Quartier du Jardin-des-Plantes

« pittoresque ». Edmund Burke, Uvedale Price. William Chambers, Kew gardens. Stourhead. Worlitz. Soane. La ville des Lumières, un nouvel espace public et son architecture – relation entre espace et sentiments dans les jardins et parcs Esthétique du pittoresque ; le jardin à l’anglaise. Né en Angleterre et exporté dns mde. Fin XVIIème siècle tte connaissance passe à travers sens physiques. Théorie du sensationnalisme. Manière dont une exp physique va avoir un impact direct sur l’état mental

RÉALISME Le père Goriot (extraits), Honoré de Balzac I. Une pension bourgeoise Madame Vauquer, née de Conflans, est une vieille femme qui, depuis quarante ans, tient à Paris une pension bourgeoise établie rue Neuve-Sainte-Geneviève, entre le quartier latin et le faubourg Saint-Marceau. Cette pension, connue sous le nom de la Maison-Vauquer, admet également des hommes et des femmes, des jeunes gens et des vieillards, sans que jamais la médisance ait attaqué les moeurs de ce respectable établissement

préfèrent désigner les espaces végétalisés directement par leur nom : parc, jardin, square. Pourtant nous conserverons l’appellation générique d’ « espace vert » dans ce pfe mais nous nous attacherons dès cette première partie à la définir. 11. Définition Pierre Merlin et Françoise Choay (1996) rapportent que ce terme est apparu pour la première fois en 1925, inventé par JCN Forestier, Conservateur de Parcs et Jardins de Paris. L’expression s’est répandue dans les années 50, particulièrement

Nord-Pas-de-Calais 2 Vincent LANNOO Premier adjoint au maire Budget, habitat, logement, relations internationales 3 Sylvie BOUDRY-LHERMITE Adjointe au maire Solidarités sociales, personnes âgées 4 Bernard DESPIERRE Adjoint au maire Déplacements, espaces publics, jardins, lumière, plan climat 5 Dominique DE CLERCQ-DANEL Adjointe au maire Emploi, insertion professionnelle, formation 6 Djil ACHIBA Adjoint au maire Fêtes, grands événements, foires et marchés, magazine municipal, coordination des adjoints de secteur 7

tant l'acte terroriste en lui même que la volonté qu'a eu sa femme de mettre fin à ses jours. Le premier chapitre du roman plante le décors : Amine est un chirurgien talentueux et aisé qui est même à la recherche d'une résidence secondaire. Cette situation privilégiée dont il est très fier rend pour lui incompréhensible le geste de sa femme. Les descriptions de son quartier huppé, de sa maison fastueuse et de sa vie mondaine émaillent le roman. Amine semble considérer ce confort matériel et social

mort et la mort du père. Dans la première partie il y a une très minutieuse et longue description de la pension bourgeoisie où vit la plus grande partie des personnages. L'histoire se déroule à Paris dans un quartier plutôt horrible et inconnu entre le faubourg Saint-Marceau et le quartier latin,où se trouve la maison Vauquer,une pension bourgeoise dirigée par Madame Vauquer. Ce drame commence en 1819 et à ce moment là il y a sept pensionnaires internes partagés entre les différents étages de la

ses différents noms et éventuellement ses différents tracés. Puis dans une seconde partie nous verrons ce qui caractérise la rue de nos jours, en regardant les différents points d’intérêt dont elle dispose, c’est à dire les monuments, bâtiments ou jardins qui la parcourent, ainsi que ses originalités architecturales si elle en a. La rue que nous allons étudier est la rue Belle-Isle. C’est une rue de Metz, située près du centre ville, parallèle au fleuve La Moselle. Elle commence place du Saulcy pour

de Paris où il y a un flux important de personnes. Tout d’abord nous avons trouvé 2 emplacements dans le 3e arrondissement. Le 3e arrondissement est un quartier vivant, qui attire beaucoup de touristes et de jeunes. Mais aussi un lieu où se trouvent beaucoup de restaurants, lieux d’interactions. Les « concurrents » présents dans ce quartier sont nombreux (au nom de la rose, aux fleurs de France) mais ils restent peu dangereux. En effet « Flor’id » ouvert son magasin de fleurs sur un autre concept

Extrait du haut quartier Même si le narrateur (sans doute la narratrice) est absent, on sent un regard, un jugement, souvent une ironie, plus complexe qu’il n’y parait (éloge ou dénonciation ? Dénonciation par l’éloge ?). Mais ce n’est pas tout de dire que s’exprime ici une condamnation des « blancs », colons insolents d’égoïsme et de privilèges. Il faut d’abord noter (ce qui va de soi va mieux en le disant)

construction en 1480 après avoir transplanté le site à la rive droite de oued fowarat. Construite dans un style architectural andalous-maghrébin, la ville comprenait : Une citadelle (la kasba) rectangulaire de 72m x 52m qui occupe la partie nord-ouest, le quartier de Souiqa  -une grande mosquée -Un puissant rempart flanqué de tours et percés par sept portes qui sont Bab Souq, Bab El Ayne, Bab El Harmoune, Bab El Himar, Bab El Mahrouq, Bab El Maqaddam et Bab El Ansar. L’arrivée massive et successive de familles