Psychisme

la perception ;  une synthèse personnelle par laquelle la conscience unifie tous ses états en les rapportant au moi. C’est grâce à une telle synthèse que l’identité personnelle est saisie malgré les changements qui affectent le corps et même le psychisme . Au total, dire que la conscience est synthèse, c’est dire qu’elle n’est pas une simple donnée intérieure mais qu’elle est une activité tournée vers l’extérieur. C’est en ce sens que la conçoit Edmund Husserl (1859-1939). c) la conscience comme

agissons. Mais qu’est-ce qui m’a pris ? Je ne suis plus moi-même. Freud : La conscience « ne constitue pas l’essence du psychisme, mais qu’elle en n’est qu’une qualité inconstante, plus souvent absente que présente. »=attaque en règle de la prépondérance de la conscience chez l’homme pour souligner l’idée qu’il est bien difficile d’être un sujet. La réalité essentielle du psychisme, c’est l’inconscient. Je me connais mal, contrairement a mon impression, mais il peut y avoir aussi une conscience partielle

plaisir. Le rôle du thérapeute est de créer un cadre sécurisant afin que les activités à côté et sur le cheval soit source de plaisir, ce qui sous-entend aussi de tenir ce cadre au fil des séances. Son objectif est de relier le patient à son psychisme, de lui permettre d’accéder à ses émotions, l’aider à les exprimer. Il va aider à mettre en mots les ressentis du patient. III. CADRE : Comme on le sait dans toute thérapie, le cadre instauré par le thérapeute est primordial. Sans cadre

branches : Philosophiques (Husserl), Psychologique (Brentano), Existentialiste (Heidegger) Courant Psychanalytique : La psychanalyse est issue du courant clinique tout en posant la question du psychisme en de nouveaux termes. C’est à Freud que l’on doit la découverte d’un point central dans l’étude du psychisme humain : l’inconscient. Les refoulements inconscients seraient à l’origine des symptômes rencontrés dans les pathologies mentales. L’inconscient dépasse la raisonpuisqu’il est à l’origine de

perceptions, d'émotions, de mots, de signifiants, de pulsions constituant le psychisme, influant sur nos conduites, et inaperçues par la conscience. Il ne s'agirait pas ici simplement de l'opposition à la notion de conscience mais d'une structure réactive et dynamique. Par exemple, un changement dans l'une des mailles provoqué par une perception pourrait entraîner des modifications sur une plus grande partie du psychisme. Ce qui se déroule dans l'inconscient n'est, en ce sens, pas soumis aux lois

d’objet. Trois hypothèses spécifiques viennent argumenter cette supposition : l’écoute, dans la clinique des pathologies tardives de l’âgé (sénilité) impliquerait une approche historique et génétique supposant un modèle structural et temporel. Le psychisme dévoilerait une atteinte narcissique et on observerait également une ré-activation de l’angoisse de mort et d’abandon et/ou de perte d’objet. Nous conclurons alors que la multiplication des pertes inévitables ou processus de vieillissement s’accompagne

entrainer des amnésies, un manque d’introspection et une passivité apathique. La schizophrénie est le cas parfait pour illustrer une perte partielle ou totale de conscience nous concernant. L’inconscient, définit comme un fragment de notre psychisme échappe à notre conscience, à notre réflexion. En effet, un possible conditionnement (reflexe conditionné de Ivan Pavlov) ampute la part de raisonnement et de réflexion qui font partie intégrante de notre « conscient ». En somme, l’homme présente

constituées. Refoulement Processus de mise à l'écart des pulsions qui se voient refuser l'accès à la conscience. Pulsion Concept destiné à rendre compte des forces de rapport à l'objet et à la recherche de satisfaction. Conscience Lieu du psychisme recevant les infos du monde extérieur et celles du monde intérieur. Satisfaction Ce qui est visé par le sujet dans la pulsion, l'amour et le désir Pour la psychanalyse, les symptômes névrotiques expriment des conflits psychiques dont le sujet

gouvernent la vie humaine. Cette inconscience est la suppression de toutes ces pulsions, désirs que nous n'osons pas exprimer, révéler. La théorie de Freud montre que l'inconscient fait indéniablement partie du psychisme, on peut donc comprendre que la conscience n'a pas un contrôle total sur ce psychisme, comme on le croyait jusqu'alors. Il serait alors le maître inconscient de certains processus conscients : dans la « Métapsychologie », il donne un exemple d'idées et d'actions conscientes qui sont inexplicables

La liberté telle que nous l'entendons (comme propriété métaphysique ou comme condition transcendantale de la volonté) était ignorée des Anciens. Cela tient d'abord au fait que la volonté n'est pas pour eux une faculté à part du psychisme, et que le psychisme n'est pas lui-même une entité séparée de l'organisme (cf., par exemple, Aristote, Traité de l'âme). L'âme, chez les Grecs, est donc un principe d'animation du vivant (le cheval a donc une âme), alors que la comparaison pour nous de l'âme et d'un