Quartier des spectacles

la Marche sur Rome) décide de créer un quartier fasciste. Il prévoyait la construction d’une vaste zone urbaine au Sud de Rome, allant jusqu’au port d’Ostie (25 km), comprenant tous les services publics et des aires de verdures, reliée au centre ville par la via Cristoforo Colombo. Bref, une sorte de Cité idéale de l’Italie nouvelle. Le projet fut confié à l’architecte Marcello Piacentini La Place des Nations Unies constitue une sorte d’entrée dans le quartier. Elle est faite de portes reliées à des

est de démocratiser la culture en France et de redonner à Paris un rôle mondial au niveau culturel. Cet immense bâtiment s’articule sur sept niveaux regroupant un musée, des expositions temporaires, plusieurs bibliothèques ainsi que des salles de spectacles. Architecturalement, ce monument s’inscrit dans l’architecture High-tech qui a pour doctrine de mettre en avant ce qui est habituellement dissimulé comme les escaliers par exemple. Cette volonté des architectes (Renzo Piano et Richard Rogers)

l’explique Laurent Decotte dans son article paru le vendredi 06 mars 2009 dans La Voix du Nord, «  Il s’agit en fait de deux stade en un, avec la boîte à spectacle sous la pelouse.  » Cette boîte à spectacle existera grâce au dispositif assez original qu’est celui du glissement de la pelouse au-dessus de l’autre moitié, découvrant donc « une boîte à spectacles » dont la scène se trouvera six mètres plus bas. Un écran géant se trouvant sur l’enveloppe du bâtiment, retranscrira les plus grandes manifestations

vue aérienne du quartier Beaubourg, ainsi qu'un article sur "les transformations du quartier de Beaubourg" extrait du site internet "centrepompidou.fr". Comment le centre Pompidou est-il passé de controverse au rang de centre patrimonial parisien ? Dans quelles mesures est-il possible de conserver le patrimoine national sans qu'il ne devienne un obstacle à la modernisation des grandes métropoles ? Quel juste milieu entre histoire et modernisation ? Le quartier de Beaubourg était

Texte Un barrage contre le pacifique La grande ville I- Description d’un paradis clos 1) La richesse et ses signes * Le haut quartier : propreté, fortune, immense, luisance, éclatante blancheur… * Un cadre paradisiaque : planté d’arbres, gazons, et des parterres de fleurs, beauté des quartiers et des avenues. 2) Des symboles * Blanc immunité, innocence, propre. * Lieu saint sanctuaire, propreté… * Plusieurs villes, emboitement de villes, on en distingue au moins

Exposé d’ art Plastique. Jean Prouvé. (1901-1984). Palais omnisport de Paris-Bercy. Intro : Ce palais a été commandé par la ville de paris en créant le quartier. Il a été crée en 2 ans et demi entre 1981 et 1883. Il a couté très cher, 61millions d’euros, le premier bâtiment de Paris-est fut un gros investissement pour Paris dès son arrivée. Jean Prouvé n’est pas l’architecte du palais mais il créera une nouvelle technique qui sera une grande réussite internationale ,mais ce ne fut que

.......................................................................... 3 1.1 Nantes .......................................................................................................................................................... 3 Quartiers ........................................................................................................................................................ 4 Culture : ................................................................................

WEST SIDE STORY Résumé de l'histoire : Les quartiers du West Side à New York. Derux bandes rivales se disputent les rue : les Jets, des blancs dirigés par Riff, et les Sharks, des immigrés portoricains qu'entraine Bernardo. Tony le meilleur ami de Riff, lui même ancien chef des Jets, s'éprend de Maria, la propre soeur de Bernardo, rencontré au cour d'un bal. Tony et Maria se revoient et comprenent qu'ils s'aiment. Mais les deux bandes décident de s'affronter en terrain neutre. Tony cherche en

siècle, le théâtre est le loisir préféré des Parisiens. La multiplication des salles aide les affiches publicitaires à se développer en devenant indispensables à l'annonce et la promotion d'un spectacle. A l'époque, les affiches sont placardées sur des palissades de plus en plus présentes dans les quartiers... C'est en 1869 que Jules Chéret applique la technique des impressions successives, ce qui permet la reproduction d'images en couleurs. C'est grâce à lui que l'affiche passe de la description

enfant heureux. Aussi souvent qu'il le peut, il va dans les montagnes, retrouver son grand-père Joseph, troubadour. Il a douze ans, la vie est belle! Mais il habite Beyrouth. En 1987. Les hommes se font la guerre... Un jour, un attentat dans son quartier lui vole à jamais l'amour de ses parents et le prive d'un bras... Sur le conseil de son grand-père, qui l'invite à tourner son regard vers l'ailleurs sans renier son passé, l'enfant quitte l'Orient pour l'Occident. L'exil. Omar-Jo emporte avec lui