Pulsions

gardant une dimension sensuelle forte B. Toinette Toinette incarne une pulsion de vie extraordinaire. C'est un personnage très charnel (et très physique dans toutes ses apparitions, même petite -> chap. III. Elle manifeste ses désirs de manière colérique. Elle montre son caractère charnel en séduisant Marin Marais -> chaps. XVI et XVII). Il n'y a chez elle aucune nuance de morale. Même si elle est dans la pulsion, elle sait ce qu'elle veut et sait ce qu'elle fait. Elle est en totale opposition

partageons une ville, mais pas une communauté; des hommes liés entre eux par un domicile commun, mais pas par un effort commun. Nous apprenons uniquement à partager une peur commune, un commun désir de se replier loin de l'autre, uniquement dans une pulsion commune de faire face aux désaccords avec force. Pour tout ça, il n'y a pas de réponses finales. Nos vies sur terre sont trop courtes et le travail à accomplir trop grand pour laisser cet esprit encore se propager sur cette terre. Biensûr, nous

créent différents imaginaires qui font appel donc à nos aspirations et peuvent par là susciter l’attention des consommateurs. Il faut rappeler que les bases de l’imaginaire dans la psychanalyse proviennent de deux « pulsions », Eros et Thanatos : la pulsion de vie (amour) et la pulsion de mort … Nous nous posons donc la problématique suivante : Quels sont les imaginaires développés sur le support publicitaire qu’est la presse écrite ? Après avoir tenté de dégager les imaginaires présents dans les

père, la société, la tradition La particularité de l’individu libération/personnalité propre Inconscient : siège des pulsions Ce qui la différencie de la psychologie c’est que celle-ci se fonde sur des phénomènes conscients. Freud devise l’appareil psychique en trois instances : 2ème topique : * Le « ça » : le siège de nos désirs (de nos pulsions) : charge énergétique psychosomatique inconsciente. C’est aussi l’espace de tous les refoulements (désirs insatisfaits). * Le

hallucination frequents Dans les nevroses : l'inhibition evitement d'une situation qui revele en nous pulsions penibles. deplacement l'affect associé a une representation mentale dangeureuse se detaache de celle-ci pour s'investir sur une autre representation moins dangereuse afin de se defouler. deplacement de sa peur par exemple, mecanisme de defense . retournement sur soi : processir par lequel la pulsion remplace un objet exterieur independant par le sujet lui meme. la charge affective reste inchangé

phénomènes, Freud revient sur la névrose et s’en sert comme un prototype. Dans la névrose, l’angoisse apparaît par réaction à chaque avancée de la pulsion refoulée, lorsque le résultat du conflit forme un compromis qui ne réalise pas pleinement la satisfaction de la pulsion. De même, dans la psychose, le morceau de réalité occulté s’impose au sujet, tout comme la pulsion névrotique refoulée s’impose au névrosé. Ceci explique la similitude de sens des processus de la 2nde étape de la névrose et de la psychose

Weber , Marcuse , Simondon , Debord , Derrida et Lyotard à laquelle il ajoute une lecture de l'oeuvre de Freud . Il observe une paralysie des fonctions de l'esprit humain chez l'individu qui a de plus en plus de mal à s'individuer , à sublimer ses pulsions (au sens psychanalytique du terme) et à aimer ET s'aimer : le narcissisme primordial étant atteint (un de ses concepts qui s'inspire du concept de narcissisme introduit par Freud en psychanalyse en 1914) . La libido est de nos jours captée par les

cohérence pour Freud. La conscience de soi est la méconnaissance de soi. B- Moi, ça, surmoi Le ça est entièrement inconscient (= pulsion qui constitue l’énergie psychique) Source à zone corporelle But à mettre fin à la tension créé par l’objet Force de vie à libido Le ça est une intense dynamique qui cherche sens cesse a satisfaire le principe de plaisir. Les pulsions se heurte à des impératifs moraux. - Le moi agit avec les forces du ça et va les adaptés à la réalité extérieur. à rôle de médiateur

contenu est constitué de pulsions refoulées ou, plus exactement, de représentations psychiques des pulsions. Une pulsion est une poussée (Trieb en allemand) qui se trouve à la frontière du corporel et du psychique : elle traduit, dans le psychisme, les exigences biologiques. Les principales pulsions sont les pulsions sexuelles (la libido ou Eros) et les pulsions de conservation de soi ; Freud y ajoutera, par la suite, la pulsion de mort (Thanatos). Ce ne sont pas les pulsions elles-mêmes qui sont refoulées

difficile de résister à son « penchant ». Il aurait donc des pulsions criminelles qu’il aurait du mal à vaincre, beaucoup plus que quelqu’un qui tuerait pour la première fois. Alors que la société, elle, le condamnera plus lourdement pour la raison de répétition de cet acte. Pour la société, un criminel récidiviste est plus dangereux alors que pour Nietzsche, il est plus excusable parce qu’il a à lutter beaucoup plus durement contre ses pulsions. A contrario, pour l’Homme intègre, s’il a eu une vie