Psychologie positive

personnes. | 3. Distinction que l'on fait (entre deux choses). | En première partie nous allons étudier la discrimination raciale a l’aide d’une problématique phare, dans un second temps nous allons nous porter sur la discrimination dites « positive » qui est plus d’actualité et enfin nous allons terminer par la parité hommes femmes. 1 / Discrimination raciale : Qu’est ce qu’ait la discrimination raciale ? Quelles personnes sont atteintes par celle-ci ? Tout d’abord nous pouvons dire

inégalités dans la promotion professionnelle, etc. L'exigence de justice sociale a conduit les pouvoirs publics à renforcer la législation contre ces pratiques mais aussi à favoriser l'émergence de procédures de « discrimination positive » : des politiques d’action positives sont alors crées afin d’améliorer l’égalité des chances. La politique des ZEP, en France, donne des moyens supplémentaires aux écoles et collèges de quartiers défavorisés. Ainsi, on assiste à la création de filières spécifiques

certaine manière la victoire du président Obama met un terme à l’idéologie de la supériorité blanche. De la période de l’esclavage à l’élection de Barack Obama , le statut des noirs américains est passé de ségrégué à citoyen américain. La discrimination positive instaurée pas John Kennedy en 1960 avait pour but de renforcer l’égalité. Grâce à ces loi, les noirs sont d’avantage représentés dans les emplois qualifiés, dans les universités, les médias, la politique ….Ainsi la classe moyenne s’est développé

LA DISCRIMINATION POSITIVE : UNE PRESENTATION      La « discrimination positive » est un principe : il s’agit d’instituer des inégalités pour promouvoir l’égalité, en accordant à certains un traitement préférentiel. On espère de la sorte rétablir une égalité des chances compromise par deux phénomènes : la généralisation ou la persistance de pratiques racistes ou sexistes d’une part, une accentuation des inégalités socio-économiques d’autre part. Selon que l’on se trouve dans le premier ou le second

L’express Mai 2004 La discrimination positive consiste à redresser après coup, et très à la marge, des inégalités qu'on a laissées s'installer. Ce n'est pas une solution de corriger une injustice par une autre. Il y a un problème technique, d'abord. Il faudrait, pour être juste, répondre à une multiplicité de facteurs de discrimination. Or on ne peut juxtaposer les pourcentages: tant de femmes, tant de gens de telle couleur ou de telle confession, tant d'homosexuels, tant d'obèses, tant de

chômage élevée s’accompagne d’un important taux de chômage conformément à la thèse néo-classique). B. La persistance d’inégalités résultant de discriminations (limites du principe républicain d’égalité qui justifient le recours à la discrimination positive). 2.Après avoir présenté le rôle de l’école comme instance d’intégration, vous exposerez les difficultés auxquelles elle se heurte pour assurer cette fonction I. L’école est une instance d’intégration sociale A. en socialisant les jeunes générations

s'agit de protéger les individus en sanctionnant la discrimination. Il s'agit aussi de prévenir les discriminations par exemple en rendant anonymes les candidatures à des emplois. Ensuite, des politiques de rééquilibrage, appelées « discrimination positive », qui visent à rééquilibrer les chances entre les groupes. Enfin, de manière plus générale, il existe des mesures économiques, sociales et culturelles.Le mot discrimination s'est imposé dans le langage courant (et dans celui des sciences sociales)

brouiller les cartes et d'empêcher une analyse ou une remise en cause de ces concepts, qui vont « dans le bon sens ». •       développement durable •       développement soutenable •       commerce équitable •       Discrimination positive •       égalité des chances •       entreprise citoyenne •       flexi-sécurité •       capitalisme moral •       croissance négative •    les Pléonasmes Il s'agit de coller 2 termes ayant le même sens. Ils permettent

La discrimination positive La discrimination existe depuis la nuit des temps, en effet l’humain a toujours eu tendance à vouloir être puissant, que ce soit par une grande aspiration qui l’entraîne au sommet ou en simplement abaissant ceux qui se trouvent autour de lui. De nos jours, on tend à vouloir renverser la vapeur, mais est-ce vraiment une solution adéquate ? Devrions-nous encourager certaines formes de discrimination ? S’il y en a une qui peut se permettre de dire qu’elle est bonne, c’est

L'application de la discrimination positive pour compenser les inégalités procure des droits certains à ceux qui se sentent victimes d'inégalité mais peut présenter également des effets pervers. Quatre documents abordent ce thème. Dans son essai La discrimination positive paru en 2004 dans la collection Que sais-je ?, Gwénaëlle CALVES définit les différentes techniques de discrimination positive. L'article du Directeur de l'Observatoire du communautarisme, François DECOUVOUX DU BUISSON, paru le 08/01/2004