Putois

sa couleur, son museau, ses oreilles, ses yeux. Explique où il vit, dans quels lieux, quel est son habitat, sa nourriture et sa vie sociale. 5 L’ours Le paon Le lièvre Le hérisson Le rat Le furet L’écureuil L’hermine la souris le putois • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • Petitfouineur Pelé Hespineux Dame-Blanche Rousselet Brun Léon Chauve Couart Puant Affamé comme Couard comme Courageux comme Doux comme Économe comme Gourmand comme

boire et dérange le travail de Gervaise - Elle fait bien son travail - L'expulsion de Marescot annonce que Gervaise le sera aussi   - Gervaise va devenir excessivement passive - Aimée par les commerçants - Clémence : Fille facile   - Putois : Prostituée - Excessivement généreuse - La blanchisserie est occupée par les Coupeau et Etienne dort dans les linges sales Chapitre 6 : Visite de Gervaise à la forge pour ‘aller voir Etienne’ mais va vraiment venir voir Goujet

l'appelle la Gueule-d-or. | Madame vigouroux | Voisine de G rue de la Goutte d'Or. Elle est charbonnière. | Madame et mademoiselle Cudorge | Voisine de G rue de la Goutte d'Or. Elles vendent des parapluies. | Mademoiselle Putois | Ouvrière de G | Mademoiselle Clémence | Ouvrière de G | Augustine | Ouvrière de G | Madame Bijard | Laveuse, habite à la résidence de la Goutte d'Or. Elle se fait battre par son mari.elle meurt suite au coup de

ils en prenaient pour trois jours, ils auraient englouti le plat, la table et la boutique, afin de ruiner la Banban du coup. Toutes les dames avaient voulu de la carcasse ; la carcasse, c’est le morceau des dames. Madame Lerat, madame Boche, madame Putois grattaient des os, tandis que maman Coupeau, qui adorait le cou, en arrachait la viande avec ses deux dernières dents. Virginie, elle, aimait la peau, quand elle était rissolée, et chaque convive lui passait sa peau, par galanterie ; si bien que Poisson

Colombe, Clémence, Charles, Mlle Josse, Mr Goujet, Mme Gaudron, François, Mme Fauconnier, Mes Bottes, Marsouiller. Marescot, Madinier, Lisa, Mme Lerat, Léonie, Le Hongre, Etienne Lantier, Claude Lantier, Zidore, Titreville, Sophie, Mlle Remanjou, Mme Putois, Mr Poisson, Anna Coupeau, Augustine, Adèle. 5) Le point de vue est surtout omniscient, où on voi les emotions et la description de tout le monde. Toutefois, il est parfois interne par exemple quand Gervaise observe la rue devant son hotel, cette

place extrêmement importante. Il remplace le sang pur dans le corps de certains personnages. Il peut rendre fou et causer la mort. Certains se sont pris au jeu et en on payé le prix. Tout d'abord Coupeau, qui devient l'esclave de l'Alambic : « Madame Putois ayant demandé de l'eau, le zingueur indigné venait d'enlever luimême les carafes. Est-ce que les honnêtes gens buvaient de l'eau ? Elle voulait donc avoir des grenouilles dans l'estomac ? ». Ensuite Gervaise, qui au début du roman ne boit pas, tombe

Lorilleux et de Coupeau, elle présente Nana chez le fleuriste où elle sera salariée.  * Les Lorilleux : Sœur et beau frère de Coupeau, ils travaillent dans l’or, ils sont très radins et entretiennent de mauvaises relations avec Gervaise. * Mme Putois : Elle est une apprentie de Gervaise, elle assistera au repas de Gervaise. 2- Les différents lieux d’habitations de Gervaise Nous voici transporté dans un quartier de Paris au milieu du XIXème siècle où Gervaise vit à l’Hôtel Boncoeur, rue de

déversait une affection qui n’avait guère d’autre exutoire. Plus au fond, dans l’obscurité, se tenait une cage, divisée en deux compartiments, dont une était munie à l’avant d’une grille aux barreaux serrés. C’était la demeure d’un grand furet-putois, qu’un garçon boucher amical avait un jour introduit en catimini, avec sa cage, en échange d’un magot de petites pièces d’argent longuement tenu caché. Conradin avait terriblement peur de la bête souple, aux crocs aigus, mais c’était son bien le

afin de le soigner à domicile. Ému, Goujet lui prête cinq cents francs pour louer la future blanchisserie. Chap. V : Coupeau, guéri, commence à paresser, à faire la noce tandis que Gervaise prend une apprentie et deux ouvrières, Clémence et Mme Putois, pour l’aider. Chap. VI : Une idylle platonique se noue entre Gervaise et Goujet à la forge de la rue Marcadet où travaille celui-ci et où Étienne, que Coupeau s’est mis à détester, sert de grouillot. Virginie revient dans le quartier : elle a

économies afin de le soigner à domicile. Ému, Goujet lui prête cinq cents francs pour louer la future blanchisserie. Chap. V : Coupeau, guéri, commence à paresser, à faire la noce tandis que Gervaise prend une apprentie et deux ouvrières, Clémence et Mme Putois, pour l’aider. Chap. VI : Une idylle platonique se noue entre Gervaise et Goujet à la forge de la rue Marcadet où travaille celui-ci et où Étienne, que Coupeau s’est mis à détester, sert de grouillot. Virginie revient dans le quartier : elle a épousé