Psychosomatique psychanalytique

Initialement la compulsion de répétition est un concept psychanalytique introduit par Freud. Il s'agit de décrire la répétition qui affecte le sujet d'un traumatisme. Différents travaux, depuis la fin des années 80 et la découverte de l’EMDR, ont permis d’éclairer différemment ce concept à partir des neurosciences et de la notion introduite par Francine Shapiro de réseaux de mémoires[1]. . Première conception[modifier] Freud conçoit d'abord, en 1914, différentes figures de la répétition

entier. D’ailleurs, c’est en assistant à de telles cures, qui ont un caractère public, que l’adolescent s’initie en détail aux croyances collectives.  Plusieurs caractères qui viennent d’être relevés ressemblent étrangement à ceux d’une cure psychanalytique. Dans ce cas aussi, la maladie est considérée comme ayant une origine psychologique et le traitement appliqué est exclusivement de cette nature. Par des symptômes qu’il ne peut maîtriser, ou plus simplement par le trouble de son esprit, le malade

réalisation imaginaire de désirs infantiles refoulés. En ce sens, il est une « voie d’accès royale » à l’inconscient. Lors des rêves, la censure du surmoi se relâche et laisse apparaître les désirs inconscients. Cette méthode, intitulée la cure psychanalytique permet alors au patient de ramener jusqu’à sa conscience les éléments psychiques refoulés, triés par le psychisme. Pour dégager le sens d’un rêve, il faut donc distinguer son contenu manifeste, c'est-à-dire les images, l’histoire, le scénario

psychiques induites par le processus et les prises de conscience qu'il implique : la modification du Moi et de l'Inconscient se traduit, outre le soulagement de la souffrance psychique, par une capacité accrue à aimer et à travailler. La cure psychanalytique permet ainsi de se dégager de la paralysie qu'entraîne parfois une souffrance psychique intense. Au-delà de la disparition du symptôme, elle peut être un apport inestimable à une plus grande harmonie aussi bien avec soi-même que dans ses relations

donne les raisons (actes manqués, rêves, symptômes psychiques). Dans un second moment du texte, il montre que l'hypothèse de l'inconscient est légitime, parce qu'il est possible de fonder sur elle une pratique efficace. La réussite de la cure psychanalytique est une sorte de vérification expérimentale de l'hypothèse de l'inconscient. Le texte de Freud est une réponse (\"nous pouvons répondre à cela\") à des critiques nombreuses (\" faites de tous côtés\") opposées à la notion de \"psychique inconscient\"

des « actes manqués » (maladresses, lapsus, bégaiements..) dont il faut déceler le sens pour découvrir les secrets intimes d'un individu. Freud disait « Certains actes en apparence non intentionnels se révèlent, lorsqu'on les livre à l'examen psychanalytique, comme parfaitement motivés et déterminés par des raisons qui échappent à la conscience... Font partie de cette catégories les cas d'oublis et des erreurs, les lapsus, les méprises et les actes accidentels » Les rêves sont des exutoires de l'inconscient

de Joseph Breuer[->9]. Ce dernier expérimenta sur elle ce qui prit plus tard le nom de “méthode cathartique[->10]”, inspirée des enseignements de Jean-Martin Charcot[->11]. Son cas éveilla l'intérêt de Sigmund Freud[->12], qui élabora la cure psychanalytique[->13] à partir de la méthode de Breuer. Breuer décrivit Bertha Pappenheim comme « très sérieuse » ; Jones, moins respectueusement, comme « une espèce de dragon ». Lorsque Breuer l'hypnotisait, Anna O. « se trouvait délivrée et ramenée à une vie

donne les raisons (actes manqués, rêves, symptômes psychiques). Dans un second moment du texte, il montre que l'hypothèse de l'inconscient est légitime, parce qu'il est possible de fonder sur elle une pratique efficace. La réussite de la cure psychanalytique est une sorte de vérification expérimentale de l'hypothèse de l'inconscient. Le texte de Freud est une réponse (\"nous pouvons répondre à cela\") à des critiques nombreuses (\" faites de tous côtés\") opposées à la notion de \"psychique inconscient\"

 L'INCONSCIENT Introduction L'inconscient, au sens freudien, est une entité psychique autonome et dynamique dont sa fonction est de refouler. Freud : 1856-1882 1)La "révolution psychanalytique" - Avant Freud, la philosophie voyait le sujet humain comme capable de connaître et contrôler ses pensées et émotions, ses actes et son langage. Descartes, par exemple, le voyait comme un cogito ayant une parfaite maîtrise de soi, transparent à lui-même(tout ce que nous pensions, nous en avions

passion est éprouvée, ce n'est pas un objet qu'elle pourrait écarter ou mettre à distance. Elle est cette passion. Voilà pourquoi la prise de conscience n'est pas ici libératrice. On peut aussi prendre comme exemple propre à la réflexion la cure psychanalytique: la prise de conscience des problèmes n'est pas nécessairement libératrice. Pour beaucoup, la différence entre le début et la fin de la cure, c'est que, au début ils souffraient sans savoir pourquoi, et, à la fin, ils soufrent en sachant pourquoi