Psychisme

se définir comme une métapsychologie, la psychologie au-delà de la conscience. Pour la première fois la conscience n'est pas ce qui défini le psychisme. Freud construit deux topiques, la première est constituée de la conscience, du préconscient et de l'inconscient et la deuxième du surmoi, du moi et du ça, se sont des représentations spatiales du psychisme humain. La conscience est faite de contenus mentaux clairs, alors que le contenu du préconscient n'est pas encore conscient mais pourrait l'être

réside dans les connaissances récentes sur la modification naturelle de la vie psychique des femmes pendant leur grossesse. La recherche clinique auprès des femmes enceintes révèle en effet que la grossesse est le moment d’un état particulier du psychisme, état de transparence où des fragments du préconscient et de l’inconscient viennent facilement à la conscience. Ce phénomène qui, cliniquement, caractérise souvent de graves affections, se présente chez la femme enceinte comme un événement ordinaire

manière d'un "corps étranger" dans le psychisme : "C'est de réminiscences que souffre l'hystérique." En effet, l'affect lié à l'incident causal n'a pas été abréagi, c'est-à-dire n'a pas trouvé de décharge d'énergie par voie verbale ou somatique, parce que la représentation psychique du traumatisme était absente, interdite ou insupportable. La scission du groupe de représentations incriminées constitue alors le noyau d'un "second conscient" infiltrant le psychisme lors des crises ou innervant une zone

donc les couches populaires (L'Assommoir, 1877), le prolétariat (Germinal, 1885), les milieux de la prostitution parisienne (Nana, 1880) ; il scrute aussi tous les états du corps, la transformation des hommes malaxés par la foule, les failles du psychisme, etc. Taxés d'immoralité par bon nombre de leurs contemporains, les réalistes défendent avec force leurs romans : « Un roman est un miroir qui se promène sur une grand-route. Tantôt il reflète à vos yeux l'azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers

laquelle certains actes a priori involontaire ou absurde répondraient à une logique déterminée par l’inconscient et nécessiteraient donc d’être interprété pour mettre au jour leur signification. La psychanalyse propose une méthode d’exploration du psychisme humain fondé sur la parole de la personne analysée et sur l’interprétation des rêves qui selon Freud est la voix royale de la connaissance de l’inconscient. Freud : Il est célèbre pour avoir été le principal théoricien de la psychanalyse reconnu

l’individu à supporter le réel par son pouvoir et la catharsis mais il peut aussi l’y soustraire. Par ailleurs, d’après Carl Gustav Jung, psychiatre et médecin de formation, le rêve a pour rôle de rétablir l’équilibre du psychisme. Il faut bien la mettre l’accent sur l’équilibre du psychisme. Il faut bien là mettre l’accent sur l’équilibre que doit avoir l’individu entre ses rêves et la réalité. Il est alors un individu cohérent, rationnel (car pas d’excès dans le rêve) et stable.

chapitre 1 Dans le jugement de gout, l’affirmation porte sur un état affectif du psychisme ( en relation avec la réalité extérieur. Il indique une préférence ou une répulsion que l’on éprouve réellement. Le jugement de valeur prétend exprimer non pas ce qui est préféré mais ce qui semble préférable. L’affirmation porte sur la réalité extérieure ( en relation avec un état affectif du psychisme). Ce jugement contient une prétention d’objectivité. Le jugement de valeur se présente comme valable

pathologique chez les hystériques ( faculté de synthèse altérée par une lésion, les phénomènes post-hypnotiques D’où l’idée de subconscient= conscience affaiblie, obscure= absence de conscience réfléchie. MAIS ici ON PENSE LE PSYCHISME= CONSCIENCE, or FREUD (1856-1939) pense le psychisme comme composé de 2 parties : une consciente et une inconsciente, échappant radicalement à la conscience. C’est le cas Anna.O (1859.1936)qui va inspirer à Freud et au DR BREUER, cette hypothèse d’un inconscient. * le

parce que la région dite « inconsciente » de notre vie psychique semble faire la part belle à la sexualité. Prémisses de la notion d’inconscient Ni le sens commun ni les philosophes n’ont attendu Freud pour découvrir qu’une partie de notre propre psychisme nous échappe parfois. Un homme qui tombe dans le coma est inconscient, un dangereux chauffard l’est aussi, en ce sens qu’il ne sait plus ce qu’il fait. Chez Platon, on trouve l’idée de souvenirs inconscients de la vérité contemplée dans une autre

toujours de la même façon. Si on met le symptôme du coté de la répétition, ce serait peut être un passage du symptôme au désir. Ça mène à l’amour de transfert. La psychanalyse soigne, mais à travers l’auto investigation de son propre psychisme en présence du psychisme d’un autre. Il faut imposer au malade l’obligation mémorielle, il doit se souvenir. Mais le problème est que le malade résiste. Tout le talent de l’analyse serait de mettre à découvert, le plus tôt possible, les résistances, de les montrer