Pulsions

ancien qui va induire la prévalence du langage, d'un comportement, d'intérêts qui auront la tonalité et la coloration caractéristiques d'un stade donné. Cette régression est possible du fait de fixations liées à ce stade. 3. Déplacement : la pulsion liée à u ne représentation interdite se détache d'elle et va se lier à une autre représentation plus neutre et plus acceptable, reliée à la première par une chaîne associative. 4. Isolation : isoler la représentation de sa charge affective. La

Il décrit le Ça comme le nid de nos deux pulsions, soit celles d’Éros (la pulsion sexuelle) et celle de Tanatos (la pulsion destructrice). Pour Freud, toutes nos actions résultent de l’une de ces pulsions. En bref, dès que nous tentons de créer, que se soit physiquement ou par l’apprentissage, c’est la pulsion sexuelle qui est sublimée pour apporter de l’énergie créatrice. Tandis que toute action que nous posons amenant la destruction vient de la pulsion destructrice. Le Ça est aussi le réservoir

est aussi insatiable. Pour le désir, la plus grande difficulté est d'aimer le possible. Il n'est pas rare que le désir produise notre propre malheur quand on cherche l'impossible. Celui qui s'accroche à l'impossible prend le risque d'aller vers la pulsion de mort et d'enfreindre les lois, c'est à dire, d'entrer dans les champs de la perversion. Au final, le désir est inquiétant parce qu'il expose l'homme au mal et à la destruction. Toutes les passions ne sont pas créatrices, nombreuses sont les passions

mise à mort des pulsions (sagesse orientale, yoga). But : le bonheur du repos. - Même voie plus modérée : domination des pulsions par les instances psychiques supérieures qui se sont soumises au principe de réalité : la visée de la satisfaction n’est pas abandonnée et l’inhibition des pulsions protège de la souffrance. Mais cela diminue les possibilités de jouissance car le plaisir de l’assouvissement d’une pulsion sauvage est très supérieur au plaisir de l’assouvissement d’une pulsion domestiquée.

l’objet d’un refoulement. Le ça désigne tous les représentants psychiques liés aux deux grandes forces pulsionnelles traversant la nature humaine : - La force de vie ou libido, ou pulsion sexuelle que Freud symbolise par Eros, le dieu grec de l’amour. - La force de mort ou pulsion de destruction ou pulsion agressive que Freud symbolise par Thanatos, le dieu grec de la mort. Cette instance est une instance dynamique cherchant sans cesse à se satisfaire. Elle obéit au principe du plaisir

dans son inconscient lorsqu'il est adulte. Le processus décrit par Freud est le suivant : le point de départ est une pulsion née dans le Ça. Au moment où elle voit le jour, cette pulsion est parfois contrainte par une force supérieure, exigeant de renoncer à la satisfaction qu'engendrerait la réalisation de l'acte pulsionnel. Cette frustration engendre une seconde pulsion, agressive, à l'encontre de l'agent exerçant la contrainte. Une telle réaction (que l'on observe souvent chez les enfants)

Nous sommes dirigés par des sentiments inconscients. Nos motivations profondes nous échappent. L'inconscient joue un grand rôle dans nos actes, mais nous préférons l'ignorer pour avoir l'illusion d'être maîtres de notre comportement. Les pulsions refoulées se manifestent par des symptômes. Certains troubles psychologiques résultent d'un conflit entre notre « moi » (l'idée que nous avons de nous-même) et notre inconscient. Lorsque nous refoulons certains sentiments ou certains souvenirs qui

la sexualité infantile ou les but sexuels sont multiple et les zones érogènes très nombreuses. 2) La notion de pulsion. Elle est centrale tant dans la théorie de la sexualité que celui de la théorie psychanalytique qui en découle. Dans la manifestation sexuelle de l’enfant nous découvrons les traits essentiels de la pulsion sexuelle. Nous comprendrons l’évolution de ces pulsions et comment elles puisent à des sources diverses.

détermine ce que nous | |sommes. | | 2 - les pulsions | |Les pulsions sont ce qui nous anime depuis notre naissance, le moteur de notre existence. Elles donnent naissance à nos émotions, nos | |espoirs, nos craintes, nos conflits, nos comportements

d’enfance de Léonard de Vinci (1910c), puis en donnera une description plus complète dans les « Remarques psychanalytiques sur un cas de paranoïa » : « […] l’individu en cours de développement, pour acquérir un objet d’amour, rassemble en une unité ses pulsions sexuelles travaillant autoérotiquement. Il prend d’abord soi-même, son propre corps, comme objet d’amour » (1911c). Dans le troisième chapitre de Totem et Tabou (1912-13a), Freud en donne la même définition. Cette étude du narcissisme trouve