Psychisme

psychique. Les pulsions ne reviennent dans la conscience que déformées (rêves…) CONSCIENCE PRECONSCIENCE REFOULEMENT/CENSURE INCONSCIENT (siège des pulsions) CONSCIENCE PRECONSCIENCE REFOULEMENT/CENSURE INCONSCIENT (siège des pulsions) PSYCHISME Les pulsions ont besoin de s’exprimer et donc de remonter à la surface. Comme leur représentation est inacceptable pour la conscience, les pulsions sont censurées. Elles ont un aspect dynamique. Elles s’expriment sous forme de compromis (sous

bouche. On prend et on jette. Fondement même de l’accès au désir. Les cris du bébé sont des renaissances avec le traitement des parents. Les parents sont-ils aptes à interpréter ces cris ? Il va y avoir un montage de la capacité des parents, le psychisme s’organise selon les besoins du corps. Il faut qu’il y ait une préoccupation de l’enfant primaire. Il faut que le bébé sorte de la tête de la mère. (ce qui provoque la maltraitance dans le cas contraire) La mère m’est en scène le fantasme de dévoration

jouir de la totalité de ses facultés. Le spécialiste du cerveau Paul Chauchard a écrit : « La chirurgie a pu enlever d’importantes portions du cerveau sans atteindre conscience et psychisme […] on a même pu enlever, en cas de lésion, un hémisphère entier sans gêner le psychisme ». Cette étude neurologique montre que le psychisme et la capacité de penser ne sont pas rigoureusement localisés dans le cerveau. Il est donc peu probable que la pensée se localise dans le cerveau. Le cerveau n’est qu’une simple

grossesse, l’accouchement, l’allaitement et les soins permanents prodigués à l’enfant en bas âge. De ce fait, elle ne peut pas assumer l’autorité comme il se doit. Examinons ces points de plus près : * Les menstrues ont un effet notoire sur le psychisme et l’humeur de la femme et affaiblissent son corps à cause du sang qu’elle perd chaque mois. * Pendant la grossesse, la femme connaît de vives douleurs physiques dues au développement du fœtus dans son ventre qui absorbe une grande quantité de

confronte le psychisme a un accroissement d’excitation trop considérable pour être maîtriser ou élabore normalement » Freud On compare la névroses traumatisme a une expérience, s'éprouve dans la vie. Il peut y en avoir de toute sortes (deuil, viol, agression, expérience sexuelle) c'est quelque choses que le sujet éprouve, il en est pas l'auteur. « dans un court lapse de temps » = cela se passe rapidement et souvent de façon imprévu (accident du travail) « confronte le psychisme a un accroissement

|sensations pour répondre à la question qui est de savoir s'il existe des formes qui pourraient être considérées comme pathologiques. | |Ces formes de prises de risques pathologiques pourraient s'observer aux extrémités d'un continuum englobant le psychisme humain, avec | |des tendances à l'évitement cherchant à maintenir le lien avec ce qui est connu et rassurant d'un côté et des tendances à | |l'exploration ayant comme but l'amélioration des conditions de vie par la découverte de la

commodes et paresseuses, quitte à en changer quand elles pourraient les gêner. Mais il devra reconnaître qu’il y a beaucoup à prendre pour la pensée occidentale dans ce gigantesque effort pour faire dépendre directement la qualité concrète de notre psychisme du comportement de nos viscères et que les succès certains, quoique relatifs, de certaines thérapeutiques chinoises tiennent au caractère rigoureusement psychosomatique de l’analyse de la vie humaine, telle qu’on la pratiquait en Chine. * Pluralité

L’homme est assujetti à des structures » Doctrine des années 60, Structuralisme. « L’homme est un animal comme les autres » Idée moderne. Il est vrai que j’ai une certaine image de moi-même, c'est-à-dire de mon corps, de mon âme de mon psychisme. J’entreprends de me transformer pour correspondre à cette image. Mais le « moi » résiste, ne se laisse pas faire facilement. C’est donc une épreuve pour la conscience. Il est vrai également que j’ai une image des autres qui ne correspond pas

proche de moi et donc moins elle est objective. B. Conscience et inconscience Il existe pourtant des professionnels, dont le métier consiste à connaître les individus et leur psychisme. Le psychologue ou le psychanalyste, qui disposent de connaissances théoriques et pratiques sur la constitution du psychisme humain, ne sont-ils pas en mesure de délivrer une réponse exacte, c'est-à-dire vraie au sens scientifique du terme ? Dire « qui je suis-je ? », décrire mon identité, ne suppose en effet

monde. La conscience de soi n’est pas innée, elle n’est pas définitive. Elle peut être suspendue comme dans le rêve ou bien simplement fragilisée comme la névrose. La conscience ne va pas sans son inconscience qui occupe une grande partie de notre psychisme. L’inconscient renvoie a de nombreux philosophes comme Leibniz qui admet l’existence de petites perceptions inconscientes, c’est-à-dire, « des changements de l’âme dont nous ne nous apercevons pas ». Seul Nietzsche dans sa critique du Cogito ira