Pulsions

artistes d'art corporel a repoussé certaines limites de représentation, en suscitant parfois les réactions négatives d'un public médusé. Au delà de la douleur simple, les artistes ont voulu explorer les pulsions. La sexualité, par les pulsions sexuelles en ce qu'elles mêlent pulsion de vie et pulsion de mort, allant vers l'autre et retenue préservatoire, pudeur et agression, violence et amour, montre un artiste écartelé pleinement humain et créatif. Le combat intérieur laisse indemnes les corps physiques

donc l'objet d'un refoulement. Le ça désigne tous les représentants psychiques liés aux deux grandes forces pulsionnelles traversant la nature humaine : - La force de vie ou libido, ou pulsion sexuelle que Freud symbolise par Eros, le dieu grec de l'amour. - La force de mort ou pulsion de destruction ou pulsion agressive que Freud symbolise par Thanatos, le dieu grec de la mort. Cette instance est une instance dynamique cherchant sans cesse à se satisfaire. Elle obéit au principe du plaisir.

fondamental allié à des pulsions et dont la réalisation, productrice de plaisir, affecterait l’équilibre du fonctionnement psychologique de l’individu en devenant source de déplaisir). ❖ Le conscient se présente avec une activité limitée qui puise l’essentiel de ses pensées, de ses idées et de ses images dans le système préconscient. Deuxième topique : différenciation du psychique en trois instances : le ça, le Moi, le Surmoi. ❖ Le ça : Il est le siège des pulsions innées et des désirs

l'une étant théorique et l'autre clinique. Dans la première partie, la psychanalyste explique les bases fondamentales de la psychanalyse freudienne. Le « Moi » tout ce qui ramène à la réalité, le « Ça » dirigé par le principe du plaisir, c'est la pulsion, et le « Sur-Moi » le négociateur du «Moi » et du « Ça » permet de se fixer à soi-même ses limites. Puis, Françoise Dolto développe les différents « stades » de l'enfance, appelés également « castrations » et ce qu'ils s'y passent. Pour mieux comprendre

souffrir les autres. » (cf. Alice Miller. C’est pour ton bien, racines de la violence dans l’éducation des enfants. Ed Aubier). Il y a en l’homme selon Freud un besoin d'agression qui est liée à la pulsion de mort qui cherche à se satisfaire d’une manière ou d’une autre. Les pulsions de mort sont d’un côté bénéfiques puisqu’elles représentent la tendance de l’être vivant à trouver le calme, le repos et le silence. L’autre versant est qu’elles sont à l’origine des manifestations humaines

conditionnel" ->irréel -Discours direct: importance des paroles "ce n'est pas la ville de pierres que je choisie, [...]l'eût dit humain" "ce n'est pas[...] c'est" ->tour démonstratif -> Mise en opposition (musée, conférence, pierres -> inaction) =>Pulsion de vie (sourire, rire...) + rejet de la "mort" et de l'inaction B) Agir plutôt que parler -Refus de tout ce qui est parole: Jean Azévédo "elle n'avais pas envie de le voir", "elle décidé de ne pas aller voir" -Discours indirect libre, exclamation

essence, toutes pulsions qui prend vie en lui, le détermine à se conduire de manière précise suivant son propre intérêt (Spinoza : « Le désir est l’essence de l’homme en tant qu’elle est conçue comme déterminée à faire quelque chose par une affection quelconque donnée en elle »). Cette tension provoquée par le désir de l’homme, ne cesse de s’accroitre, tant qu’elle n’est pas satisfaite, la satisfaction est donc la seule solution, la seule réponse possible pour l’homme. La pulsion, l’excitation

l'enfant. Les théoriciens Selon Freud l'origine de l'agressivité serait liée à la pulsion du Moi, dans sa première topique (inconscient, pré-conscient, conscient) vers 1910, il associe l'agressivité à la pulsion sexuelle et à la pulsion d'auto-conservation. Dans sa deuxième topique (ça, moi ,surmoi) vers 1920, il relit l'agressivité à la pulsion de vie (Eros), d'auto conservation et la pulsion de mort, d'auto-destruction (Thanotos). Plus précisément l'agressivité serait ''la

suivera tout au long de sa vie. Pendant toute son existance, il sera confronté à des forces inconnues et incontrôlables: les pulsions. L'être humain doit absolument apaiser ou supprimer ces dernières. La théorie freudienne expliquerait le phénomène de la chirurgie plastique chez les immigrants occidentaux, par le fait que le "ça" exige la transformation chirurgicale par des pulsions, le "surmoi" tente de l'en empêcher, et le "moi", quant à lui, met des stratégies au point pour satisfaire le "ça", tout

idéaux, des identifications et le réservoir de libido qui est envoyée sur des objets pour les investir. Le moi est l’instance qui assure l’auto-conservation de soi, et il est déterminé par ce qu’il a vécu, c’est-à-dire l’accidentel et l’actuel. La pulsion de mort constitue sa part la plus inconsciente, définie dans « Au-delà du principe de plaisir » et développée par la suite sous son aspect de mécanisme source de la négation. Freud décrira le moi comme une sorte de héros tragique, puisqu’il est situé