Pustule

journées s’écoulent lentement. Je vois les marins travailler, hisser les voiles, laver le pont. Eh oui ! Sur le bateau ce n’est pas la joie ! Il n’y a quasiment plus de vivres et une épidémie vient d’apparaitre, les malades crachent du sang, des pustules apparaissent sur leur peau, ils en pestent la mort à plein nez et pour combler le tout, l’équipage les entrepose comme des animaux dans un compartiment à part. Je ne supporte plus ces prêtes qui croient pouvoir soigner les malades avec leurs prières

arbres...) Au premier plan on voit la tranchée dans tous son horreur (corps déchiquetés et éviscérés...) ils sont surplombé par un cadavre aux orbites vides et avec un un ver sortant de la bouche. Ses jambes raides parsemés de blessures évoquent les pustules de la peste. Tant dis qu'il tant une main qui n'a jamais reçu de secours. Au-dessus un squelette embroché (évocation du Christ) crucifié désigné de son doigt la barbarie et averti ainsi le spectateur. A gauche un unique survivant pétrifié par sa

cutanées de petite taille, translucides, souvent prurigineuse, et contenant du liquide clair, séreux. Exemples : Herpès (lésions vésiculeuses crouteuse), eczéma (desquamation, vésicules...) Pustules : Lésions en relief, taille variable, contenant du pus. Exemples : Folliculite (papules surmontées de pustules) et Impétigo (lésions pustuleuses)

desquamation centrifuge en collerette un épiderme rose, aminci et atrophique - Soit les vésicules confluent pour donner des bulles, pour ensuite éclater. Elles donnent des érosions qui vont suinter et parfois se surinfecter avec apparition de pustules. On note 2 conséquences: le prurite et une sensation de brulure qui vont entrainer un grattage important. - Soit l'eczéma dysidrosique peut s'accompagner de crevasses profondes et douloureuses. 3. Diagnostic Le diagnostic clinique est

- Bulle = Soulevement épidermique étendu, fragile, contenant liquide serreux. - Pustule = Collection purulante formant une élévation entouré d'un halot inflamatoire. - Nodule = Infiltrat palpables, saillant, souvent profond.

au début il les hait et ce sentiment ce transforme en une forme d'amour étrange. III. Comprendre les images poétiques 1. Le champ lexical de la maladie est extremement fourni : « soleil vénérien,petite vérole,blessure,lèvres ouvertes,désaffectés,pustules tièdes,sang,pouls surchauffés lèpres,famines,vomissant,morne famélique,pansements,hystéries,microbes poisons,alexitère,bulbe tératique ». Ce champ lexical nous montre une sociéte malade,rongés par les maux.Le début est contrasté avec la fin car Aimé

‘éparpillent dans le vent inutile comme des cris de perroquets babillards ; une vieille vie menteusement souriante, ses lèvres ouvertes d’angoisses désaffectées ; une vieille misère pourrissant sous le soleil, silencieusement ; un vieux silence crevant de pustules tièdes, l’affreuse inanité de notre raison d’être. Au bout du petit matin, sur cette plus fragile épaisseur de terre que dépasse de façon humiliante son grandiose avenir – les volcans éclateront, l’eau nue emportera les taches mûres du soleil et

dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent tout à la fois le Christ de Mathias GRÜNEWALD mais aussi les conditions d'hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend une main, tentative désespérée d'obtenir de l'aide

jeune, idiot et n’est capable que de coudre Et de tous ses enfants, il est celui qui lui fait honte Aucune intelligence, c’est une princesse de conte Il ne peut résoudre cette quête donnée Faites en sorte que la grâce lui soit accordée De ses pustules, il semble être un zigoto Il a redoublé mainte fois l’école des héros Et s’est attiré les foudres de Chiron, son maitre-mot Et dans le désespoir, moi, Athéna, demande dans la détresse D’annuler cet accord insensé qui ferait perdre mon fils

dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d’où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent tout à la fois le Christ de Mathias GRÜNEWALD mais aussi les conditions d’hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend une main, tentative désespérée d’obtenir de l’aide