Puis Je Etre Sur De Ne Pas Me Tromper

Résumé : L’École des femmes de Molière (1661) Arnolphe prétend qu’une femme ne peut être sage et vertueuse qu’autant qu’elle est ignorante et niaise. Aussi, pour avoir une épouse à sa guise, il fait élever sa jeune pupille, Agnès, au fond de sa maison, sous la garde d’un valet et d’une servante aussi niais qu’elle. La jeune Agnès, qui a été élevée dans la plus grossière ignorance, se fatigue bientôt de l’isolement où on la retient. S’étant mise un jour à la fenêtre, elle aperçoit un beau jeune homme

réplique du valet, l’attitude de la comtesse et ses propos démentent ses pensées et ses sentiments. Ainsi, les paroles sont peu nombreuses : ce sont a priori des phrases courtes, mais vives qui éloignent le chevalier par l’impératif et le renforcement, puis par la négation ensuite : « Laissez-moi donc » et « vous n’y songez pas ». Les gestes sont plus éloquents que les paroles, car la traduction que fait Trivelin de ces deux expressions est beaucoup plus longue : dans les lignes 12 à 14 « surprenez-moi

spontanée -L’aléa : L’aléa est un doute que les parties admettent sur un élément essentiel du contrat qu’elles ont en vue de conclure. L’aléa modifie l’objet même du contrat mais l’erreur ne peut être provoquée car l’aléa est visible. -L’erreur spontanée : L’erreur spontanée est une erreur que la partie qui va en être victime aurait pu prévenir. Celle-ci résulte que de la part de la partie victime, elle a mal interpréter telle ou telle choses dans le contrat conclu. L’erreur provoquée et l’erreur spontanée

Wide Shut est un film britannique composé d’acteurs comme Tom Cruise et Nicole Kidman. C’est l’histoire de Williams Hardford, médecin, qui mène une paisible existence familiale. Jusqu’au jour où sa femme Alice, lui avoue avoir eut le désir de le tromper quelques mois auparavant. Ce film est adapté d’une nouvelle de Schnitzler. Stanley Kubrick a même dit : « Je considère les pièces de Schnitzler comme des chefs d’œuvre d’écritures dramatiques. Rares sont les auteurs qui ont mieux compris la manière

qu’individu ou être humain. Nous connaître signifie savoir qui on est, savoir quel est notre caractère et personnalité. C’est aussi pouvoir se définir et se comprendre. Pour y arriver nous devons nous demander si la meilleure place est au centre de notre intériorité ou si au contraire, nous devons nous ouvrir aux autres. A première vue notre position est bien meilleure que celle d'autrui puisque l'objet et le sujet connaissant sont identiques. Cependant notre place manque de recul. Pouvons-nous être alors

m'éclairer sur la passion que vous aviez pour monsieur de Nemours, si votre vertu n'avait pas plus d'étendue pour y résister? Je vous aimais jusqu'à être bien aise d'être trompé, je l'avoue à ma honte ; j'ai regretté ce faux repos dont vous m'avez tiré. Que ne me laissiez-vous dans cet aveuglement tranquille dont jouissent tant de maris ? J'eusse, peut-être, ignoré toute ma vie que vous aimiez monsieur de Nemours. Je mourrai, ajouta-t-il ; mais sachez que vous me rendez la mort agréable, et qu'après

preuve de mauvaise foi. Cependant la chose est contradictoire. Comment peut-on être victime d'une manipulation dont on est soi-même l'auteur ? Comment ne pas être conscient d'une vérité qu'en même temps on connaît ? La conscience, à proprement parlée, ne me rend-elle pas entièrement maître de mes pensées ? « Le mensonge à soi » peut prendre principalement deux formes : on peut faire passer pour vrai ce que l'on sait être faux, comme lorsque l'on prétend qu'un événement que l'on sait devoir arriver

forces, il s’y dirige pourtant précipitamment. Il se rend très vite compte que l’oasis n’était qu’un mirage. Nos sens, en tant qu’ils nous permettent de percevoir le monde peuvent nous tromper, quand bien même ils soient criants de vérité. Il est alors aisé de dire que ce ne sont pas nos sens qui nous ont trompés mais bien les conditions extrêmes du désert qui, pour telle ou telle raison physiques ont faussé la vision que l’on avait de lui. Certes, mais quoi qu’il en fût, nos yeux nous ont renvoyé

humains en chair et en os, vivants, proches de nous, vrais, qui vivent sous nos yeux des histoires qui pourraient être les nôtres. Ils nous font partager leurs sentiments, leurs rires, leurs colères, leurs déboires.=> il est facile, dans les meilleurs moments, d'oublier que ce n'est qu'un spectacle, et de s'identifier aux personnages. On a le cœur serré lorsque Bérenger se retrouve seul être humain à la fin de Rhinocéros de Ionesco on s'indigne avec Lise lorsqu'elle exprime sa rage d'être traitée comme

plus simple dont les représentations se composent (objection qu'il se fait a lui même). L'illusion du rêve ne peut atteindre ce qui nécessairement et invariablement ce qui peut être présent a l'esprit, c'est la matière première de la pensée, de l'esprit.  Tout songe est composé d'une certaine matière qui ne peut pas être invente de toute pièce. Le texte associe cette matière première de toute représentation a l'universel par opposition au particulier, au simple par opposition au composé (ex: étendue