Qu Est Ce Qu Un Esprit Libre

commenter se situe à un moment décisif et souvent mal compris de la pensée de Hegel, puisqu’il s’agit du problème de l’État et plus spécifiquement des rapports entre l’État et la religion. La philosophie de l’esprit se décompose en esprit subjectif, esprit objectif et esprit absolu. C’est au moment de l’esprit objectif qu’appartient la détermination de l’État. Il faut noter que l’État n’apparaît dans l’Encyclopédie des Sciences philosophiques que dans la section consacrée à l’éthique (Sittlichkeit) que

Programme / Sommaire : cours de philosophie. I. L'Homme, être double. étude de texte (manuel) p74-75 : ''Allégorie de la Caverne'' - République, Platon. II. L'Homme, être sensible. III. L'Homme, être libre ? IV. L'Homme, être rationnel. V. L'Homme, individu conscient. VI. L'Homme, être moral ? VII. L'Homme, être politique. VIII. L'Homme, être dénaturé. L'HOMME, ÊTRE DOUBLE. cf : PLATON - "Allégorie de la caverne" p74-75. Platon est un philosophe de l'antiquité

ainsi que Descartes le faisait encore : ce que l'on comprend aujourd'hui de l'homme n'excède pas ce que l'on peut comprendre de lui en tant que machine. Jadis, on accordait à l'homme le « libre arbitre », sorte de dot qu'il aurait apportée d'un monde supérieur : aujourd'hui, loin de lui attribuer une volonté libre, nous lui avons même repris toute espèce de volonté, dans la mesure où l'on ne peut légitimement entendre par cela une faculté. L'ancien mot de « volonté » ne sert plus qu'à définir une résultante

de rigueur qui confronte l'homme aux situations naturelles, omet le rapport des hommes, entre hommes dans cet espace naturel. II – Un espace de rigueur législatif Alors que l'Etat de nature s’apparentait a une jungle, où chaque individu était libre de faire ce qu'il voulait, le Contrat social de Rousseau va venir instaurer des lois dans l'espace naturel, afin de permettre cohabitation entre les hommes. Au delà des restrictions naturelles, vient donc s'ajouter des lois législatives afin de permettre

« s’amusait » , « pouvais » , « voulais ») dans ce passage est au passé qui marque bien que les actions sont finies et datées, de plus nous noterons un regret palpable : « j’étais un homme comme les autres » , « je pouvais penser à ce que je voulais, j’étais libre ». Puis il repense à sa situation actuelle, d’où l’idée de torture puisque « cette pensée », cette « conviction », cette « certitude » est revenue comme un boomerang. Et cet effet est accentué par la gradation de « pensée », de « conviction » et de

propre maison ? On pourrait même ajouter une mention supplémentaire : qui parle quand je dis « je »  Ce sujet pose donc le problème de la conscience de soi. Pour Sartres, «  les actions nous font exister et ne sont pas le simple effet de notre esprit alors que pour Leibriz «  la réalité de l'acton est la réalisation du sujet. » Pour répondre à ses problématiques nous analyserons dans un premier temps l'affirmation du sujet dans son retour sur lui même. Puis les influences qu’éprouve le sujet

Aristote pense que principe action morale est libre choix, et que le principe du choix est le désir. Choix est libre et poussé par le désir, et la règle dirigée vers quelque fin. La fin : bonheur personnel, bien, souverain bien. Choix libre mais sur base vertu, conception morale qu'on a par éducation et apprentissage des sciences ; avec éducation : capacité de se diriger vers bonne fin. Sinon sans éducation, on ne peut savoir ce qu'est la fin. M-âge : perte libre choix, de nouveau avec St-Augustin. « Le

politique)· liberté d’opinion est un droit fondamental démocraties => ne pas en user au détriment de la liberté d’autrui ; proclamée dans la DDHC en 1789⇒ devise Lumières : sapere aude = sert toi de ton savoir⇒ opinion marginale ; surgit de notre esprit⇒ ex : les femmes afghanes, malgré pression talibans, gardent leurs opinions, usent de la liberté (apprendre, se vêtir, travailler…)⇒ éducation apprend à se forger sa propre opinionII. non = influencée par monde extérieur· jugement sans fondement rigoureux

s'élève dans une société grâce aux femmes. Extrait 1 : (chap 6 , partie I) -première rencontre Julien/Mme Rénal : schéma type du romantisme rencontre amoureuse -discours direct : « Quoi , Monsieur , lui dit-elle enfin . » discours indirect libre : « Quoi , c'était là ce précepteur … ses enfants ! » (pensées intérieures) -narration , un peu de description -théâtralité de la scène (effet des ≠ discours) -récit subjectif-point de vue interne -vocabulaire : inquiétude-soulagement => pour

dont il y a deux dans la deuxième strophe. Le poème commence par le mot « homme» ce qui montre l´importance de ce sujet. Baudelaire écrit que l´homme est « libre » c´est-à-dire qu´il est indépendant et que personne ne peut le maîtriser. On trouve déjà ici le premier point commun entre l´homme et la mer. C´est que la mer est aussi libre. La mer fait ce qu´elle veut et l´homme ne peut pas la dominer. On ne peut pas la calculer ce qu´on voit par la catastrophe du tsunami, il y quelques mois.