Puceau

raconte dans Un Barrage contre le pacifique. Le premier point commun entre ces deux œuvres est donc leur caractère autobiographique. En effet, chaque auteur raconte sa propre expérience à travers un personnage fictif. Céline décrit un jeune homme « puceau de l’horreur » qui se trouve bien vite confronté aux malheurs du monde. Duras quant à elle décrit une famille, une mère et ses deux enfants. C’est la fille qui l’incarne. Le second point commun évident est la négativité de ces deux œuvres. Chacune

regards ; séduction immédiate => élément perturbateur La métamorphose de Des Grieux ==> coup de foudre raconté comme une étape fondamentale dans le roman d’apprentissage ==> Des Grieux est naïf et niai => amour expérimenté en pureté (puceau XD) ==> Innocence morale ==> Des Grieux quitte Tiberge pour Manon / Idée que l’amour rend traître («sagesse et retenue» s’opposant à «enflammer») L’idéalisation de l’amour : ==> Métamorphose relève du merveilleux (magie) ; se rapproche

ne sait pas trop bien combien de temps s’écoule, mais la lettre de la petite tailleuse à Luo est datée du 8juillet 1972 donc il s’est écoulé un an et demi en 35 pages. Plus tard le printemps sera mentionné et le narrateur se qualifie de jeune « puceau de 19 ans », donc 2 ans se sont écoulés et l’on peut supposer que le printemps est celui de 1973. Une autre date évoquera « en ce jour d’été 1973 », puis en septembre le départ du Binoclard et le vol de la valise. A la fin du récit, il est question

interdits par Mao Zedong à cette époque car les livres sont uniquement des vecteurs de la propagande). Enfin le roman Ursule Mirouet écrit par Balzac montre à Luo ainsi qu’au narrateur une partie de la société française. Ainsi le narrateur, « jeune puceau de dix-neuf ans » n’ayant « connu que les bla-bla révolutionnaires » reçoit-il le roman comme un « intrus » qui parle « de l’éveil du désir, des élans, des pulsions, de l’amour ». L’histoire d’Ursule lui paraît « aussi vraie que celle de [ses] voisins

personnage assez pervers, il sort avec Michelle mais cela ne l’empêche pas du tout d’aller voir ailleurs. Michelle est la copine de Tony, elle est assez naïve mais très intelligente. Sid est le meilleur ami de Tony, il est pour ainsi dire toujours puceau et amoureux de la petite amie de Tony, ce dernier s’en servant pour le manipuler. Cassie est atteinte d’anorexie, elle est folle amoureuse de Sid mais ce dernier ne fait que l’ignorer. Anwar est un jeune musulman (en apparence seulement) qui

Je vis chez maman, j'ai 17 ans, je suis timide et toujours puceau. J'aime les femmes mais, je n'arrive pas à les aborder. Je mesure 1m80 pour 72 kg, je me crois plutôt mignon. Je suis très complexé par la taille de mon sexe qui ne dépasse pas 11cm en érection. Maman, Catherine, est une très belle femme de 46ans, 1m64 pour 42 kg. Elle est médecin et nous assure une vie agréable. Elle est veuve depuis cinq ans, et je ne lui connais pas de relation, même si je sais qu'elle a des amants. Elle

les chiens, adorant leur rage (ce que les chiens ne font pas), cent, mille fois plus enragés que mille chiens et tellement plus vicieux ! Nous étions jolis ! Décidément, je le concevais, je m'étais embarqué dans une croisade apocalyptique. On est puceau de l'Horreur comme on l'est de la volupté. 2/3 : REPONSE POSSIBLE par un élève de PREMIERE (validée, conforme à la méthode) Nous avons affaire ici, à un corpus de trois textes, portant tous sur l’argumentation : les deux premiers textes sont de

« J’ai dis souvent que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre ». Voici un résumé de ma triste vie : J’ai vingt trois ans, chômeur longue durée malgré moi. Je suis toujours puceau. Je suis très laid, gras et pusillanime. Ma copine m’a ‘posé un lapin’ le jour de l’an. Chaque jour est une lutte. Comme si cela n'était pas assez, je souffre d'hyperhydrose localisée au cuir chevelu. Je souffre également d'une mauvaise haleine –

est d'abord un roman initiatique : l'errance est au cœur du roman. Le roman se rattache à la veine picaresque : un pauvre bougre entraîné malgré lui dans des aventures qui le font mûrir en même temps qu'elles lui font perdre ses illusions (« on est puceau de tout, même de l'horreur ») Le langage argotique (qui a longtemps été controversé) tout comme les néologismes et les obscénités utilisés dans « Voyage au bout de la nuit » ne sont en rien un relâchement de la langue, mais une apparence de relâchement

vas-t'en… ] [ Allez, va… va-t'en ! ] [ Sois gentil ] [ Casse-couilles ! ] [ C C, va ! ] [ Coca-cola, va ! ] [ Playmobil ! ] [ Demi… demi-playmobil ! ] Mais enfin mademoiselle… Enfin, je ne comprends…pas… C..C'est une méprise… [ Gros puceau, va ! ] [ Ouais, tu veux que j'continue à t'insulter ? ] [ Mais pourquoi tu restes là ? ] [ Alleeez, vas-t'en ! ] [ Tu chantes, t'es poète et t'es en manque…. Vas-t'en… ] [ Sois gentil, rentre chez toi ] [ Bois une bière au bar ] J'ai déjà