Puisqu'il faut vivre

sont tous ces sens que Pascal entend reprendre ici.-« tenir » c’est d’abord « se tenir en place » en quelque sorte, être. Nous ne nous tenons jamais dans le temps présent car nous fuyons vers d’autres temps ( le passé et l’avenir) plutôt que de le vivre. Nous sommes toujours dans la fuite, dans l’imaginaire ou dans l’oubli.- Se "tenir" à quelque chose c'est s'en tenir à lui et s’en contenter. Or nous fuyons précisément le présent car nous ne nous en contentons pas. Il ne nous contente pas car il nous

d’autres œuvres. Puis nous achèverons sur les moyens de diffusion très fréquemment empruntés de nos jours. Tout d’abord, le théâtre est un genre littéraire spécifique et particulier puisqu’il ne se contente pas que d’exister sous la forme de textes écrits. Il y a également toute la représentation scénique qu’il faut prendre en considération, ce qui est un atout supplémentaire. Assurément, en plus des mots, au théâtre, il est possible de jouer sur l’émotionnel. L’intonation de la voix, le ton qui

condensé de la sagesse populaire. Les préceptes qui les accompagnent sont souvent devenus des proverbes ; nous avons tous appris dans notre enfance Le Lièvre et la Tortue ou Le Corbeau et le Renard et nous savons depuis que « Rien ne sert de courir/ Il faut partir à temps » ou que « Tout flatteur vit au dépens de celui qui l’écoute ». Dans Le Loup et le Chien pourtant on ne trouve pas de précepte ni de devise ; La Fontaine met en scène la rencontre d’un chien épris de confort et d’un loup amoureux de

« Nous devons apprendre à vivre dans le présent. A trop regarder le passé, nous ressassons des remords et des regrets. A trop espérer du futur, nous nous berçons d'illusion. La seule vie qui vaut vraiment la peine est celle du moment présent. Dépêchez vous de vivre, dépêchez vous d'aimer, car vous ne savez jamais combien de temps il vous reste au compteur. Nous croyons toujours avoir le temps, mais ce n'est pas vrai.  » » « Mais le temps passe, et les choses changent. Elles s'éloignent et partent

Aujourd’hui, l’apparence physique est l’élément essentiel de la vie de certaines personnes. Il faut être plus maigre ou plus musclé pour correspondre leur norme comme si leur vie se limitait à leur corps. L’homme se définit-il seulement par son corps ou existe t il à travers autrement ? Est ce que mon corps me représente en entier ou n’est il qu’une partie de ma personne ? Qu’est ce que le corps ? Pour ces personnes l’identité est assimilable à leur corps. Mais ce principe est il généralisable ?

lui donna le libre arbitre ou autrement dit la capacité de faire des choix, la capacité de faire ce qu’il veut comme il l’entend tout comme le montre l’épreuve du fruit défendu dans la bible. C’est ce libre arbitre qui fait le propre de l’homme puisqu’il lui donne sa dignité en le laissant libre d’effectuer ses propres choix en fonction de sa volonté. Si on part du principe que l’homme est conscient d’être libre alors il pourra en profiter sans aucune contrainte et pourra effectuer ses propres choix

Dissertation de philosophie Faut-il rêver ? Introduction Le rêve est une production psychique survenant pendant le sommeil, et pouvant être partiellement mémorisé mais le rêve est aussi une représentation plus ou moins idéale ou chimérique de ce qu'on veut réaliser, de ce que l'on désire. « Aller jusqu'au bout de ses rêves» ( le rêve sert à ce fixé des objectifs), « j'ai fait un rêve étrange et pénétrant d'une femme inconnue, et que j'aime et qui m'aime » ( le rêve nous plonge dans un univers

Sujet : Faut-il libérer les désirs ou se libérer des désirs ? Par définition le désir est la recherche de la réduction d’une tension issue d’un manque et en ce sens on ne désire ce dont on manque. C’est également l’expression d’une attirance beaucoup plus personnels que le besoin, il est lié à la pensée et est nourrit par l’imagination. Le désir est tantôt considéré positivement puisque l'on considère l'objet désiré comme source de plaisir ou de contentement, voire de bonheur, tantôt considéré

L'EXISTENCE Je vois devant moi un arbre. Mais voir un arbre n'est pas savoir ce qu'est un arbre. Il faut donc distinguer l'existence et l'essence. L 'essence : (du latin essentia, en grec ousia :Le mot « ousia » est le participe substantivé au féminin singulier du verbe ειναι, einai (être). L'essence est ce qui fait qu'un être est ce qu'il est. On dit aussi la nature d'une chose. C'est ce qui constitue son identité. Ce qui est toujours en lui. Ce qui est contingent, ce qui peut arriver à cet

Acte III, scène V NOMS NOM Mère, il me faut vous informer D’un secret que mon cœur ne peut plus renfermer. Hélas, un cruel destin me poursuit, Mais qu’ai-je fais pour que les dieux me punissent ainsi ? Moi qui, contre l’amour souvent révolté J’ai pourtant croisé le regard de cette Cléomée. Et mes yeux soudainement enchantés, On vus en elle sa grâce et sa beauté. Mes yeux alors, mes yeux n’avaient pas vu le roi, Dont l’âme s’était épris de la même que moi. Mais las, quel parti prendre