Quand Une Autorité Est Elle Juste

-Qu'avons-nous vu et compris ? (récit, description) Un homme déclare que le shérif a tué un de ces hommes et veut le venger en tuant le shérif. -Quelles questions et réflexions cela soulève-t-il ? Qualités d'un Shérif : -Courage -Autorité -Juste, dans la légalité -Impartial Le shérif nous semble-il être un chérif idéal ? Ne peut être courageux tout en ayent peur, en affrontant le danger ? Le Shérif cherche t-il à sauver son honneur en sortant affronter l'homme qui le défie

 répercussions  sur  les  opérateurs       II  –  Les  solutions  apportées  par  la  commission               A)  Un  système  plus  efficace  et  plus  juste     B)  S’assurer  de  la  bonne  application  de  la  directive       C)  S’assurer  du  respect  de  la  vie  privée                      

il veut en venir. C’est-à-dire qu’il persuade, il fait appel aux sentiments, et qu’il convainc, il fait appel à la raison pour donner un sens à sa parole. Il cherche à démontrer, expliquer, enseigner à ses camarades qu’il détient la raison et une autorité puissante qui ne doit pas être remise en cause. « la raison c’est que je m’appelle Roi » (l.12-13), « vous le savez » (l.16). Ainsi, la parole prend un tout autre aspect, elle devient puissante et autoritaire. En effet ce stratagème est une réelle

comportements mesurés par des normes morales, tels qu’on les considère à l’intérieur d’une culture donnée. Les mœurs ne sont pas une morale. Ils supposent pourtant des règles de ce qui est « bien» ou de ce qui est « mal ».     a) Pour la plupart des hommes, quand se pose le problème de savoir ce qui est bien ou mal, c’est auprès de la tradition qu’il faut aller chercher refuge. Ou encore, nous nous rapportons aux mœurs tels qu’ils existent en les considérant comme des normes. On se fie d’abord à « ce qui se

des citoyens à leur régime. Dans ce contexte, les hommes sont plus exploités pour ce qu’ils peuvent donner qu’amenés à la pleine application de leur pouvoir politique. Ainsi, selon lui seule la volonté, du gouvernement comme du peuple, d’une société juste est à même d’aboutir à une véritable paix civile et à un ordre garanti non pas par la menace de la répression, mais par la conscience de la liberté de l’autre. Si Rousseau nous montre ici comment l’arbitraire assure le fonctionnement de la société

mesurés par des normes morales, tels qu’on les considère à l’intérieur d’une culture donnée. Les mœurs ne sont pas une morale. Ils supposent pourtant des règles de ce qui est « bien» ou de ce qui est « mal ». (texte) Pour la plupart des hommes, quand se pose le problème de savoir ce qui est bien ou mal, c’est auprès de la tradition qu’il faut aller chercher refuge. Ou encore, nous nous rapportons aux mœurs tels qu’ils existent en les considérant comme des normes. On se fie d’abord à « ce qui se

qui avouait nous aimer ? Qui ne s’est jamais senti obligé de répondre un fébrile oui (mais un oui quand-même) quand quelqu’un nous posait la question fatidique « Et toi, m’aimes-tu ? » ? Et bien répondre comme cela montre bien que nous nous forçons à plaire à l’autre, à ne pas le décevoir. Meursault, quant à lui, n’en a que faire de ce que sa compagne ressent pour lui formuler sa réponse. Il répond juste ce qu’il pense, même si cette réponse inattendue semble déranger Marie. Et il nous montre, par cet

n’est pas adapté à la vie sociale. Et quand je dis qu’il n’est pas adapté à la vie sociale, il faut comprendre qu’il n’est pas naturellement enclin à vivre avec les autres ou à les respecter. L’homme est animé par sa pulsion désirante, de domination, il n’est pas naturellement altruiste ni bienveillant avec ses semblables. C’est parce que l’être humain est animé par cette pulsion d’agressivité qu’il a besoin d’être gouverné par un chef, c’est-à-dire une autorité qui va canaliser la pulsion de la foule

dernier discours la veille du 9 Thermidor, promettant la mort civile et donc la mort morale pour tout citoyen se mettant hors la loi. Rares sont aujourd'hui ceux qui, dans une société très largement sécularisée, pourraient invoquer sans rire cette autorité sacrée des lois. Le respect d'une loi fondée en raison semble plus solidement établi. D'Aristote ("Ethique à Nicomaque") à Montesquieu ("L'Esprit des Lois")  et Rousseau ("Du Contrat Social") en passant par Hobbes ("Le Léviathan") et Locke ("Second

de Monsieur A.ROBERTZ FICHE DE LECTURE 1. L’AUTORITE 2. GENRE 3. THEME 4. RESUME L’origine La crise d’autorité actuelle Le rôle de l’institution scolaire Le langage Le rejet de l’autorité Quand ça dégénère ! Les travaux de Freud Qu’est-ce qu’un “bon chef » ?  5. CONCLUSION 6. BIBLIOGRAPHIE |[pic] | I.E.P.S.C.F. INSTITUT D'ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE LA COMMUNAUTE