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autrichienne : La concurrence pure et parfaite (CPP) est le fait des néoclassiques( 19ème siècle Walras, Marshall), ils vont penser la concurrence comme un état statique, la concurrence n'est autre que l'incarnation d'un équilibre, l'ensemble des marchés tendent vers une perfection et arrivent inévitablement à une situation d'équilibre. -Conditions-Cette conception n'a été conçue qu'entourée d'une certaine rigidité scientifique, en effet pour parler d'une concurrence pure et parfaite, il faut qu'un

Economie de marché efficace grâce à la concurrence. Ça permet de : Accéder à des prix abordables D’avoir le choix, de la qualité Stimuler l’innovation Concurrence pure et parfaite  modèle qui permet d’expliquer comment se forment les prix. Ce type de concurrence ne se trouve pas en réalité. Les conditions pour que la concurrence soit pure et parfaite sont : L’atomicité  plusieurs offreurs/demandeurs car 1 seul ne peut pas influencer les prix L’homogénéité  produits semblables/standardisés et sans

demande et que s’exerce la concurrence, peut avoir plusieurs structures. Idéalement, les entreprises sur ce marché sont “preneuses de prix” selon les lois de la concurrence pure et parfaite, qui veut dire qu’elles n’ont aucune influence sur les prix. Cependant, les entreprises ne respectant pas toutes les lois de la concurrence pure et parfaite, se voient “price maker” (faiseuses de prix) c’est a dire qu’elles influencent la détermination des prix ou des quantités échangées, limitant la concurrence à

aux grands, sinon cette faculté imaginante ? Combien toutes les richesses de la terre insuffisantes sans son consentement. Ne diriez vous pas que ce magistrat dont la vieillesse vénérable impose le respect à tout un peuple se gouverne par une raison pure et sublime et qu'il juge des choses par leur nature sans s'arrêter à ces vaines circonstances qui ne blessent que l'imagination des faibles ? Voyez le entrer dans un sermon où il apporte un zèle tout dévot, renforçant la solidité de sa raison par l'ardeur

II mène une politique hostile aux Lumières et supprime la liberté de la presse. Présentation de l’auteur Kant a vécu au 18ème s, en Prusse. Il enseigna la philosophie à l'université de sa ville natale. En 1781 Kant publie la Critique de la raison pure qui a un grand retentissement dans l'histoire de la philosophie et qui le fait connaître. Il est sensible au rôle émancipateur des Lumières qui permettra, selon lui, à l’intelligence humaine de parvenir à une sorte de majorité. Peu enclin à l’action

maxime de Socrate Sagesse : Paroles = pensées Actes = paroles Liberté : affirmation du « je » Montaigne, Essais, plus on se connait, plus on connait le monde  P1 Kant (XVIII) : philo = trois grandes questions Que puis-je savoir ? Critique de la raison pure Que dois-je faire ? Critique de la raison pratique Que m’est-il permit d’espérer ? Une seule question : Qu’est-ce que l’homme ? (sens ontologique) Sagesse = bonheur ¤ Stoïciens Bonheur par apathie : ne réagit pas aux douleurs qui ne dépendent pas

le vendeur, la plus part porte sur des transferts de droits a la détention d'une monnaie. Le marché du travail : Échange de main d’œuvre contre une rémunération. La structure du marché : Concurrence pure et parfaite : elle suppose quatre conditions : Atomicité du marché : acheteurs et vendeurs sont nombreux a tel point que nul ne peut influencer a lui seul sur le prix Homogénéité : les produits échangés

Emmanuel KANT, Anthropologie d'un point de vue pragmatique Kant est connu pour avoir révolutionné la métaphysique dans la Critique de la raison pure, en abordant ses problèmes d'une manière nouvelle : il s'agit d'étudier la raison en elle-même, d'établir selon quels concepts fondamentaux elle fonctionne. Partant de là, tous les concepts qui sont formés ne proviennent non pas des choses-mêmes, mais du traitement rationnel qui unifie le divers des sensations. Les concepts a priori (causalité, unité

Emmanuel KANT Critique de la raison pure Préface de la seconde édition (1787) trad. J. Barni Dans le travail auquel on se livre sur les connaissances qui sont proprement l'œuvre de la raison, on juge bientôt par le résultat si l'on a suivi ou non la route sûre de la science. Si, après toutes sortes de dispositions et de préparatifs, on tombe dans des difficultés nouvelles au moment où l'on croit toucher le but ; ou si, pour l'atteindre, on est souvent forcé de revenir sur ses pas et de prendre une

gravitation, mais je n’ai assigné nul part la cause de cette gravitation ». Il ne peut connaître la nature de cette gravitation et n’émet pas d’hypothèses. La vérité objective constitue alors une limite idéale. Ainsi, Kant dans la Critique de la raison pure, démontre philosophiquement pourquoi Newton ne peut pas atteindre la nature et le pourquoi ultime du réel : il y a en effet une opposition entre les phénomènes connaissables et « la chose en soi », qui est inconnaissable. En dehors de l’espace et du