Qualités Morales Et Intellectuelles Du Courtisan

VIII des Caractère intitulé « DE LA COUR »Dans cette remarque La Bruyère décrit le changement moral d’un homme qui , à la cour veut parvenir , s’éléver, avoir des privilèges.PROBLEMATIQUEComment la Cour corrompt ceux qui veulent en tirer des privilèges ?PLANI tout d’abord nous étudierons l’influence néfaste de la Cour sur la moralité des courtisans lII Puis nous évoquerons le dilemme du courtisan au travers d’une question « comment être là sans être là? »III Enfin , en conclusion, nous verrons

stratégie narrative adoptée par La Fontaine - utiliser des animaux pour représenter les grands traits moraux des êtres humains - reste toujours aussi astucieuse et drôle. 2-L’ideal de l’honnete homme au 17eme siècle: L’Honnête homme est un modèle d’humanité qui est apparu au xviie siècle sous la plume des moralistes et des écrivains de l’époque.Il a une culture générale étendue et des qualités sociales propres à le rendre agréable. Homme de cour et homme du monde, noble ou bourgeois il a les manières

Critique des courtisans * Frontale, directe par le fabuliste lui-même qui sort de sa réserve aux vers 17 à 23 : * Automates (pantins articulés) : métaphores mécaniques (v.22-23). * Animaux : métaphores animalières du caméléon (v.21) et du singe (v.21). * Alexandrin (v.18) : chiasme qui reproduit le conformisme. * Faux-dévots : champ lexical du paraître (antithèse « être » ≠ « paraître » v.19-20). * Dans le récit, indirecte : * mimétisme (v.2). * courtisans qualifiés

-apporter une harmonie et vraisemblance -avoir une morale -Manque d’argent de la compagnie > écriture rapide > pas dans la lignée de « l’écriture parfaite » (Français, vers, clarté & élégance) -Inspirations = vie personnelle / Timon (ou le Misanthrope d’Athènes) d’Aristophane / Duc de Montoisier à la cour. Acte 1, Scène 1 : Alceste & Philinte INTRODUCTION -Dialogue et scène d’exposition -Débat moral qui oppose deux attitudes rendues inconciliables par l’aveuglement

question de corpus Le thème du courtisan apparaît comme une préoccupation des auteurs humanistes, ainsi qu’en témoignent l’Éloge de la folie d’Érasme (1511), Le Livre du courtisan de Baldassare Castiglione (1528), le sonnet 86 des Regrets de Joachim Du Bellay (1558) et le Dialogue du nouveau langage français italianisé d’Henri Estienne (1578). L’ensemble des extraits de ces œuvres permet de dégager la vision que les écrivains du XVI° peuvent avoir du personnage du courtisan. Seul Castiglione offre

A/ Les Courtisanes  Durant le 19ème siècle la prostitution n’était pas considéré comme étant péjoratif mais plutôt comme une activité qui faisait partie du quotidien. A l’époque les prostitués étaient connus sous le nom de courtisane. Elles n’avaient pas de statut juridique précis. Elles étaient spécialement destinées aux classes sociales les plus élevées notamment les princes, rois etc. Dans ces familles le père emmenait son fils chez les courtisanes afin d’affirmer sa virilité. C’étais pour

l’introspection (il désigne le fait, pour une conscience, de s'observer elle-même). Montaigne est un des plus grands philosophe occidental qui a pour courant l’humanisme (courant culturel européen renouant avec la civilisation gréco-latine, les intellectuels de l'époque manifestaient un vif appétit de savoir) ou le moralisme. Les portraits de Montaigne sont très contradictoires et divers, on peut tout de même dire que sa vie est mouvementée entre les affaires publiques (maire de Bordeaux en 1581) et

conduit le genre des fables au statut inférieur dans les catégories littéraires. De plus, la bassesse de la fable est étroitement liée à l’enfance. La fable est un genre réservé à l’enfance depuis Esope et elles sont destinées à l’apprentissage de la morale. A l’époque l’enfance est une idée affreuse car c’est ce qu’il y a de plus proche de l’animal, l’enfant se retrouve donc en bas de l’échelle de l’être humain et donne à la fable un aspect méprisant On se rend compte alors, qu’il y a une correspondance

charte et sa fille de 16 ans reviennent à la Cour. Tout le monde est ébloui par la beauté de la princesse qui a reçut une éducation morale qui n'est pas la même que les filles de son âge. • Comment l'autrice décrit-elle l'arrivée de la princesse et on éducation ? • 1er mouvement (ligne 1-4) : une beauté parfaite • 2e mouvement (ligne 4-19) : une éducation morale hors du commun • 3e mouvement (ligne 20-27) : une entrée remarquée à la Cour PREMIER MOUVEMENT – UNE BEAUTÉ PARFAITE (LIGNE 1-4) tournure

siecle : le philosophe = l'antiquité → éthymologie = philo/sophia = ancien de la sagesse = raison → critiquer et changer la société Qu'est ce qu'un honnète homme au 18e siècle : - qualités intellectuelles= cultivés mais pas pédant -qualités social= courtisans et reste lui meme/sincérité - qualités moral= raisonnable/modéré DORANTE ET MONSIEUR JOURDAIN :