Pudeur

décisions jurisprudentielles du XIXème siècle sur la question montrent l’attitude réservée des magistrats qui préféraient des qualifications plus « douces » ; en l’espèce, un arrêt de la Chambre Criminelle du 21 novembre 1839 a condamné pour attentat à la pudeur un mari ayant contraint son épouse à subir des actes « contre nature » contraires aux fins légitimes du mariage. Aucune évolution n’est notable jusqu’à la fin du XXème siècle où le débat est relancé par la loi n°80-1041 du 23 décembre 1980 portant

vous ». Gabrielle -> a 15 ans, vendue par sa mère : ironie «  sa mère est une honnête femme », débauchée à venir : lexique dépréciatif « médiocrité bourgeoise », métaphores « léger vernis, flots violents […] glace fragile », ironie « Tant de pudeur ! ». Action : Pendant la nuit, à Florence, le duc, accompagné de son écuyer et de Lorenzo, vient chercher la fille que Lorenzo lui a achetée pour ses plaisirs charnels. La scène se passe donc dans une ville dépravée où règne vice, débauche, abus

A.H, (Psychanalyse, Traversée, Anthropologie et Histoire) En 2003-2004 (15/16), p. 205-217. * «Le toucher soignant: une pratique antidouleur par excellence », 3) Résumé du texte Ce texte traite de la relation intime et la pudeur entre le soignant et le patient soigné lors du soin. Les soignants, lors des soins techniques sont très proche du patient donc de son intimité ce qui peut être gênant aussi bien pour l’un que pour l’autre. Pour éviter cela il y a des limites de

destinés. Une fois que Mr P est habillé, nous le laissons en chambre fermée le temps d’attendre le traitement et le petit déjeuner afin de protéger les autres patients. Dans cette situation, l’intrusion dans l’intimité et le non respect de la pudeur m’a beaucoup choqué. Dans un premier temps, le fait d’entrer dans la chambre du patient sans son consentement, sans lui laisser le choix m’a dérangé. C’est son espace, cela fait partie de son lieu de vie et il lui est donc réservé. L’intimité

privilégiée avec le patient ; l'aide soignant peut observer et recueillir des données sur l'état psychique et psychique du patient. Ø Convenir d'une horaire avec le patient. Ø Ne pas faire la toilette si le cabinet de toilette est déjà occupe (souci de pudeur). Ø Dès l'entré dans la chambre, allumer la présence. Ø Se laver les mains dans le poste de soins. Ø Préparer le matériel : mettre l'alèse (le carré) sur la chaise, installer le matériel sur lavabo et sortir celui appartenant eu patient. Ø Sortir

valeur que l’on retrouve dans la vie quotidienne. Dans son témoignage, Grand Corps Malade se retrouve dans des situations peu agréables et la notion de respect de la part du personnel est importante. Durant sa toilette, son aide-soignant respecte sa pudeur : « Une fois sur mon nouveau moyen de transport, Ernest me met un drap sur le corps pour que je ne caille pas trop et me balade dans les couloirs direction la douche. »p.19. Ce témoignage peut se résume en quelque mots : dépendances, handicap, soins

haut (visage, bras, poitrine et dos) ainsi qu'une serviette et un gant pour le bas (jambe et la toilette intime et le siège), et une autre serviette. J'installe la serviette du bas sur ses cuisses au niveau de sa partie intime afin de respecter sa pudeur durant sa toilette. Je prends le gant du haut de préférence couleur claire, je le mouille, mets du savon, et je lave ses mains en premier, car les personnes qui souffre de confusion peuvent se sentir agressées si on commence leur toilette par le visage

ensuite. Nous procédons par hémicorps en commençant par le torse du côté opposé à nous. Nous ôtons sa blouse progressivement pour des raisons de pudeur, nous lavons avec du savon, rinçons ensuite puis terminons par l’essuyage de cet hémicorps. Une fois cet hémicorps lavé nous commençons à enfiler une nouvelle blouse de ce côté pour des raisons de pudeur et respecter l’intimité du patient. Et répétons ces actions pour l’autre partie du torse, mis à part que pour des raisons de confort et de sécurité

previliégée avec le patient ; l’aide soignant peut observer et recueillir des données sur l’état psychique et psychique du patient - Convenir d’une horaire avec le patient - Ne pas faire la toilette si le cabinet de toilette est déjà occupe ( souci de pudeur) - Dés l’entré dans la chambre, allumer la présence - Se laver les mains dans le poste de soins - Préparer le matériel : mettre l’alèse (le carré) sur la chaise, installer le matériel sur lavabo et sortir celui appartenant eu patient - Sortir

diagnostiqué dès son jeune âge comme atteint de troubles mentaux. Placé dans un établissement spécialisé, puis dans des foyers, il aurait été victime d'abus sexuels pendant son enfance. Condamné à huit reprises entre 1965 et 2004 pour atteinte à la pudeur ou viol sur mineur, il est néanmoins à chaque fois relâché une fois sa peine purgée. Et récidive, agressant à nouveau un jeune garçon, généralement quelques mois seulement après sa libération. L'affaire du petit Enis Le 15 août 2007, le petit Enis