Quartier des Batignolles

homicides énormes et sans nombre. Cette gueule d’État-maior n’avait de cesse dès le soir revenu de nous expédier au trépas et ça le prenait souvent dès le coucher du soleil. [...] Au matin on repartait, groupe de la liaison, tous les cinq pour le quartier du général des Entrayes, pour continuer la guerre. Nous dûmes donc courir les embuscades, rien qu’avec l’espérance de moins en moins raisonnable d’en revenir. Depuis quatre semaines qu’elle durait, la guerre, on était devenus si fatigués, si malheureux

ferroviaire parisien, la maison Gouin (Société de construction des Batignolles), était toujours restée exceptionnelle et atypique dans le Paris du milieu du XIXe siècle. Que dans les dernières années du siècle, Paris ait été un des lieux privilégiés de naissance de la construction automobile française n'était cependant pas surprenant car l'automobile à ses débuts était un produit de luxe pour une clientèle bien représentée dans les quartiers ouest de la capitale. Comme elle était un secteur innovateur

qu’il [Maurice] a gagné, au péril de sa vie même, et qui va nous permettre de continuer la route, l’argent que vient de me tendre un enfant épuisé. » (p. 65) ……………………. 5. « Un court instant, perdus dans ce cinéma marseillais, nous revîmes notre quartier et cela me rappela brusquement que je n’avais presque pas pensé à papa ni à maman depuis notre départ. » (p. 79) ……………………. 35 Titre : UN SAC DE BILLES Prénom : __________________ Auteur : Joseph Joffo Nom : ____________________ Editeur : Le

avait donné le fouet à cette grande carcasse de Virginie. Ce jour-là, elle aurait étranglé quelqu’un de bien bon cœur. Et elle se mit à rire plus fort, parce que Coupeau lui racontait que Virginie, désolée d’avoir tout montré, venait de quitter le quartier. Son visage, pourtant, gardait une douceur enfantine ; elle avançait ses mains potelées, en répétant qu’elle n’écraserait pas une mouche ; elle ne connaissait les coups que pour en avoir déjà joliment reçu dans sa 64 vie. Alors, elle en vint à

avait donné le fouet à cette grande carcasse de Virginie. Ce jour-là, elle aurait étranglé quelqu’un de bien bon cœur. Et elle se mit à rire plus fort, parce que Coupeau lui racontait que Virginie, désolée d’avoir tout montré, venait de quitter le quartier. Son visage, pourtant, gardait une douceur enfantine ; elle avançait ses mains potelées, en répétant qu’elle n’écraserait pas une mouche ; elle ne connaissait les coups que pour en avoir déjà joliment reçu dans sa vie. Alors, elle en vint à causer

avait donné le fouet à cette grande carcasse de Virginie. Ce jour-là, elle aurait étranglé quelqu'un de bien bon coeur. Et elle se mit à rire plus fort, parce que Coupeau lui racontait que Virginie, désolée d'avoir tout montré, venait de quitter le quartier. Son visage, pourtant, gardait une douceur enfantine; elle avançait ses mains potelées, en répétant qu'elle n'écraserait pas une mouche; elle ne connaissait les coups que pour en avoir déjà joliment reçu dans sa vie. Alors, elle en vint à causer

déficience auditive. En 2011, chez Monoprix, 10 % des contrats en alternance et 26,6 % des stagiaires seront issus des ZUS (zones urbaines sensibles): le Groupe s'est acquitté en 2009 à recruter en favorisant l'insertion professionnelle des jeunes des quartiers sur une base nationale. Objectif : recevoir la candidature et procéder au recrutement de près de 400 jeunes en CDI sur des postes à responsabilité et en tant qu’employés, c’est-à-dire à peu près 6 % des embauches. Autre charnière cette année : accroître

..... 64 Le choix des quartiers.................................................................................................... 65 Le quartier centre-ville huppé : Le 6e – Tête d’Or ..................................................... 66 Le quartier centre-ville mélangé : Jean Macé ............................................................ 66 Le quartier banlieue huppé : Dardilly ........................................................................ 66 Le quartier banlieue mélangé : Villeurbanne

Séverine arrive à Paris à bord de l’express conduit par Jacques Lantier. Roubaud a demandé au jeune homme de l’accompagner, sous un vague prétexte : il s’agit en fait de le séduire et d’acheter son silence. Ils se promènent ensemble dans le quartier des Batignoles, et le jeune homme s’éprend peu à peu de Séverine. Tout en la croyant coupable, il lui promet son amitié et sa discrétion. Auparavant, la jeune femme a rendu visite à Camy-Lamotte, le secrétaire général du ministère de la Justice, pour lui

à faire marcher le 19, compensant heureusement la mollesse de son mari [42]. Mais, mal secondée, elle se donne un mal énorme pour soutenir la bonne réputation de l'établissement et finit par se mer à la peine. L'enterrement a lieu à Chartres, le quartier s'associe à la douleur des Badeuil, les cinq femmes de la maison assistent à la cérémonie en robe sombre, l'air comme il faut [339]. (La Terre.) Baillehache. — Notaire à Cloyes, né en 1805. Sa charge est dans la famille depuis deux cent cinquante