même feuille de papier. Le décor peut s’enrichir et le personnage