Ptah

jours : Une civilisation présente dans notre structure. Découverte de Champollion + voyage de Bonaparte(1798-1801) sont à l’origine de notre fascination aujourd’hui. Egypte vient du grec Ayguptos, transcription de l’egyp. Qui veut dire la demeure de Ptah (dieu egyptien). I. Origines : D’où vient l’egyptomanie ? A. facination qui remonte aux grecs : Herodote, Alexandre le Grand et la dynastie des Ptolémée. Hérodote visite l’égypte en -450 est est faciné par les constructions et les divinités surprenantes

êtres à la fois invisibles (Amon) et représentés dans des hypostases tangibles (comme le taureau Apis). Les dieux ne faisaient parfois qu'un. Le divin était à la fois multiple et unique. Les dieux les plus importants du Nouvel Empire sont Amon, Rê et Ptah. Chez les Égyptiens de l'Antiquité, les cérémonies et croyances liées à la mort représentaient une part importante de leur vie. Les préoccupations liées à la mort au cours de l'Égypte antique étaient d'ordre religieuses et constituaient une étape

un breuvage spécial pour apaiser sa soif de sang. Cependant, l’initié peut gagner ses faveurs à condition de vaincre ses propres peurs ; car malgré sa violence, la déesse a le pouvoir de guérison, ce qui l’a consacrée déesse des médecins. Épouse de Ptah et mère de Néfertoum dans la triade Memphite. La déesse chatte Bastet s’identifie parfois à Sekhmet. http://www.histoiredumonde.net/article.php3?id_article=1004 ANNEXE II Isis Isis est le nom grec d’Aset (ou Eset), la déesse gardienne et magicienne

L'Antiquité Le Moyen Âge On ne dispose pas de textes assez anciens pour connaître la vision de la vieillesse dans la Préhistoire Les textes les plus anciens évoquant la vieillesse que nous possédons remontent à l'Antiquité. On peut parler des écrits de Ptah Hotep Vizir, d'Aristophane, d'Hippocrate et de Galien ou même de la Bible. Le Moyen Âge marque une évolution majeure dans le respect des vieillards. Ils sont plus nombreux car ils ont mieux résisté aux épidémies et plus tard, l'organisation féodale

épouse principale d'Amenemhat Ier, mère de Senousret (Sésostris Ier) ; Dedyet, autre épouse d'Amenemhat Ier, peut-être sa sœur ; Néfru, femme de Sésostris Ier, mère d'Amenemhat II ; Itakaiet, fille ou épouse de Sésostris Ier ; Nefru-Sobek, Nefru-Ptah, Nenseddjedet, filles de Sésostris Ier ; Khnemet, fille de Amenemhat II ; Néféret ou Nofret, épouse de Sésostris II ; Weret, épouse de Sésostris II, mère de Sésostris III ; Sit-Hathor-Iounet, fille de Sésostris II ; Méréret ou Mériret ou Mérit

que peu d'intérêt. A Thèbes, Amenemhat et Sésostris Ier embellirent de leurs offrandes le grand temple d'Amon. Dans la ville sainte d'Abydos, Sésostris Ier restaura le temple d'Osiris. A Memphis, Amenemhat III édifia lespropylées au Nord du temple de Ptah. A Tanis, Amenemhat Ier fonda, en l'honneur des divinités de Memphis, un temple que ses successeurs agrandirent à l'envi. Fakous, Héliopolis, Hakhninsou, Zorit, Edfou et d'autres localités moins importantes ne furent pas négligées.-» Aucun monument

ensuite vers la côte méditerranéenne où il choisit l'emplacement de la future Alexandrie qui semble être destinée à devenir un lien entre la vallée du Nil et la Méditerranée. De retour à Memphis, il se fait officiellement couronner dans le temple de Ptah et réorganise le pays avant de repartir à la conquête du Moyen-Orient. Il quitte ensuite l'Égypte au printemps 331 avant Jésus-Christ pour ne jamais y revenir. L’entrée dans Babylone et Suse Le succès du combat de Gaugamèles lui ouvre la route

nombreuses divinités égyptiennes ont été transposées chez les Grecs ou chez les Romains. Amon est devenu Zeus chez les Grecs et Jupiter chez les Romains (selon certaines sources d'après le dictionnaire des mythes, Nadia Julien, édition Marabout) ; Ptah est devenu Héphaïstos chez les Grecs et Vulcain chez les Romains; Osiris, Dionysos chez les Grecs, Bacchus chez les Romains ; Isis, Déméter chez les Grecs, Cérès chez les Romains. Enfin il y a une parenté entre certains mythes de l'Egypte et de la

l’Acropole ou du Temple de Vesta, les étincelles des chevelures des Dioscures ou de la tête de la Gorgone, la Flamme du Casque de Pluton, ou de Pallas, le Bâton de Mercure. C’était aussi, chez les Grecs, le grand Zeus Cataibatès ; chez les Égyptiens Ptah-Ra ; pour les Hébreux le Buisson ardent de Moïse, la Colonne de Feu de l’Exode, la Lampe d’Abraham ; les langues de Feu des Apôtres ; les Vapeurs de l’Oracle de Delphes et de celles de l’antre de Trophonius, le Feu Éternel de l’Abîme sans fond ; les

d’heures il était devenu le gibier de cette force maléfique, mais il résista à la tentation de s’allonger sur le sable et de s’avouer vaincu. Commençant à ressentir les premiers signes d’épuisement, il trouva de nouvelles ressources en implorant le dieu Ptah, protecteur des artisans, de ne pas l’abandonner. Au-dessus de lui, un bruissement d’ailes. Un grand ibis blanc venait de le frôler. Baigné de la lumière lunaire, l’oiseau de Thot, le maître de la science sacrée et le patron des scribes, volait vers