Pustule

les dégroupements et les regroupements nécessaires. Bouton – assister – chemise – engager – farce. - Soit le mot bouton : - a) Bouton au sens de pièce pour vêtements : Saïd ferme les boutons de sa chemise. - b) Bouton au sens de pustule sur la peau : J, ai un bouton de fièvre. - c) Bouton au sens d, un commutateur : Voila le bouton du démarrage . 1) Le critère morphologique : a) boutonner – déboutonner – boutonnage – boutonnière. b) Boutonneux. c) Bouton –

que les dessins préparatoires décident seulement des silhouettes et de la construction, la peinture cultive l'illusionnisme jusqu'au morbide insupportable des chairs putréfiées, des vers et de la gangrène. Les jambes d'un mort sont constellées de pustules ou de blessures purulentes, comme les membres du Christ dans le retable d'Isenheim. L'espace est saturé de corps, de débris, de formes déchirées. Il est traversé par des verticales hérissées. Jusqu'aux cieux qui inquiètent : des nuées, des tourbillons

ou Cowpox), qui est inoffensive pour les humains, étaient épargnées par les épidémies de variole, alors fréquentes, ou ne montraient que de faibles symptômes. Après avoir intensivement étudié le phénomène, il préleva le 14 mai 1796 du pus sur une pustule d’une jeune fille contaminée par la vaccine, et l’injecta à un jeune garçon de huit ans. Après que le garçon eut guéri de la maladie bénigne induite par la vaccine, Jenner lui injecta de la variole véritable. Le garçon surmonta également cette infection

adversaire : « un barbare », « comment peut on être si laid ! », « sans moi, que serais tu ? » répliques rythmées par un jeu de reprises et d'invectives : « un bonjour.. »/ « bonjour. Mais un bonjour autant que possible de guêpes, de crapauds, de pustules.. » , « un vieux vautour/ un vieux vautour au cou pelé », « tu me trouve laid, mais moi je ne te trouve pas beau du tout ! » . Le mépris du maître qui affiche sa supériorité et l'insolence de l'esclave sont révélés au cours de la scène par le tutoiement 

brasier. Qui serait volontaire ? "Moi, dit Tecuciztecatl, je me jetterai dans le feu pour éclairer le monde..." Mais il en fallait un autre, et personne ne se décidait. Alors, on désigna d'office Nanauatzin, un dieu petit, difforme et couvert de pustules, qui depuis le début écoutait timidement les autres, sans jamais oser prendre la parole. Or, il se réjouit de cette mission et l'accepta avec empressement. On prépara le rite pendant quatre jours. Un énorme brasier fut alors allumé. Le moment fatidique

rédempteur lui-même ». « Dans la légende de St Julien l'Hospitalier, Flaubert fait intervenir un lépreux qui rend visite à Julien : « L'espèce de linceul qui le recouvrait était tombé jusqu'à ses bras maigres qui disparaissaient sous des plaques de pustules écailleuses. Des rides énormes labouraient son front. Tel un squelette, il avait un trou à la place du nez et ses lèvres bleuâtres dégageaient une haleine épaisse comme du brouillard et nauséabonde. » Quelques lignes plus loin, on lit que Julien

de paysage désertique : . Au premier plan on voit une tranchée ou il y a un amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules . Ce cadavre tend une main, il appelle a l'aide. Au dessus de cet amas de viscères et de corps flotte un squelette embroché sur un résidu d'architecture et qui désigne de son doigt la mort et la barbarie qui s'entassent plus bas. Quasiment invisible

central représente une vision d’horreur mais bien réel du champ de bataille. On peut voir des cadavres à peine identifiables, des entrailles rependues dans la boue et aussi des bâtiments écroulés ou brulés. Un des cadavres, à droite est parsemé de pustule mort avec la main tendue que l’on imagine mort dans une souffrance atroce. Embroché au reste de la structure d’un bâtiment, on peut voir un squelette pointant d’un doigt accusateur le corps criblé de balle du cadavre de droite. On ne peut voir qu’un

premier plan c'est la tranchée dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent tout à la fois le Christ de Mathias GRÜNEWALD mais aussi les conditions d'hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend une main, tentative désespérée d'obtenir de l'aide

spectateurs et ils marchent dans la brume épaisse comme une armée de fantômes sans visages , sans identité. Au-dessus de leur têtes , le ciel est menaçant . Dans le panneau centrale , en bas à droite , des corps déchiquetés à la peau parsemée de pustules qui renvoie au retable d’Issenheim de Mathias Grünewald . Un cadavre , sur un résidu d’architecture , désigne de son doigt la mort qui s’entassent plus bas . L’arrière plan occupé par la représentation de ruines : restes de maison écroulées ou calcinées