Pédagogue Montaigne

(Prov. japonais) « Un con qui marche vaut mieux que dix intellectuels assis » (Jacques Séguéla, Fils de pub) « Agir en homme de pensée, penser en homme d’action » (H. Bergson, Ecrits et Paroles) « Il faut toujours être botté et prêt à partir » (Montaigne) « Il faut des actions et non des paroles » (Racine, Iphigénie) « L’action guérit cette sorte d’humeur, que nous appelons, selon les cas, impatience, timidité ou peur » (Alain, Les Aventures du coeur) « Pour connaître les hommes, il faut les voir

et celle de Du Bellay (1522-1560) renouvellent la langue française en définissant des normes littéraires strictes (Ronsard, Odes, 1550; Sonnets pour Hélène, 1578; Du Bellay, Défense et Illustration de la langue française, 1549) ; enfin, Michel de Montaigne (1533-1594), un noble de de Bordeaux, publie en 1580 Les Essais, œuvre unique et fondamentale qui définit de manière remarquable les enjeux humanistes principaux de la Renaissance: appel à la tolérance, refus du dogme, recherche de la connaissance

La philosphie de montaigne repose sur Trois thèmes : scepticisme, la nature et la subjectivité. Les sujets touchés dans les Essais sont aussi divers que variés : politique, religion, ainsi que l’histoire. La vision de Montaigne est loin d’être fixe. Elle évolue avec le temps et change par rapport aux situations qu’il est amené à vivre. Il commence son œuvre à la mort de son meilleur ami et le livre est censé être un « tombeau » de cet être cher. Durant cette période, sa perception philosophique

du « je » : « J'ai un dictionnaire tout à part moi » l.1. La démarche de Montaigne est une démarche philosophique assez proche des exercices spirituelles stoïciens et épicuriens => Perspective antique d’appropriation du bonheur. Montaigne expose une pensée personnelle, il affirme ainsi sa singularité en s'écartant de la pensée commune. Le texte ce construit sur une opposition entre le « je » et les autres, entre Montaigne et ses semblables : constant mouvement.  Exemple : « Ces prudents gens » l

Corpus Les trois textes qui composent le corpus sont d’époque différentes, et nous présentent plusieurs types de monstres. Des monstres historiques, comme dans le texte de Michel de Montaigne dans le chapitre XXX «   au sujet d’un enfant monstrueux » extrait de «  les essais » texte écrit à l’époque classique (1595 ), là où il nous donne une leçon de tolérance, à la suite d’une rencontre avec un enfant différent. Un monstre d’époque classique nous est présenté dans un second texte, « l’homme

« De l’horrible danger de la lecture » 3) Les paraboles Ex : Jésus, verset de la bible II - … Mais, l’argumentation direct est-elle aussi efficace. 1) Sous forme de plaidoyer Ex : Zola, « J’accuse » 2) Dans les Essais, une lettre ouverte Ex : Montaigne, Essais 3) La préface Ex : « Cromwell » Victor Hugo III - … Finalement, les œuvres qui mêlent les deux procédés touchent mieux leur destinataire 1) La Fable Ex : «  Ex : Depuis la nuit des temps, les écrivains ont parfois

parviennent-ils à exposer clairement leurs raisonnements, à défendre leurs idées, témoignant de leur engagement ? Texte 1 : « De la Torture » Montaigne Pb 1 : Comment Montaigne met-il en évidence l’inefficacité de la torture ? Pb 2 : Dans quelle mesure cet extrait permet-il de dénoncer efficacement la barbarie des châtiments pratiqués par la Justice ? Montaigne, dans cet extrait du chapitre 5 du livre, va dénoncer, avec divers moyens et de manière efficace, la barbarie des châtiments pratiqués par

Michel DE MONTAIGNE, Les Essais, 1595. Montaigne consacre un court chapitre de ses essais au phénomène de monstres et apporte ainsi une contribution essentielle à un débat en vogue au XVIème siècle. Ambroise Paré a en effet parlé des monstres dans ses ouvrages. Il y voit « le plus souvent [des] signes de quelque malheur advenir ». À la différence de Montaigne, qui considère que tout monstre peut avoir une explication naturelle, même si nous ne la trouvons pas du fait de l’insuffisance de notre raison

établir deux sortes d'ignorance : l'ignorance consciente, celle du sage et du savant, et l'ignorance ignorée, celle de l'ignorant. Dans ses Essais, Montaigne distinguait déjà ces deux ignorances : "L'ignorance qui se sait, qui se juge et qui se condamne, ce n'est pas une entière ignorance : pour l'être, il faut qu'elle s'ignore soi-même." ; à l'instar de Montaigne, Victor Hugo disait du savant qu'il "sait qu'il ignore". Le sage et le savant, par leurs réflexions, tentent de trouver une réponse à leurs questionnements;

Grands auteurs de la Renaissance : François RABELAIS (1494 –1553 ou 1554); Clément MAROT (1496 –1544); Jean CALVIN (1509 –1564); Joachim DU BELLAY (1522 – 1560) – membre de la Pléiade; Pierre de RONSARD (1524 – 1585) – membre de la Pléiade; Michel de MONTAIGNE (1533 – 1592); Périodisation ou chronologie du développement de la littérature française. Tendances générales – époques. III. Le XVIIe siècle (1610 – 1715) : BAROQUE ET CLASSICISME 1) 1610 – 1624 : époque baroque ; événements politiques