Pudeur Intimite Autonomie

détendre et d’avoir une hygiène correcte. * LIEU : la salle de bain de la chambre de la patiente. * BUT : avoir une hygiène correcte et permettre à la patiente de réaliser les gestes de la toilette quotidienne seule pour conserver son autonomie. * RAISON : avoir une hygiène correcte. * DUREE : la patiente réalisant seule la toilette de son visage, torse et petite toilette et s’habillant seule, la toilette seule a durée environ 15 minutes. * DEROULEMENT : je toque à la

chariot de façon à ne pas tourner le dos au patient - Organisation du plan de travail - Etre efficient - Economiser ses pas - Utiliser toutes les faces de la compresse - Ne pas ouvrir de matériel tant que l’on n’en a pas l’utilité Respect / Intimité / Pudeur / Autonomie - Fermer la porte et les rideaux (si nécessaire, en cas de vis-à-vis) - Mettre la présence - Ne découvrir que la partie du corps nécessaire pour faire le soin Efficacité / Dextérité - Gérer son temps - Propreté du pansement - Evolution

toilette ( gants, serviettes , savon) qu'elle avait apportée, et lui rempli la bassine d'eau que je dépose à côté d'elle, et lui tire le rideau pour préserver son intimité et avec son aide, je lui prépare la tenue qu'elle souhaite porter aujourd'hui, et lui dépose à coté d'elle. Je sort de la chambre à sa demande pour préserver sa pudeur et lui dit d'appeler lorsqu'elle aura fini pour que je puisse effectuer la toilette des membres inférieurs. 15 minutes plus tard Mme C sonne, je vais donc la voir

thérapeutique : ___________________________________ p. 20-21 - Représentation - Spécificité en milieu psychiatrique -3- 3°) L’intimité : _________________________________________________ p. 22-23-24 - Représentation - Choix et intimité en milieu hospitalier - Intimité et respect 4ème PARTIE : INFLUENCE DANS LA RELATION DE SOIN 1°) De la distance thérapeutique____________________________________ p. 26 2°) De l’intimité_________________________________________________ p. 27 3°) Synthèse /Problématique

l’aise. En effet, j’effectue une douche auprès de ma patiente car lorsque je la lève je la retrouve trempée d’urine, je décide alors de lui faire une douche. Je demande alors à ma patiente de se dévêtir afin de garder son autonomie. Je pose une serviette sur son corps (pour la pudeur et pour qu’elle n’ait pas froid). J’allume ensuite l’eau que je laisse chauffer quelques secondes puis demande à ma patiente si celle-ci est assez chaude. Avant de la mouiller, je constate que ma patiente a uriné sur la

résidents je me renseignée auprès de mes collègues sur ce qu’il était capable de faire seul et sur quoi il fallait que je l’assiste ou fasse à sa place.Je l’ai accompagné jusqu’à sa chambre, j’ai fermé la porte afin de respecter son intimité afin qu’il conserve son autonomie je l’ai laissé commencer à se déshabiller seul durant ce temps j’ai préparé ce dont j’avais besoin dans la salle de bain afin de ne pas le laisser seul sous la douche (gant de douche personnel, serviette, gel douche, shampooing)

des résidents, à ce qu’il n’y ait pas de «  fausses routes «  . Je dois donc faire preuve d’observation et de vigilance. J’essaye de faire en sorte que le résident soit acteur de ce moment, et de m’adapter à sa pathologie. Je fais travailler leur autonomie, certains par exemple mangent avec des couverts adaptés. Avant comme après le repas, chaque résident a une tâche précise qui change chaque semaine : nettoyer ou mettre la table, ranger dans le lave vaisselle, ect. Ces tâches sont vécues différemment

patiente consciente de ces troubles, qui dit avoir besoin de ritualisation et de routine afin d'être rassurée (autonomie) et qui a du mal à accepter sa dépendance pour les soins de tous les jours ainsi que l'impossibilité de maîtriser son corps. Son rapport avec ce dernier est trés difficile à vivre pour Mme B. qui le voit comme "déformé", "torturé" et qui a une trés mauvaise estime d'elle-même (pudeur). Mme B. avoue être dépressive mais ne se laisse pas aller pour autant, d'où sa prise en charge par le

moment intime, et privilégié. Elle permet d’établir une relation et la communication. Ne pas brusquer la personne, il faut être au même rythme que la personne. Moment d’évaluation de la personne au démarrage de la journée (mal dormi ? douleur ?) Autonomie : on agit sur l’autonomie de la personne, il est important que la personne puisse faire quelque chose. C’est important pour elle de faire ce qu’elle est capable de faire. Elle va se sentir vivre quelque chose. Faire participer la personne, qu’elle

La chose la plus importante en communication, c’est d’entendre ce qui n’est pas dit. Peter Drucker : Artiste, écrivain, Enseignant (1909 – 2005 ) 1 Etablir une communication adaptée à la personne e et son entourage Relationnel -Communication Institut de Formations d’Evreux aide-soignante 2021/2022 Elodie LEZIER AS Cursus Complet Formatrice référente : Mme Delphine MATHIEUSOMMAIRE Présentation Analyse pratique et professionnelle..…………………Page 1 Sommaire