Puis Je Au Nom De Ma Conscience Désobéir Aux Lois

droit de la personnalité. Le droit objectif Le droit objectif c’est l’ensemble des règles de droit régissant la vie en société. Pour mieux comprendre ce que recouvre cette expression, il faut commencer par préciser ce qu’est une règle de droit, puis étudier les différentes manières dont elles sont créées et les relations qu’elles entretiennent. La règle de droit La règle de droit est une règle de conduite qui a pour objet d’organiser la vie en société et les relations entre les membres qui

pouvait lui être opposé. Pas d’Etat sans souveraineté – Pas de souveraineté sans Etat. B. La Res Publica, une puissance abstraite de commandement Elle ne se confond pas avec la puissance passagère qu’exercent ceux qui sont habilités à parler au nom de l’Etat (Chefs). L’Etat est tout et celui qui est à son sommet, le chef d’Etat, n’exerce ses fonctions qu’à titre passager, il n’est rien. Les autres peuples vivant autour des romains, avaient des règles d’organisation variables mais chez eux, le

a justifier les puissance de l'Etat. Son oeuvre a ouvert la voie a une littérature de droit publique. Avec Domat se constitue une science du droit publique autonome. Elle etait séparée du dt privé mais aussi de l'economie. Il a écrit un traité des lois, il en distingue 2 : - celles du droit publique qui concerne l'ordre publique du gouvernement et l'adm de la justice et des fiances. - celle sdu droit civil qui reglent les rapports entre particuliers. Dans

société fonctionne. Toutefois on ne peut pas dire que les autres règles de conduite n’ont-elles aucunes finalité sociales. En effet, la règle morale, par exemple, c’est de tendre au perfectionnement intérieur de l’individu, à l’épanouissement de sa conscience. Sa finalité première n’est pas une finalité sociale, c’est d’être en accord avec soi-même. La règle religieuse a pour finalité première le salut de l’âme. Parfois même pour suivre une règle morale on n’hésite pas à aller à l’encontre de l’intérêt

sont l’attraction et la répulsion. Déjà au plus profond de lui, et bien avant d’être confronté aux autres, l’homme se trouve confronté à lui-même devant un problème majeur ; il désire développer ses aspirations individuelles mais a en même temps conscience que ce développement ne peut se réaliser que dans un rapport à autrui. Autrui se trouve donc être le moyen inévitable de développement des désirs égoïstes de l’homme tout en étant une barrière, un obstacle à ces mêmes désirs. En effet, autrui est

Cependant avec les critiques d’art, cela montre ce l’art n’est pas totalement subjectif car existe une critique. - un pôle objective (scientifique). La vérité scientifique est l’accord des dirigeants scientifiques à un moment précis (évolution des lois) ce qui montre que la science n’est pas totalement objective La connaissance serait donc un mélange des deux, elle serait donc Intersubjective, viendrait d’un accord de la communauté (scientifique ou artiste) à un certain moment donné de l’histoire

Le féminisme considère qu’il faut défendre les femmes car elles ont la même capacité de raison que les hommes, il faut casser dans la société tout ce qui fait qu’on les considère comme des sous cogito. L’autre féminisme réclame des droits au nom d’une nature spécifique, et là on se détourne de l’humanisme. A coté du féminisme, il faut noter le communautarisme : ce qui définit profondément un homme est qu’il appartient à une communauté particulière. Le communautarisme vient de l’Amérique

société est incompatible avec l'absence de règles. B/ les autre règles normatives : règles religieuse et morale A coté de la règle de droit existe des règles normatives. La règle morale qui établie les rapports de l'individu avec sa conscience. Et la morale religieuse qui définie le même rapport de l'individu avec dieu. La question qui se pose est de savoir quelles sont les interférences entre la règle de droit et les autres règles en société. 1/coexistence entre les différentes

compilation sous le règne de Justinien 530 avant J-C) au IIIème siècle de notre ère. «Le droit public est ce qui concerne l’administration du gouvernement romain et le droit privé est en relation avec les intérêts des individus » // « Le Prince est délié des lois » (maxime romaine). · Droit public è cultes, sacerdoces (fonction de celui qui a le privilège du sacre), magistrature (celui qui détient le pouvoir politique, judiciaire ou administratif). · Droit privé è préceptes de la loi naturelle, droit des

universelle dotée de la nécessité rationnelle. En ce sens, cette forme de droit rejoint l’idée du droit naturel, pleinement légitime et qui se distingue du droit positif, simplement caractérisé par la légalité. Ainsi, c’est au nom du droit naturel qu’Antigone répond au roi Créon : «J’ai désobéi à la loi car ce n’était pas Zeus qui l’avait proclamée, ce n’était pas la Justice.» (Antigone, Sophocle). La forme légitime du droit, autrement dit le droit naturel, est donc intimement liée à la notion de justice comme