Pustule

représente affiche sans retenue une vision d’horreur du champ de bataille. On peut vois des cadavres à peine identifiables, des entrailles rependues dans la boue au premier plan des bâtiments écroulés ou brulés. Un des cadavres, à droite est parsemé de pustule mort la main tendue que l’on imagine mort dans une souffrance atroce. Embroché au reste de la structure d’un bâtiment, on peut voir un squelette pointant d’un doigt accusateur le corps criblé de balle du cadavre de droite. On ne peut voir qu’un seul

victime de la maladie (« vérole »), dépossédée. B) La description d’un cadavre en putréfaction : « Ce fut une horreur. » - Isotopies de la mort (« charnier », « jetée », « flétries », « sombré »…) et de la pourriture (« moisissure », « purulence », « pustules », « pourri »…), qui concourent au réalisme du discours descriptif, appuyé en cela par le champ lexical scientifique de la médecine (« virus », « humeur », « sang », « purulences »…). - « C’était un charnier… » : Métaphore, juxtaposition, valeur

ils décrivent ce qu’ils constatent autour d’eux. Que cela soit bien à écrire ou terrible. Je pense par exemple au roman de Zola : Nana. Dans ce roman il décrit l’aspect d’une femme : Nana, alors qu’elle a une maladie qui la déforme par différentes pustules, boutons, plaies etc.… Cela est répulsif cependant Zola l’écrit pour ce rapprocher encore plus de la vérité de son époque. En effet, à cette période les maladies ont du mal à être soignée. Ainsi par ces différents procédés, l’auteur réaliste

sous toutes ses formes. Il s‘agit d’abord du “mal physique” selon les propres termes de Voltaire. Ainsi nous retrouvons le froid et la faim,la maladie, dans la personne de Pangloss retrouvé en Hollande sous l’apparence d’un “gueux tout couvert de pustules, les yeux morts, le bout du nez rongé...” ,es catastrophes naturelles, d’abord sous la forme du séisme de Lisbonne, fait historique survenu en novembre 1755 qui avait beaucoup impressionné les imaginations de l’époque ; enfin sous celle de la tempête

notamment d’une guerre désormais mécanisée, planifiée, qui organise la tuerie en masse), La peinture cultive l'illusionnisme jusqu'au morbide insupportable des chairs putréfiées, des vers et de la gangrène. Les jambes d'un mort sont constellées de pustules ou de blessures purulentes. On ne retrouve aucune ligne ne permettant de trouver le point de fuite, ce qui interdit toute impression de stabilité. Tout le tableau inspire donc le chaos. L'espace est saturé de corps, de débris, de formes déchirées

glandes sébacées). Celui-ci s’accumule sur le visage et obstrue les pores de la peau Pas touche Dans un premier temps, cela donne un « comédon », ou point noir. Parfois le comédon s’enflamme et on a le droit à un beau bouton et parfois même à une pustule (Bouton rouge avec la tête blanche). Si on tripote ses ponts noirs, on a toutes les chances d’avoir un bouton ! Les boutons qu’on martyrise finissent tout de même par disparaître (pas forcément rapidement que si on les avait laissés vivre leur vie)

l’enfer avec le rouge et les fumées ardentes. - Le panneau central représente une vision d’horreur du champ de bataille. On peut voir des cadavres à peine identifiables, des bâtiments écroulés ou brulés. Un des cadavres, à droite est parsemé de pustule. Embroché au reste de la structure d’un bâtiment, on peut voir un squelette pointant d’un doigt accusateur le corps criblé de balle du cadavre de droite. On ne peut voir qu’un seul survivant portant un masque à gaz et une cape. Il se confond avec

de la peau, - une prise de poids au niveau de l’abdomen. 1.6 Indiquer, pour cette dermatose, ses manifestations, ses localisations et l’agent causal. Présenter sous forme de tableau Concernant la folliculite : manifestations papules surmontées de pustules centrées sur l'ostium des follicules pilosébacés localisations visage, nuque, poitrine, dos, jambes, cuisses, cuirs chevelu agent causal contamination par une bactérie Corynebactérium ou Staphylocoque Question 2 : 2.1 Indiquer les avantages et

disparaissent dans la brume. Il pourrait s'intituler «Montée vers le front» Le panneau central : Il représente la tranchée dans toute son horreur, on peut y voir plusieurs morts, il y a trois personnes dont deux cadavres, l'un à droite est parsemé de pustules mort la main tendu. L'un est un squelette embroché au reste de la structure d'un batiment. Le dernier personnage est l'unique survivant il porte un masque et une cape, il n'a pas de visage et semle immobile. On pourrait l'intituler: «Apres la bataille»

dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules Les conditions d'hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend une main, tentative désespérée d'obtenir de l'aide dans un univers d'où l'humanité a disparu, son appel à l'aide