Psychologie De Meursault

peut être plus circulaire que linéaire. Charles Bovary est-il le véritable personnage principal du roman ? structure sous-jacente personnage principal = éponyme Héros -> la vie du héros Un anti-héros Action - comportement - caractère - psychologie fonction du personnage = repoussoir, antagoniste, déclencheur, témoin actant : une fonction qui influence l’action adjuvant : qui aide l’action opposant : qui s’oppose à l’action Non, c’est Emma Bovary qui porte l’action psychologique principale

On parle de focalisation zéro quand dans un récit aucun personnage n'est privilégié, par exemple dans Boule de Suif. La focalisation peut être interne ou externe selon que le personnage est vu, perçu de l'intérieur ou de l'extérieur (accès à sa psychologie). Quand les événements ne sont perçus qu'à travers les yeux d'un personnage, le filtre de sa conscience (il n'en voit qu'une partie, ne les comprend pas forcément), on parle de restriction de champ. Exemple : Fabrice à Waterloo, dans La Chartreuse

parle de focalisation zéro quand dans un récit aucun personnage n'est privilégié, par exemple dans Boule de Suif. La focalisation peut être interne ou externe selon que le personnage est vu, perçu de l'intérieur ou de l'extérieur (accès à sa psychologie). Quand les événements ne sont perçus qu'à travers les yeux d'un personnage, le filtre de sa conscience (il n'en voit qu'une partie, ne les comprend pas forcément), on parle de restriction de champ. Exemple : Fabrice à Waterloo, dans La Chartreuse

fait de se révolter que dans les causes défendues en elles-mêmes. Camus propose donc une théorie de l'engagement passionné et conscient qui est compatible avec le climat politique de son temps. L’Etranger, page 725 Lagarde et Michard XX siècle: Meursault, c'est la personne qui ne prend pas conscience de l'absurdité de sa vie. Il se laisse porter par ses sensations lors du meurtre de l'arabe ! L’Étranger est un roman d’Albert Camus, paru en 1942. Il prend place dans la tétralogie que Camus nommera

jeu des ombres et de la lumière sur le visage de « l’Arabe » donne au narrateur l’illusion qu’il sourit : « Peut-être à cause des ombres sur son visage, il avait l’air de rire ». Puis, aux lignes 13-14, la lumière qui touche le couteau donne à Meursault l’impression que la lame l’atteint : « La lumière a giclé sur l’acier et c’était comme une longue lame étincelante qui m’atteignait au front ». On constate que dans les deux cas, il s’agit d’un mirage dû au soleil et à la lumière qu’il produit

plateforme d’autobus ? — Non. D’abord, les autobus n’ont pas de plateforme. — Eh bien, Monsieur, autrefois ils en [POISSONNEUX] Un banc de sardines se déplaçait à travers l’Atlantique. L’un de ces animaux tentait — par un mécanisme bien connu en psychologie — de compenser une infériorité due à une male-conformation des nageoires par une arrogance toutefois peureuse — ronchonnait tout le temps contre ses camarades qui le serraient de la lettre de la Pléiade n°24 ÉPISTOLAIRE près. Finalement

démarque aucunement du romancier lui-même. L'auteur de La princesse de clèves raconte «directement» cette histoire qui se situe un siècle plus tôt, sans citer de source ou émettre de doute sur son authenticité. Même des notations qui touchent à la psychologie intime des personnages plutôt qu'aux événement. Elles sont reçues par le lecteur comme si elles étaient «autorisées», c'est-à-dire garantie par l'écrivain. L'anonymat sous lequel l'oeuvre fut premièrement publiée ne pouvait que renforcer l'illusion

cas de conscience de Javert, dans Les misérables de Victor Hugo. Ex. : Rambert dans l’extrait proposé de La peste. 1. 2. Le roman peint les difficultés métaphysiques : Ex. : la découverte de l’absurde et les conséquences qui en résultent pour Meursault, dans L’étranger d’Albert Camus. Ex. : la solitude de Perken, dans l’extrait proposé de La voie royale ; le problème du bonheur soulevé par le docteur Rieux dans l’extrait proposé de La peste. ● Cf. Malraux13 : « Le roman moderne est, à mes

dispositions de son enfance, qui lui permettent maintenant 8 Voltaire oppose la science divine (théologie) et les sciences exactes (géométrie). Mais son raisonnement est un peu facile ! Les sciences humaines (le nom moderne de "la science de l'homme" : psychologie, sociologie, histoire…) ne sont pas aussi évidentes que la géométrie ou les mathématiques, et elles permettent des interprétations différentes ou contradictoires, tout comme la divinité vue par les "sectes". 30 d'apprendre et de se cultiver

Raphaël Lafhail-Molino dans Homo Fabulator – Théorie et analyse du récit (Leméac/Actes Sud, 2003, voir en particulier, dans le ch. V « les Personnages », l’alinéa « Crise et mort du personnage : un être de papier ? », p.166-172). 2 le caractère (psychologie, « humeur dominante », dans une conception classique du personnage) ; - un langage, une parlure (cf. Arlequin dans le théâtre de Marivaux, ou les personnages du peuple chez Zola). - Parler de la dissolution du personnage implique dès lors