Pudeur Intimite Autonomie

apporter son aide pour la toilette, l’habillage, la prise de repas, l’élimination et le déplacement en l’adaptant aux besoins et aux capacités de la personne et en respectant les règles d’hygiène et de pudeur ; - stimuler la personne, lui proposer des activités contribuant à maintenir son autonomie et à créer du lien social. MODULE 2 Apprécier l’état clinique d’une personne Savoir-faire : - observer la personne et apprécier les changements de son état clinique ; - identifier les signes de

milieu de lit est à changer tout les jours cependant il est possible de changer le reste des draps si ceux ci sont souillés. Enfin je demanderai à ma patiente quel pyjama veut-elle mettre aujourd’hui. Le choix de ses vêtements l’aide à préserver son autonomie. Je les installe avec le linge pour la réfection du lit.Sur le troisième étage de mon chariot, j'installerai un sac de linge qui me permettra d'évacuer le linge sale de la patiente (c'est à dire l'alèse) ainsi qu'un sac poubelle jaune qui correspond

article VII : « la personne hospitalisée est traité avec égards (…) Le respect de l’intimité de la personne doit être préservé lors des soins (…) à tout moment de son séjour hospitalier ». Ainsi, en tant que soignant, je me dois de respecter cette intimité de la patiente. Dans le cas de madame K. l'intimité est de mise, car en toquant avant d'entrer dans sa chambre, je respecte son espace privé, et je recueille aussi son consentement. Je me lave les mains a la solution hydro-alcoolique, afin d’éviter

cardiaque de Madame D provoque un essoufflement accentué à l'effort, complique son oxygénation, gêne ses déplacements, la conduit à limiter toute mobilisation et provoque une sensibilité au stress. Elle est claustrophobe. Pour préserver confort et autonomie respiratoire, je dois : => fractionner les efforts (mobilisation, déplacements, .. tout acte générant une fatigue physique), => maintenir une activité physique régulière pour stimuler sa respiration, préserver une bonne capacité respiratoire (indication

En effet, le respect de l’intimité et de la pudeur est très important. Le fait que des personnes qu’il ne connait pas, le regarde pendant qu’on le déshabille ou en train d’uriner provoque chez le patient une forte gène, et même de la honte. Je crois également, qu’il faut prendre le temps d’expliquer pourquoi il a besoin d’utiliser le pistolet, comment l’utiliser et même de lui demander s’il n’a pas besoin d’aide. Le patient a perdu un peu de son autonomie, il ne peut plus se tenir debout tout seul

prenais le temps de discuter avec eux de la journée qui commençait de leurs différentes activités prévues. Comme dans tout les temps forts de la vie quotidienne, j'ai compris qu'il était essentiel d'être toujours dans la visée de favoriser leur autonomie dans tout La matinée La matinée est rythmé de moment plus informel, alors je profitais de ces temps pour des échanges individuels avec les résidants. Le repas Vers 11h commence la préparation du repas et la mise de table, certains

mettons notre bras sous les bras Mme F et nous convenons de la soulever au bout de 3. Mme F est placer dans son fauteuil de douche, encore en tenue de nuit, et nous l'amenons dans sa salle de bain. Je ferme la porte afin que la patiente conserve son intimité et n'ai pas froid. Le nécessaire de toilette et ses vêtements, choisis la veille, sont déjà présents dans la salle de bain. Je commence par inciter Mme F à se déshabiller seule, ce qu'elle fait avec du mal donc je me permet de l'aider. Ensuite je

monsieur B, 65 ans tout en favorisant au mieux son autonomie, car ce patient était arrivée dans le service pour une résection endoscopique de la prostate, mais qui avant d’être admise au service, était parfaitement autonome mais pour quelques problèmes rencontrés les médecins nous ont di qu’ il devait rentrer chez lui dans quelques jours avec sa sonde urinaire. Nous commençons par installer le patient au mieux pour respecter son intimité et sa pudeur car la chambre se trouvait être une chambre double

en service de Soins de Suite et Réadaptation (SSR). Ce service accueille des personnes agées qui peuvent être : -dans l'attente d'une chambre en maison de retraite, -en retour d'une opération chirurgicale -ou dans le besoin de retrouver leurs autonomies suite à un dérèglement de celle-ci. Madame X. ,90 ans, pèse 49kg et mesure 1m50. Son bras droit est plâtré pour une fracture de l’extrémité distale du radius. Cette fracture de Pouteau-Colles sans déplacement nécessite, dans un premier temps

CONSEQUENCES DE LA DEPRESSION SUR L AUTONOMIE DUNE PERSONNE AGEE. Sommaire SITUATION CONTEXTUELLE 2 SITUATION RENCONTREE   2 RESSENTIS  3 QUESTIONNEMENT 4 ● A quel âge est –il possible de faire une dépression ? 4 ● A la suite de la perte de son fils, les troubles d’hum leur chez Mme G semblent ils être des symptômes d’un état dépressif ou d’un état de deuil ? 4 ● La dépression de Mme G peut elle avoir des conséquences sur le degré de son indépendance et de son autonomie ? 5 ● La biologie et la dépression