Puis Je Avoir Une Opinion Personnelle

INTRODUCTION "Penser" et avoir des opinions" sont deux expressions qui concernent le domaine de la connaissance, qui nous renvoie à un jugement de connaissance, aussi les assimile-t-on souvent comme en témoigne le langage courant. Le présupposé à cette question est effectivement que pour bon nombre de personnes, elles sont superposables. Il s'agit par conséquent de savoir si le fait d'avoir des opinions compte tenu de la passivité qu'implique le terme "avoir" et de la nature même de l'opinion qui

entretiens, car c'est l'action d'échanger des propos avec un ou plusieurs personnes. ¤ Le dialogue, car c'est une conversation qui sert de conflit pour arriver à une phase de collaboration. Le dialogue permet donc de s'interroger sur la valeur de ses opinions. ¤ L'argumentation, car c'est l'ensemble des raisonnements par lesquels on détruit les conséquences logiques d'un principe, d'une cause ou d'un fait, en vue de prouver le bien-fondé d'une affirmation et de convaincre. ¤ Les débats, car chacun

enfants à leurs différentes activités, puis un casque de pompier pour expliquer les crises ou « incendies » quotidiens au bureau, et enfin une toque de chef pour parler de son amour de la cuisine. Lorsque vous aurez en tête les grandes lignes de votre discours, faites-en une histoire, du genre de celles que vous raconteriez à vos amis au cours d’un dîner. Partagez avec vos auditeurs des expériences qui ont compté pour vous. Plus votre discours sera personnel, plus le lien que vous établirez avec

penser ? D’après Alain, penser est-ce s’opposer à toute forme d’opinion reçue ou alors penser est-ce une activité intellectuelle examinant les opinions sous toutes ses formes, en la problématisant et en prouvant sa véracité ? Nous verrons dans un premier temps de la ligne 1 à 5 (jusqu’à « d’autre combat ») la thèse qu’Alain met en avant dès la première phrase. Puis nous verrons dans un second temps de la ligne 5 à7 (jusqu’à « au lieu d’examiner») le combat que la pensée mène contre elle même ainsi que

structure. Rédigé et soutenu par : Jonathan COURTOIS Sous la direction de : Mme COUTELLE (IAE de Tours) L’Institut d’Administration des Entreprises - IAE de Tours - n’entend donner ni approbation, ni improbation aux opinions émises dans ce mémoire. Ces opinions doivent être considérées comme propres à leur auteur. Remerciements Je tiens à remercier, tout d’abord, Mme Patricia Brillet-Coutelle enseignante chercheur à l’Institut d’Administration des Entreprises (IAE) et tutrice de

quelles connaissances avons-nous à propos des rumeurs ? Pour déterminer ce qu’on connaît de la rumeur, on doit d’abord distinguer ce que l’on croit vrai puis les représentations que l’on a qui nous permettent de connaître cette réalité, c’est-à-dire l’image mentale qui nous vient en pensant à quelque chose en particulier. On doit prendre du recul puis observer les faits, les analyser et se questionner sur nos propres représentations. Nos connaissances sont partagées socialement, donc plusieurs personnes

d'un souverain idéal. Dans chacun de ces trois textes, le portrait d'un souverain est dressé. Les auteurs y imposent explicitement ou implicitement leur vision et leur opinion personnelle. C'est ainsi que Machiavel expose de manière directe sa réflexion politique quant au comportement qu'un roi doit avoir auprès de son peuple. Du point de vue de l'auteur, il vaut donc mieux être craint que aimé car les deux ne sont pas compatibles. Quant à lui, Rabelais fait un portrait critique d'un

en société, il est caractérisé par ses normes (règles à suivre) et ses valeurs propres à l’endroit où il vit et la classe à laquelle il appartient. La culture change en fonction de l’individu, il peut avoir un jugement personnel car il est libre de penser par lui-même et peut avoir sa propre opinion. Mais la consommation actuelle change car les besoins et les habitudes des individus évoluent au fil du temps. Le pouvoir qu’exerce la communauté peut faire changer une personne d’avis car cette culture

mot » et « raison » lesquels sont inséparables) comme étant « la science des lois de la pensée, autrement dit, la méthode de la raison » et la dialectique (dérivant de διαλεγεσϑαι : « converser » car toute conversation communique des faits ou des opinions, c.-à-d. est historique ou délibérative) comme www.schopenhauer.fr 5|L’art d’avoir toujours raison étant « l’art de la controverse » (dans le sens moderne du terme). Il est donc évident que la logique traite des a priori, séparables en définitions

Condillac, pour lui, « Le mot pensée [...] comprend dans son acception toutes les facultés de l'entendement et toutes celles de la volonté. Car penser, c'est sentir, donner son attention, comparer, juger, réfléchir, imaginer, raisonner, désirer, avoir des passions, espérer, craindre ». En demeure que l’essence même de la pensée serait la réflexion, la mise en œuvre de la conscience, une formation, une organisation d’idées par l’application mentale. De ces éclaircissements sur ce qu’est réellement